La tombe de Fanot
The tomb of Fanot
La tombe de Clément Fanot se signale par une grosse cloche : le sonneur de Saint-Didier qui reprit l’harmonie du carillon, perdue depuis la Révolution et à qui Roumanille donna la notoriété en faisant de lui le héros de sa "Campano mountado". Beaucoup vinrent l’écouter. « Nous n'avons pas inventé le héros de notre poëme : voir la France musicale du 5 juin 1853 (n°23), qui a révélé à Paris et au monde, urbi et orbi, l'existence, en chair et en os, de l'incomparable original que nous avons vainement tenté de copier. Clément Fanot n'est pas seulement un immortel carillonneur, il est encore auteur de quatre Annuaires indicateurs d'Avignon et de Vaucluse, aujourd'hui épuisés : 1847, 1848, 1850 et 1854. Quand il affirme qu'il est homme d'adresses, Clément peut être cru sur parole ! » Joseph Roumanille "Lis oubreto en vers" 1864. |
Voici le Guide Fanot 1868 : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5726531c |
Commentaires
il a une bien belle tombe notre sonneur qui n'était pas Quasimodo, Monsieur Hugo
Je m'aperçois qu'il faut que je retourne photographier la plaque :
Clément Fanot a-t-il été marié trois ou quatre fois ???
Si c'est bien lui sur la gravure, il n'a pas l'air "difforme" ...
Merci pour la citation de "Lis oubreto en vers"
Cela ne se verrait pas sur son portrait, mais peut-être était-il bossu et boiteux ?
bonjour Michel.
merci beaucoup pour cette belle histoire d'oree.comme écrivaine ca mintéresse a considerer le fil de la réalité qui se faufile dans l'histoire.
et voici un roman qui appartient aussi a l'heritage francophone canadienne.
je t'embrasse.
A le voir ainsi on n'imagine pas, en effet, son infirmité.