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Lien permanent 9 commentaires Pin it!

Commentaires

  • j'ai pensé près de la porte Saint Lazare, et si j'en crois ce qui est écrit c'est en gros ça
    mais plus précisément, je ne sais pas

  • C'est vraisemblablement la première tourelle située au sud de la porte de l'Oulle (derrière l'arrêt de bus).

    Signe distinctif : grand arc en plein cintre (la presque totalité des autres sont en tiers-point), et mâchicoulis sur les courtines de part et d'autre.

    Et les arrachements de planchers de constructions démolies semble également correspondre.

  • Oui, c'est bien l'endroit signalé par AB. On voit les mêmes traces sur une photo où figure la tour ronde qui est au nord de la porte st Dominique. Ce n° 239 paraît être un recadrage d'une photo plus large. On notera, comme souvent, l'inclinaison des conduits de cheminée, probablement pour un meilleur tirage.
    Si j'ai bien compris ces constructions parasites se sont développées dans la période post-révolutionnaire et notamment dans les années 1800-1830 (?) alors qu'il n'était plus question d'abattre le rempart et que la ville pouvait tirer profit d'autorisations d'adossement ? Est-ce la démolition, étalée dans le temps, de ces constructions qui explique la présence grosso-modo au nord de la porte de l'Oulle, et même vers St Roch, de tas de pierres (manifestement trop petites pour servir à la restauration de la muraille) que l'on voit sur des clichés de la fin du XIXe ?

  • Lou, oui, c'est la conclusion à laquelle j'étais arrivé : les dépôts de matériaux visibles sur des clichés anciens provenaient de démolitions, et non pas d'une quelconque activité portuaire - souvent absente en cette partie de la berge du Rhône.

    La destruction (souvent payante) des matériaux de démolition est une invention moderne, jusqu'à une date récente la valeur de ces pierres, poutres et tuiles usagés était reconnue.

    Dès qu'il est question de démolitions, les prix-faits des XVII° et XVIII° siècle règlent le sort de la "dépouille".

    Et une situation particulière est connue à la porte du Rhône : lors de sa reconstruction en 1760, l'architecte Jean-Pierre Franque détermina que la valeur de la "dépouille" était supérieure à celle des travaux à réaliser, et les enchères furent emportées non pas par le moins-disant, mais par le maçon qui VERSA le plus d'argent pour faire les travaux et emporter la démolition...

  • J'ai trouvé pourquoi je pensais que cette photo pouvait être un recadrage. Dans l'étude que Clap et Huet ont consacrée aux remparts on a la même vue mais augmentée du double vers le sud. Ce qui me fait dire que c'est la même photo c'est que les rayures (à gauche) sont exactement identiques sur les deux clichés. Curieusement ce cliché est inventorié Archives municipales, fonds du Musée Calvet (sous-série 67 Fi) Avignon. "Photographie de Charles Bartésago". Or Bartésago ne s'est installé à Avignon qu'en 1909-1910. La date de 1882 étant la plus probable, ne serait-ce pas plutôt un 'fonds Bartésago" à qui l'on aurait à faire ? Si Sylvestre lit le blog....
    Evidemment si ce ne sont pas des rayures et traces que l'on voit à gauche ce que je viens d'écrire tombe à l'eau...

  • Le graphisme en bas du cliché me rappelle une vue du pont St Bénézet, qui porte la même date de 1882.

    Et il me semble que cette vue du pont est un cliché Mieusement.

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