Soixante ans exactement
Sixty years exactly
Gérard Philipe (1922-1959)
Source photo Patricia Jalade-Ricci.
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Soixante ans exactement
Sixty years exactly
Gérard Philipe (1922-1959)
Source photo Patricia Jalade-Ricci.
Commentaires
il jouait à quoi là ?
belle et rare photo
Je dirais au football à la Barthelasse, au stade de Bagatelle.
Je confirme, match de foot à la Barthelasse, Gérard Philippe était le gardien de buts de l'équipe des acteurs et techniciens du Festival. La casquette était un clin d'oeil au célèbre goal de l'équipe de France de football d'alors, René Vignal
Déjà soixante ans qu'il a tiré sa révérence
https://www.youtube.com/watch?v=ryt4BVNSJDE
Il avait des cuisses de mouche quand même , je sais c'est mal de se moquer d'une icône
C'était pendant le festival d'Avignon, il y avait des rencontres sportives amicales entre les comédiens et les acteurs. Cette photo était dans le local du Palais des papes qui servait de vestiaire et à salle de pause aux saisonniers pendant le festival. Il y avait une grande table centrale en bois, protégée par une vitre, sous laquelle les frères Sacquets, électriciens en chef, accumulaient chaque année des photos du festival. Un vrai trésor que je contemplais chaque été avec régal.
Oui, mais ça c'était au palais, il y avait une hiérarchie des lieux et les Sacquets régnaient, ils n'ont rien fait pour se remettre en cause et après est venu la gestion à l’américaine qui a détruite tout le côté convivial hérité de Villard.
J'ai travaillé 6 ans l'été au festival et c'était vraiment une super ambiance entre les ouvreuses et les techniciens de tous les lieux officiels, les Célestins, les Carmes, etc Souvenirs de générales, de premières, de dernières. Ariel Garcia Valdez, Ariane Mnouchkine, Mesguich et j'en passe. Effectivement, tout a changé après avec l'IFTS.
J'ai la même expérience que Martine Masson, le management à l'américaine est arrivé durant les années 80, coupant les avignonais qui travaillaient au festival d'une découverte conviviale du théâtre, en même temps qu'un gaspillage éhonté pour satisfaire l'égo des metteurs en scène.
Ce changement d'esprit du festival arrive avec le départ de Paul Puaux.
C'est l'ère Bernard Faivre d'Arcier et le subventionnement par l'État.