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1901 : lou viage de Sigurd Curman

1901 : le voyage de Sigurd Curman
1901 : Sigurd Curman's trip

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Photos de Sigurd CURMAN (1879-1966) architecte du patrimoine
Archives du Tekniska Museet de Stockholm
https://www.europeana.eu/fr/search?page=1&view=grid&query=Curman,%20Sigurd%20Avignon

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Commentaires

  • Bravo et merci pour la découverte de ces photos, dont certaines sont totalement inédites ici.

  • Je note les collines de Villeneuve sans les villas et l’habitude des habitants de bien s’habiller avant de sortir. On peut regretter que les premieres soient apparues et que la seconde ait disparu.

  • — Trois panoramas pris depuis le rocher des Doms,
    — Ce qui reste de façade de la maison de Jean Cadard rue St-Étienne,
    — L'opéra-théâtre place de l'Horloge avec un véhicule "auto-transport",
    — La place du Palais vue de la place du Puits-des-Bœufs,
    — La rue de la Grande-Fusterie avec un affichage publicitaire concernant exclusivement des boissons alcoolisées qui nous informe que Sigurd Curman logea à l'hôtel d'Europe,
    — Une manœuvre militaire place Crillon,
    — Une vue extérieure de la porte de l'Oulle prise depuis l'entrée du pont suspendu,
    — La porte des Champeaux à l'époque des dernières années d'occupation du palais des papes par le régiment d'Infanterie, la caserne Chabran alors en construction pour l'y accueillir
    — Une vue de la place Carnot photographiée sur une carte de l'époque.

  • Lait (marchands de)
    Prat Amédée Vve, rue St-Étienne, 22.

    [Annuaire de Vaucluse 1899-1900]

  • Cette dénomination est une découverte !
    Peut-être y vendait-on du fromage de vache... (fondu ?!)

  • Merci !

  • Concernant la vue avec les militaires sur la place Crillon, il me semble me souvenir que la maison plaquée au rempart n'a disparu que récemment ? elle avait pour symétrique, de l'autre côté de la porte de l'Oulle , un autre immeuble moins imposant. Tous deux abritaient des cafés ou buvettes - ce qui en faisait trois avec celle à l'extérieur. Visiblement, les gardois arrivaient très assoiffés à l'époque !

    Cf une réplique de Raimu dans "Les inconnus dans la maison"....

  • Et pourtant... la réponse que je donnais en son temps pour le "bar de l'Europe" vaut aussi pour la construction symétrique : sur les vues aériennes IGN, la campagne du 17 juin 1973 montre les 2 établissements en entier, pendant que sur les clichés du 3 juin 1978 on n'y voit plus que des voitures en stationnement. Les campagnes de prises de vue intermédiaires ne sont pas assez précises pour y lire quoi que ce soit sur le sujet.

    Conclusion : les 2 troquets ont disparu entre 1973 et 1978 - ce qui confirme mes souvenirs de jeune conducteur car, entrant par la porte, il fallait manoeuvrer serré pour s'engager dans la rue du rempart de l'Oulle.

    Il est vrai que ce n'était pas le seul "étroit" de la ville ! En parlant d'Oulle, d'ailleurs, j'ai aussi connu celui de la pizzeria de même nom qui, au milieu de la rue Joseph-Vernet, défendait l'accès à la rue Saint-Charles... encore un bâtiment sacrifié sur l'autel du dieu Voiture, qui de jours est devenu le Diable !

  • Merci Alain. Évidemment, j'ai encore oublié de penser aux photos aériennes de l'IGN...

  • Pour tempérer (un tout petit peu...) le propos de Damien Mercier, on peut constater, sur la vue extérieure de la Porte de l'Oulle, que la charmante maman et sa non moins charmante fifille ont contourné un magnifique tas de crottin de cheval. Ce n'est pas d'hier que les transports polluent !

    Conclusion : à chaque époque, que ce soit par rapport a ce qui a précédé ou par rapport à ce qui va suivre, on trouve des plus... mais aussi des moins....

  • Alain Breton, je souscris totalement à ce que vous dites. Notre époque a selon moi perdu le sens esthétique et peut être trop gagné en individualisme, voilà pour les moins. Les plus sont innombrables !

  • Merci pour ces clichés, qui montrent bien que les deux constructions étaient parfaitement symétriques. L'ensemble était parfaitement unifié et avait vraiment un très bel aspect, peut-être les pavillons latéraux étaient-ils sortis de la main de Jean-Baptiste II Péru, comme la porte elle-même. Stupide démolition... Quand on pense qu'aujourd'hui la municipalité ne sait plus quoi faire pour empêcher de pénétrer en ville !!!!!

  • J'ai les plus gros doutes sur la datation des photos : pour certaines cela ne marche pas.
    - Joseph Girard écrit que c'est en 1904 que la partie centrale de la maison dite de la reine Jeanne au 22 rue Saint-Etienne a été modernisée.
    - La caserne Chabran visible à l'arrière-plan du panorama avec les clochers des Carmes et des Augustins a été inaugurée en 1905 ou 1906.
    - Enfin je crois que les mats avec les armoiries de la ville au-devant de la porte des Champeaux, ainsi que les globes électriques à l'intérieur de la porte, ont été placés là à l'occasion de l'exposition industrielle au palais en 1907.

    Un "7" dans une date manuscrite de "1907" aurait-il été confondu avec un "1" ?

  • - Je crois aussi que l'espèce de balcon qui est à droite de la tourelle qui fait le coin nord de la façade du palais neuf est une des premières restaurations entreprise en 1905 après le départ des militaires du palais.

    Tout cela à faire confirmer par Alain Breton, bien sûr !

  • merci pour les photos ! je suis né dans la maison qui est juste devant le jardin du chapelier ;-) ,sous l'horloge des carmes, au dernier étage les 3 fenêtres fermées... (26 rue A de Fabre puis retour à rue Ste Catherine)

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