Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Un 12 de juliet 1997

Un 12 juillet 1997
A 12 of july 1997

Le compositeur Maurice Jarre est de retour au festival de théâtre d'Avignon dont il a été le compositeur pendant 12 ans. Il revisite les lieux du festival, découvre une exposition des costumes créés par Léon Gischia et évoque ses souvenirs.

Lien permanent 7 commentaires Pin it!

Commentaires

  • Ah les trompettes ! les soirs de festival, on les entendait jusque sur la place de l'Oratoire et j'ai encore leur son en tête après toutes ces années qui se sont enfuies.

    Les trompettes du festival et les cris des martinets au crépuscule, un souvenir qui ne me quittera jamais.

  • Ah tiens !!! Ce serait Maurice Jarre l'auteur de ce thème ??? J'ai toujours pensé qu'il s'agissait de "Fanfare for the common man" écrite en 1942 par Aaron Copland....

    (On en trouve quantité d'interprétations sur Youtube, dont une dirigée par le compositeur himself).

  • D'après le commentaire du présentateur de la vidéo, Maurice Jarre a composé des musiques de scènes pour les pièces de Jean Vilar. Il n'est pas dit que les trompettes annonçant l'ouverture de la soirée théâtrale soient de sa composition.

    Et pourtant, malgré la ressemblance avec le début de "Fanfare for the Common Man" de Copland, c'est bien Maurice Jarre le compositeur des fameuses trompettes annonçant le début de chaque représentation :
    https://data.bnf.fr/fr/14016004/maurice_jarre_fanfare_d_accueil_au_theatre_national_populaire/


    https://www.youtube.com/watch?v=MoeMjBr01gU


    https://www.youtube.com/watch?v=pLEopqWYd8c

    ...

  • Copland n'était sans doute pas inconnu de Maurice Jarre. Rien ne se crée, tout se transforme... Mais les deux morceaux sont très différents ; la ressemblance ne tient qu'à ces trois premières note et cet octave avec la quinte si spécifique. Un plagiat de trois notes ?

  • « rien ne se crée, ni dans les opérations de l’art, ni dans celles de la nature (...) il n’y a que des changements, des modifications. » :
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Rien_ne_se_perd,_rien_ne_se_cr%C3%A9e,_tout_se_transforme


    Trois autres notes également célèbres :
    https://www.youtube.com/watch?v=xqBiE0nUnMM

    Richard Strauss (1864-1949) "Ainsi parlait Zarathoustra" : 1896
    Aaron Copland (1900-1990) "Fanfare for the Common Man" : 1942

    Strauss n'était sans doute pas inconnu de Copland ;-))

    ...

  • joliment dit... il est vrai que sur quelques notes..

Écrire un commentaire

Optionnel