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mais elles se trouvent si bien là qu'elles sont pas reparties à Rome
(formidable cette photo, bravo)
Magnifique découverte !
Merci Michel, pour cette scène insolite et captivante à la fois. Et bonnes fêtes pascales.
L'arrivée des cloches à l'église St Agricol, un spectacle extraordinaire que j'aurais bien aimé voir en réalité ! malheureusement je n'étais pas encore au monde.
La photo semble dater des années 1900...
Peux tu nous jurer ton titre ? Moi je dis elles partent ( j’étais là )
à Michel Bourgue : elles arrivent puisqu'on est dimanche de Pâques (et non vendredi saint) !
CQFD
;-D
(géniale cette photo !)
Superbe cliché, en effet !
Qui nous montre aussi qu'à une époque où tout se faisait à la main (et au bras...), monter tout ça là-haut ne devait pas être une sinécure....
On doit bien avoir la date de cet évènement quelque part, non ? A commencer par la presse locale, vu que l'opération ne devait pas passer inaperçue.
Ce scan a été publié par Michel Bourgue sur FB. Ni lui ni moi n'avons d'informations à son sujet. Oui Tilia, la photo est sans doute fin XIXe - début XXe.
Michel, analyse de la situation : les cloches arrivent-elles ou partent-elles ?
Leur caractère luisant prône pour l'arrivée de nouvelles cloches ou un retour d'entretien.
Je ne pense pas qu'il s'agisse d'un départ.
Cathy Delmas, sur FB, écrit : « Je les ai vues partir (ou revenir) quand j'étais petite, elles étaient allées se refaire faire une beauté ! »
Clément Fanot, envoie-nous un signe !
Vu les tenues je pense debut XX°
A l’époque ou Alain Breton allait acheter ses disques" YeYe" chez Gervais son attention aurait pu se porter sur les cloches .....mais il regardait passer autres choses ?
Comme quoi on change !!!
Le rayon de vive lumière se reflétant sur les cloches indique la direction du soleil.
La brillance de cette lumière sur le métal montre qu'il est tout propre, ce qui fait pencher la balance vers une arrivée de cloches neuves, ou rénovées...
Pour l'instant, nul ne connait la date de cet évènement mémorable.
Mais pour ce qui est de l'heure, je dirais début d'après-midi. J'ai bon ?..
Je dirais même fin d'après-midi. Le soleil est assez bas et il ne semble pas faire très froid.
"J'ai bon ?" me fait immanquablement penser au sketch d'Albert Dupontel. :D)
Les légendes des photos des quatre cloches St Agricol, publiées dans l'article de Wikipédia sur la collégiale, semblent indiquer que trois d'entre elles proviennent d'une fonderie lyonnaise. Quant à la quatrième elle est gravée 1822 :
Par ailleurs, il est étonnant que les cloches de St Agricol proviennent d'une fonderie lyonnaise alors que celle de Perre-Pierron (par exemple) était bien plus proche :
Intéressant Tilia, ton lien vers la fonderie Pierron.
Cela m'a amené vers cette page : http://www.sonnailles.net/index.php/histoire/fondeurs-et-forgerons/avignon
Dans laquelle je lis :
« Joseph-Pierre Perre, appelé Pierre, né en 1770, frère de Vincent, épouse en 1791 Marie-Victoire Pierron fille d'Etienne Pierron (mort en 1790) puis Catherine-Alix Bongard (décès en 1830) qui tient l'Hôtel d'Europe en 1809. »
Catherine-Alix Bongard, avant de fonder l'Hôtel d'Europe, était l'épouse de Claude Pierron qui tenait l'Hôtel du Palais-Royal, de l'autre côté de la place Crillon (où a été tué Brune).
Le fondeur Joseph-Pierre Perre, qui installa sa fonderie place de la comédie, puis rue Calade en 1807 — Place Crillon, puis rue Joseph-Vernet pour nous — épousa donc en premières noces une fille Pierron, puis en secondes noces une veuve Pierron...
Quant à son frère Vincent, il a une fonderie adossée au rempart près de la porte de l'Oulle.
En tout cas, ces fonderies ne sont pas loin de l'église St-Agricol !
L'entreprise PERRE-PIERRON — il s'agit de donc deux patronymes — avait également un atelier derrière le palais des papes pour fondre les grosses cloches.
Oui, Michel et, pas bien loin non plus, il y avait GAUTIER & MONTSERRET puis GAUTIER tout seul (dont tu as déjà parlé) :
PS : penser à ajouter ici le tag "fonderie" pour joindre ces renseignements à ceux des anciens articles : "Les fantômes de la Maison 4 de chiffre" et "Cent ans après Gautier-Montserret".
J'ai corrigé mon lien vers Sonnailles.net !
J'ai rajouté le tag "fonderie".
Ce double patronyme professionnel "Perre-Pierron" qui a dû donc commencer avec (Joseph-)Pierre Perre, donne lieu à une faute assez répandue dans plusieurs textes qui écrivent "Pierre Pierron".
Il faudrait savoir si (Joseph-)Pierre Perre ne s'est pas associé à un Pierron, ou bien si le nom de jeune fille de sa première épouse, voire le patronyme marital de sa seconde épouse, n'en sont pas la raison.
Commentaires
mais elles se trouvent si bien là qu'elles sont pas reparties à Rome
(formidable cette photo, bravo)
Magnifique découverte !
Merci Michel, pour cette scène insolite et captivante à la fois. Et bonnes fêtes pascales.
L'arrivée des cloches à l'église St Agricol, un spectacle extraordinaire que j'aurais bien aimé voir en réalité ! malheureusement je n'étais pas encore au monde.
La photo semble dater des années 1900...
Peux tu nous jurer ton titre ? Moi je dis elles partent ( j’étais là )
à Michel Bourgue : elles arrivent puisqu'on est dimanche de Pâques (et non vendredi saint) !
CQFD
;-D
(géniale cette photo !)
Superbe cliché, en effet !
Qui nous montre aussi qu'à une époque où tout se faisait à la main (et au bras...), monter tout ça là-haut ne devait pas être une sinécure....
On doit bien avoir la date de cet évènement quelque part, non ? A commencer par la presse locale, vu que l'opération ne devait pas passer inaperçue.
Ce scan a été publié par Michel Bourgue sur FB. Ni lui ni moi n'avons d'informations à son sujet. Oui Tilia, la photo est sans doute fin XIXe - début XXe.
Michel, analyse de la situation : les cloches arrivent-elles ou partent-elles ?
Leur caractère luisant prône pour l'arrivée de nouvelles cloches ou un retour d'entretien.
Je ne pense pas qu'il s'agisse d'un départ.
Cathy Delmas, sur FB, écrit : « Je les ai vues partir (ou revenir) quand j'étais petite, elles étaient allées se refaire faire une beauté ! »
Clément Fanot, envoie-nous un signe !
Vu les tenues je pense debut XX°
A l’époque ou Alain Breton allait acheter ses disques" YeYe" chez Gervais son attention aurait pu se porter sur les cloches .....mais il regardait passer autres choses ?
Comme quoi on change !!!
Le rayon de vive lumière se reflétant sur les cloches indique la direction du soleil.
La brillance de cette lumière sur le métal montre qu'il est tout propre, ce qui fait pencher la balance vers une arrivée de cloches neuves, ou rénovées...
Pour l'instant, nul ne connait la date de cet évènement mémorable.
Mais pour ce qui est de l'heure, je dirais début d'après-midi. J'ai bon ?..
Je dirais même fin d'après-midi. Le soleil est assez bas et il ne semble pas faire très froid.
"J'ai bon ?" me fait immanquablement penser au sketch d'Albert Dupontel. :D)
Les légendes des photos des quatre cloches St Agricol, publiées dans l'article de Wikipédia sur la collégiale, semblent indiquer que trois d'entre elles proviennent d'une fonderie lyonnaise. Quant à la quatrième elle est gravée 1822 :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Coll%C3%A9giale_Saint-Agricol_d%27Avignon
Pas trouvé grand chose sur la fonderie Monet à Lyon :
http://www2.culture.gouv.fr/public/mistral/palissy_fr?ACTION=CHERCHER&FIELD_98=AUTR&VALUE_98=Monet%20Brunet%20F&DOM=Tous&REL_SPECIFIC=3
Par ailleurs, il est étonnant que les cloches de St Agricol proviennent d'une fonderie lyonnaise alors que celle de Perre-Pierron (par exemple) était bien plus proche :
http://www.clocherobecourt.com/Robecourt/Images/Marques/PIERRON.pdf
Intéressant Tilia, ton lien vers la fonderie Pierron.
Cela m'a amené vers cette page :
http://www.sonnailles.net/index.php/histoire/fondeurs-et-forgerons/avignon
Dans laquelle je lis :
« Joseph-Pierre Perre, appelé Pierre, né en 1770, frère de Vincent, épouse en 1791 Marie-Victoire Pierron fille d'Etienne Pierron (mort en 1790) puis Catherine-Alix Bongard (décès en 1830) qui tient l'Hôtel d'Europe en 1809. »
Catherine-Alix Bongard, avant de fonder l'Hôtel d'Europe, était l'épouse de Claude Pierron qui tenait l'Hôtel du Palais-Royal, de l'autre côté de la place Crillon (où a été tué Brune).
Le fondeur Joseph-Pierre Perre, qui installa sa fonderie place de la comédie, puis rue Calade en 1807 — Place Crillon, puis rue Joseph-Vernet pour nous — épousa donc en premières noces une fille Pierron, puis en secondes noces une veuve Pierron...
Quant à son frère Vincent, il a une fonderie adossée au rempart près de la porte de l'Oulle.
En tout cas, ces fonderies ne sont pas loin de l'église St-Agricol !
L'entreprise PERRE-PIERRON — il s'agit de donc deux patronymes — avait également un atelier derrière le palais des papes pour fondre les grosses cloches.
Oui, Michel et, pas bien loin non plus, il y avait GAUTIER & MONTSERRET puis GAUTIER tout seul (dont tu as déjà parlé) :
http://www.sonnailles.net/index.php/histoire/fondeurs-et-forgerons/avignon
Leurs marques de fabrique :
http://www.clocherobecourt.com/Robecourt/MarquesG.php
PS : penser à ajouter ici le tag "fonderie" pour joindre ces renseignements à ceux des anciens articles : "Les fantômes de la Maison 4 de chiffre" et "Cent ans après Gautier-Montserret".
J'ai corrigé mon lien vers Sonnailles.net !
J'ai rajouté le tag "fonderie".
Ce double patronyme professionnel "Perre-Pierron" qui a dû donc commencer avec (Joseph-)Pierre Perre, donne lieu à une faute assez répandue dans plusieurs textes qui écrivent "Pierre Pierron".
Il faudrait savoir si (Joseph-)Pierre Perre ne s'est pas associé à un Pierron, ou bien si le nom de jeune fille de sa première épouse, voire le patronyme marital de sa seconde épouse, n'en sont pas la raison.
Les trois cloches de la fonderie Monet à Lyon..
http://www.clocherobecourt.com/Robecourt/MarquesM.php
..ont été posées en 1897 :
http://www.ca-fondationpaysdefrance.org/fondation4/index.php/component/cdf/?controller=articles&view=articles&task=getArticlesItem&id_cdf_content=16&id_cdfgd=37
..il est donc fort probable que ce soit leur arrivée sur le parvis qui est représentée ici...
Yes ! Tilia mérite toujours son surnom de détective !
On a la date de la photo : 1897.
J'ai lu ça :
31/10/1890 Visite avec Cécile au Bourdon futur de Fourvière, dans l'atelier de la fonderie Monnet.
https://gw.geneanet.org/jybarbier?lang=en&n=arthaud&oc=0&p=claude+pierre+vincent
Monnet et pas Monet ?
Monnet avec deux "n" est une erreur de saisie.
C'est bien Monet avec un seul "n" qui est gravé dans le bronze :
http://www.clocherobecourt.com/Robecourt/Images/Marques/MONET%201891%20Pont%20de%20Etoile.jpg
MONET A LYON
Cependant, dans cette fiche de la base Palissy :
http://www2.culture.gouv.fr/public/mistral/palissy_fr?ACTION=CHERCHER&FIELD_98=AUTR&VALUE_98=Monet%20Brunet%20F&DOM=Tous&REL_SPECIFIC=3
il est noté "Monet Brunet F. (fondeur de cloches)"...
une fois encore bien fait de repasser... appris