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Peu de photos de cette rue qui était une vraie ruche avec un grand mélange de culture.Cette boutique avait 60 ans d'avance sur son temps car aujourd'hui tu vois des magasins du même style fleurir dans toutes les villes .Sommes nous plus propre ?
On dirait bien, Tilia, que tu as raison. Mais comment en est-tu arrivée là ? o_O
On voit un curieux petit appareil,, chauffage? brûleur de café? Bravo Tilia!
La marque du savon " Le Naturel" existe toujours!!
Le Naturel : il est de Marseille, nous le savons !!!
Michel, dis-moi comment tu as obtenu cette photo (carte postale ?) et je te dirai comment j'ai trouvé l'adresse de l'épicerie ;-)
C'est Michel Bourgue qui l'a publiée sur Facebook.
J'ai trouvé dans l'annuaire de 1924 une épicerie au 6 rue des Infirmières.
C'est celle de Gabriel Borel.
Je pense que c'est lui que l'on voit sur la photo qui doit être de cette époque.
Je ne suis pas chez moi mais si la rue des Infirmières est peut-être la bonne piste j'ai un doute sur la localisation à l'endroit montré: on devrait voir sur la photo l'amorce de la deuxième fenêtre et surtout les larmiers qui sont souvent d'excellents indices ne correspondent pas exactement. Faudrait parcourir le reste de la rue. Sans oublier qu'une partie de la rue, côté impair, est constituée d'immeubles neufs.
Je ne suis pas chez moi mais si la rue des Infirmières est peut-être la bonne piste j'ai un doute sur la localisation à l'endroit montré: on devrait voir sur la photo l'amorce de la deuxième fenêtre et surtout les larmiers qui sont souvent d'excellents indices ne correspondent pas exactement. Faudrait parcourir le reste de la rue. Sans oublier qu'une partie de la rue, côté impair, est constituée d'immeubles neufs.
Tout bien réfléchi c'est quand même ce n° 6 qui est le plus ressemblant. Je faisais référence à l'écartement des deux fenêtres les plus à l'Est. Si on prend celles le plus à l'ouest cela semble coller (trace sur le mur, à droite, entre le A et le T). L'inscription va bien jusqu'à la descente en zinc. Ce serait le fait d'avoir décroûter la façade qui aurait permis de retrouver la sous-moulure manquante du larmier. Ombre portée, cela colle aussi. Je vérifierai lorsque j'aurai récupéré mes annuaires et listes.
Chapeau à Tilia car ce n'était pas du tout évident de penser aux Infirmières !
Michel (qu'on se le dise) il est tout-à-fait exceptionnel que je mette ma face dans "fesse bouc" :D
Je n'ai pas de compte (et je n'en aurai jamais. Alors il est extrêmement rare que je pointe le bout de mon nez dans ce site car je ne tiens pas à être cataloguée (voir enregistrée sans mon autorisation) par ce service que je n'aime pas, entre autres, pour sa présentation on ne peut plus fouillis.
Le commentaire de Michel Bourgue semble reconnaître implicitement que la rue des Infirmières est la bonne adresse pour cette photo ancienne. En a-t-il précisé l'adresse dans sa publication sur Facebook ?..
Ah, je vois que Lou Ravi, lui aussi, a remarqué que à l'instar de la fenêtre visible sur la photo, on distingue sur le bord supérieur de l'enseigne l'ombre projetée par le larmier de la fenêtre de droite hors champ. J'allais justement lui en parler.
Pour ce qui est de l'adresse je n'ai pas grand mérite à l'avoir dénichée, si ce n'est pour cela d'avoir bravé les mises en garde des navigateurs (firefox et internet explorer) qui s'opposent tous les deux fermement à l'ouverture de la page dans laquelle j'ai trouvé mention de la rue des Infirmières.
"La connexion n’est pas sécurisée ! Les propriétaires de prestige.delcampe.co.uk ont mal configuré leur site web. Pour éviter que vos données ne soient dérobées, Firefox ne s’est pas connecté à ce site web. Le site utilise un certificat de sécurité invalide. Le certificat n’est pas sûr car le certificat de l’autorité l’ayant délivré est inconnu."
Heureusement que mon antivirus (Bitdefender) affirme que la page est sûre ce qui m'as permis d'accéder aux informations qui accompagnent cette carte postale ancienne :
Ah donc, Tilia, tu es allée sur FB grâce au compte de quelqu'un d'autre.
Car, ici, tu a cité la rue des Infirmières avant que Michel ne commente.
En effet, Michel a publié cette photo sur FB en titrant : "Rue des Infirmières ?"
Avec un point d'interrogation.
Ah mince, excuses, j'ai répondu avant d'avoir lu ton second commentaire, Tilia !
Comment as-tu fait, Tilia, pour trouver cette photo sur Delcampe ?
Je ne la trouve pas... o_O
Mystère éclairci. Car j'avoue que cela me turlupinait: comment Tilia a-t-elle pu cibler, tout de suite, la rue des Infirmières ? Car dans ces années là (25-30 ?) il y avait plus de 300 épiceries à Avignon. Restait tout de même à trouver l'endroit précis ce qui n'était pas une mince affaire. Le savon Le Naturel était un savon marseillais, je crois que la marque a été reprise. Il y avait une dizaine de savonneries à Avignon, souvent très polluantes.
Michel, y'a pas de mal !
Mon commentaire n'était pas très clair, mais je confirme que je ne suis pas allée sur FB. D'ailleurs, je ne vois pas comment j'aurais su que la photo que tu publies vient de ce site.
Cela dit, on peut accéder aux pages publiques sur FB sans y avoir un compte personnel et sans passer par celui de quelqu'un d'autre. Il m'arrive exceptionnellement d'aller jeter un œil sur un site indiqué par France-Info en complément d'une information donnée.
Pour trouver j'ai tout simplement fait une recherche google avec "épicerie du savon le naturel" (les guillemets sont indispensables) essaie, tu verras on tombe directement sur la page en question. Et, finalement, il n'y a même pas besoin d'ouvrir la page, l'adresse est mentionnée dans le titre sur la première occurrence de résultat dans google. C'est pour voir la photo confirmant qu'il s'agit bien de celle correspondant à ta publication que j'ai été obligée de passer par dessus les barrières d'avertissements flippants des navigateurs :-)
en ce qui concerne le savon soit la marque a été racheté et sert à écouler un soi disant savon de Marseille, soit elle est tombée dans le domaine public et a été déposée de nouveau, dans les deux cas c'est le même produit improbable. Sinon vous m"espantez dans vos recherches! Quand vous aurez trouvé la location exacte de cette épicerie j'aimerais profiter de vos lumières pour l'ustensile : sorte de brûleur dont le dessus cheminé s'ouvre. Pas un appareil de torréfaction courant à cette époque, car le café devait être tourné pour ne pas brûler. Encore moins une lessiveuse même pour les petites culottes des dames. Appareil agricole pour diffuser je ne sais quelle produit? Si seulement j'avais encore un vieux catalogue Manufrance !
Vu, Tilia !
Et on retrouve écrit au dos de la carte la mention :
"Émile Borel rue des Infirmières Avignon". Borel comme je le soupçonnais.
Le texte de la carte étant signé "E. Borel".
Alors, Gabriel Borel à cette adresse en 1924, sous la rubrique "Fruits et Primeurs", en est-il le père, le fils, le frère... ? Et peut-on dater la photo plus précisément ?
En 1900, à la rubrique "Fruitiers", au 6 rue des Infirmières : Jean Rouvier.
Tilia, sauriez-vous pourquoi les guillemets sont-ils indispensables dans cette recherche ?
@ Frédéric : les guillemets sont indispensables dans toute recherche un peu "pointue" ceci afin de forcer le moteur de recherches à tenir compte en priorité des mots clés mis entre guillemets, au lieu d'envoyer d'abord un tas de liens commerciaux plus ou moins (plutôt moins que plus !) pertinents.
En dehors de la page du site anglais "prestige.delcampe" publiant la carte postale marquée 84, il n'y a aucune mention de l'épicerie du Savon le Naturel à Avignon, sur le net. Heureusement que Michel a trouvé dans l'annuaire 1924 l'adresse de l'épicerie de Gabriel Borel au 6 rue des Infirmières, pour confirmer la localisation que j'avais repérée dans Street View !
En sondant le site Delcampe pour avoir un peu plus d'information sur l'entreprise d'origine du Savon le Naturel j'ai trouvé de belles affiches et autres chromos publicitaires, ainsi que pas mal de factures un buvard publicitaire et même un superbe calendrier de 1907.
On peut les voir au début de mon tableau 'Publicités 1870-1970" sur Pinterest :
Habituellement je n'y publie que des images publicitaires, mais j'ai ajouté "temporairement" ma moisson concernant le Savon le Naturel pour plus de facilité de consultation des images. Comme ça, pas besoin de copier une demi douzaine d'adresse dans ce commentaire ;-)
Résultat des courses :
la Savonnerie du Naturel a été fondée en 1820 (dixit le buvard) par Alfred Rostand & Fils à Marseille. Les bureaux étaient au 76 rue Sainte et l'usine au 5 Rue Tyrans.
L'un des fournisseurs était l'Huilerie A. Brunel, 3 et 4 rue Saint-Charles à Nîmes.
En 1933 la société "anciennes Usines Alfred Rostand & Fils" est devenue la SA "Savonneries et Huileries du Naturel" toujours basée au 76, rue Sainte à Marseille.
Outre les savons "Le Naturel" et "Gobelet d'Or", elle commercialise désormais l'huile d'arachide "Toutebonne", l'huile d'olive "Superolive", la graisse alimentaire végétale "Cocobon"...
Ainsi que la lessive supérieur "La Naturelle", mentionnée sur la devanture de l'épicerie avignonnaise.
Sur le trottoir: Exactement ce qui figure au catalogue Manufrance 1930. Brûloir à café sphérique "de professionnel" (en fait pour épiciers). Modèle à bascule car la boule que l'on tourne est à l'intérieur, juste sous le cône. On la bascule (le cône s'ouvre grâce à la poignée) pour charger et recharger en café (5 kg maxi). Ici la manivelle a été ôtée. Hauteur 95 cm poids 20 kg. Prix 248 F soit environ 150 €.
Merci Lou Ravi, on peut imaginer que, grâce à cette merveille technologique stéphanoise, l'épicier torréfiait devant son magasin et embaumait ainsi la rue.
Commentaires
dans le passé
et quant à savoir où était cette boutique aux bons produits, reviendrai voir
Vous arrivez à lire la marque du savon?
je suis trop con, c'est le naturel! les écolos étaient déjà là!
Épicerie du Savon...
Curieux mélange entre le savon (et la lessive) de l'enseigne, et les traditionnels produits alimentaires de l'épicier.
Un super-marché avant l'heure !
Pour ce qui est de l'adresse, quelque chose me dit que cette épicerie se trouvait rue des Infirmières...
Peut-être bien là :
https://www.google.fr/maps/@43.9512939,4.8124537,3a,79y,167.67h,93.38t/data=!3m6!1e1!3m4!1sZD7ompPCFHhq1ZpwWRwD8Q!2e0!7i13312!8i6656
Peu de photos de cette rue qui était une vraie ruche avec un grand mélange de culture.Cette boutique avait 60 ans d'avance sur son temps car aujourd'hui tu vois des magasins du même style fleurir dans toutes les villes .Sommes nous plus propre ?
On dirait bien, Tilia, que tu as raison. Mais comment en est-tu arrivée là ? o_O
On voit un curieux petit appareil,, chauffage? brûleur de café? Bravo Tilia!
La marque du savon " Le Naturel" existe toujours!!
http://www.beaute-test.com/savon_le_naturel.php
Le Naturel : il est de Marseille, nous le savons !!!
Michel, dis-moi comment tu as obtenu cette photo (carte postale ?) et je te dirai comment j'ai trouvé l'adresse de l'épicerie ;-)
C'est Michel Bourgue qui l'a publiée sur Facebook.
J'ai trouvé dans l'annuaire de 1924 une épicerie au 6 rue des Infirmières.
C'est celle de Gabriel Borel.
Je pense que c'est lui que l'on voit sur la photo qui doit être de cette époque.
Je ne suis pas chez moi mais si la rue des Infirmières est peut-être la bonne piste j'ai un doute sur la localisation à l'endroit montré: on devrait voir sur la photo l'amorce de la deuxième fenêtre et surtout les larmiers qui sont souvent d'excellents indices ne correspondent pas exactement. Faudrait parcourir le reste de la rue. Sans oublier qu'une partie de la rue, côté impair, est constituée d'immeubles neufs.
Je ne suis pas chez moi mais si la rue des Infirmières est peut-être la bonne piste j'ai un doute sur la localisation à l'endroit montré: on devrait voir sur la photo l'amorce de la deuxième fenêtre et surtout les larmiers qui sont souvent d'excellents indices ne correspondent pas exactement. Faudrait parcourir le reste de la rue. Sans oublier qu'une partie de la rue, côté impair, est constituée d'immeubles neufs.
Tout bien réfléchi c'est quand même ce n° 6 qui est le plus ressemblant. Je faisais référence à l'écartement des deux fenêtres les plus à l'Est. Si on prend celles le plus à l'ouest cela semble coller (trace sur le mur, à droite, entre le A et le T). L'inscription va bien jusqu'à la descente en zinc. Ce serait le fait d'avoir décroûter la façade qui aurait permis de retrouver la sous-moulure manquante du larmier. Ombre portée, cela colle aussi. Je vérifierai lorsque j'aurai récupéré mes annuaires et listes.
Chapeau à Tilia car ce n'était pas du tout évident de penser aux Infirmières !
Michel (qu'on se le dise) il est tout-à-fait exceptionnel que je mette ma face dans "fesse bouc" :D
Je n'ai pas de compte (et je n'en aurai jamais. Alors il est extrêmement rare que je pointe le bout de mon nez dans ce site car je ne tiens pas à être cataloguée (voir enregistrée sans mon autorisation) par ce service que je n'aime pas, entre autres, pour sa présentation on ne peut plus fouillis.
Le commentaire de Michel Bourgue semble reconnaître implicitement que la rue des Infirmières est la bonne adresse pour cette photo ancienne. En a-t-il précisé l'adresse dans sa publication sur Facebook ?..
Ah, je vois que Lou Ravi, lui aussi, a remarqué que à l'instar de la fenêtre visible sur la photo, on distingue sur le bord supérieur de l'enseigne l'ombre projetée par le larmier de la fenêtre de droite hors champ. J'allais justement lui en parler.
Pour ce qui est de l'adresse je n'ai pas grand mérite à l'avoir dénichée, si ce n'est pour cela d'avoir bravé les mises en garde des navigateurs (firefox et internet explorer) qui s'opposent tous les deux fermement à l'ouverture de la page dans laquelle j'ai trouvé mention de la rue des Infirmières.
"La connexion n’est pas sécurisée ! Les propriétaires de prestige.delcampe.co.uk ont mal configuré leur site web. Pour éviter que vos données ne soient dérobées, Firefox ne s’est pas connecté à ce site web. Le site utilise un certificat de sécurité invalide. Le certificat n’est pas sûr car le certificat de l’autorité l’ayant délivré est inconnu."
Heureusement que mon antivirus (Bitdefender) affirme que la page est sûre ce qui m'as permis d'accéder aux informations qui accompagnent cette carte postale ancienne :
https://images-01.delcampe-static.net/img_large/auction/000/281/757/236_001.jpg?v=0
Ah donc, Tilia, tu es allée sur FB grâce au compte de quelqu'un d'autre.
Car, ici, tu a cité la rue des Infirmières avant que Michel ne commente.
En effet, Michel a publié cette photo sur FB en titrant : "Rue des Infirmières ?"
Avec un point d'interrogation.
Ah mince, excuses, j'ai répondu avant d'avoir lu ton second commentaire, Tilia !
Comment as-tu fait, Tilia, pour trouver cette photo sur Delcampe ?
Je ne la trouve pas... o_O
Mystère éclairci. Car j'avoue que cela me turlupinait: comment Tilia a-t-elle pu cibler, tout de suite, la rue des Infirmières ? Car dans ces années là (25-30 ?) il y avait plus de 300 épiceries à Avignon. Restait tout de même à trouver l'endroit précis ce qui n'était pas une mince affaire. Le savon Le Naturel était un savon marseillais, je crois que la marque a été reprise. Il y avait une dizaine de savonneries à Avignon, souvent très polluantes.
Michel, y'a pas de mal !
Mon commentaire n'était pas très clair, mais je confirme que je ne suis pas allée sur FB. D'ailleurs, je ne vois pas comment j'aurais su que la photo que tu publies vient de ce site.
Cela dit, on peut accéder aux pages publiques sur FB sans y avoir un compte personnel et sans passer par celui de quelqu'un d'autre. Il m'arrive exceptionnellement d'aller jeter un œil sur un site indiqué par France-Info en complément d'une information donnée.
Pour trouver j'ai tout simplement fait une recherche google avec "épicerie du savon le naturel" (les guillemets sont indispensables) essaie, tu verras on tombe directement sur la page en question. Et, finalement, il n'y a même pas besoin d'ouvrir la page, l'adresse est mentionnée dans le titre sur la première occurrence de résultat dans google. C'est pour voir la photo confirmant qu'il s'agit bien de celle correspondant à ta publication que j'ai été obligée de passer par dessus les barrières d'avertissements flippants des navigateurs :-)
en ce qui concerne le savon soit la marque a été racheté et sert à écouler un soi disant savon de Marseille, soit elle est tombée dans le domaine public et a été déposée de nouveau, dans les deux cas c'est le même produit improbable. Sinon vous m"espantez dans vos recherches! Quand vous aurez trouvé la location exacte de cette épicerie j'aimerais profiter de vos lumières pour l'ustensile : sorte de brûleur dont le dessus cheminé s'ouvre. Pas un appareil de torréfaction courant à cette époque, car le café devait être tourné pour ne pas brûler. Encore moins une lessiveuse même pour les petites culottes des dames. Appareil agricole pour diffuser je ne sais quelle produit? Si seulement j'avais encore un vieux catalogue Manufrance !
Vu, Tilia !
Et on retrouve écrit au dos de la carte la mention :
"Émile Borel rue des Infirmières Avignon". Borel comme je le soupçonnais.
Le texte de la carte étant signé "E. Borel".
Alors, Gabriel Borel à cette adresse en 1924, sous la rubrique "Fruits et Primeurs", en est-il le père, le fils, le frère... ? Et peut-on dater la photo plus précisément ?
En 1900, à la rubrique "Fruitiers", au 6 rue des Infirmières : Jean Rouvier.
Wilfrid : je pense à un braséro :
http://thumbs1.picclick.com/d/w1600/pict/331940193832_/ancien-po%C3%AAle-brasero.jpg
https://img7.leboncoin.fr/xxl/f91/f91c2fe248af46b464d4acd37506dd351ceaad4f.jpg
http://www.fadparis.com/images/produits/suppl_600/12870_7.jpg
Tilia, sauriez-vous pourquoi les guillemets sont-ils indispensables dans cette recherche ?
@ Frédéric : les guillemets sont indispensables dans toute recherche un peu "pointue" ceci afin de forcer le moteur de recherches à tenir compte en priorité des mots clés mis entre guillemets, au lieu d'envoyer d'abord un tas de liens commerciaux plus ou moins (plutôt moins que plus !) pertinents.
En dehors de la page du site anglais "prestige.delcampe" publiant la carte postale marquée 84, il n'y a aucune mention de l'épicerie du Savon le Naturel à Avignon, sur le net. Heureusement que Michel a trouvé dans l'annuaire 1924 l'adresse de l'épicerie de Gabriel Borel au 6 rue des Infirmières, pour confirmer la localisation que j'avais repérée dans Street View !
En sondant le site Delcampe pour avoir un peu plus d'information sur l'entreprise d'origine du Savon le Naturel j'ai trouvé de belles affiches et autres chromos publicitaires, ainsi que pas mal de factures un buvard publicitaire et même un superbe calendrier de 1907.
On peut les voir au début de mon tableau 'Publicités 1870-1970" sur Pinterest :
https://fr.pinterest.com/TiliaVesper/publicit%C3%A9s-1870-1970/
Habituellement je n'y publie que des images publicitaires, mais j'ai ajouté "temporairement" ma moisson concernant le Savon le Naturel pour plus de facilité de consultation des images. Comme ça, pas besoin de copier une demi douzaine d'adresse dans ce commentaire ;-)
Résultat des courses :
la Savonnerie du Naturel a été fondée en 1820 (dixit le buvard) par Alfred Rostand & Fils à Marseille. Les bureaux étaient au 76 rue Sainte et l'usine au 5 Rue Tyrans.
L'un des fournisseurs était l'Huilerie A. Brunel, 3 et 4 rue Saint-Charles à Nîmes.
En 1933 la société "anciennes Usines Alfred Rostand & Fils" est devenue la SA "Savonneries et Huileries du Naturel" toujours basée au 76, rue Sainte à Marseille.
Outre les savons "Le Naturel" et "Gobelet d'Or", elle commercialise désormais l'huile d'arachide "Toutebonne", l'huile d'olive "Superolive", la graisse alimentaire végétale "Cocobon"...
Ainsi que la lessive supérieur "La Naturelle", mentionnée sur la devanture de l'épicerie avignonnaise.
Sur le trottoir: Exactement ce qui figure au catalogue Manufrance 1930. Brûloir à café sphérique "de professionnel" (en fait pour épiciers). Modèle à bascule car la boule que l'on tourne est à l'intérieur, juste sous le cône. On la bascule (le cône s'ouvre grâce à la poignée) pour charger et recharger en café (5 kg maxi). Ici la manivelle a été ôtée. Hauteur 95 cm poids 20 kg. Prix 248 F soit environ 150 €.
Lou Ravi, 248 francs anciens = 37,81 €
http://fr.coinmill.com/EUR_FRF.html#FRF=248
;-)
Lou Ravi, bon d'accord ! j'ai encore raté une occasion de me taire ! je n'ai pas tenu compte de l'inflation depuis 1930 !!!
Je suis vraiment scotché par le fruit de vos recherches aux uns et aux autres. Après être revenu à l'instant sur ce post et ses commentaires, j'ai googelisé et effectivement abouti à la carte sur delcampe.net, où on a même le "bonjour à tous" au verso --> https://prestige.delcampe.net/nl/verzamelingen/postkaarten/frankrijk-avignon/carte-photo-avignon-rue-des-infirmieres-epicerie-du-savon-le-naturel-281757236.html
Merci Lou Ravi, on peut imaginer que, grâce à cette merveille technologique stéphanoise, l'épicier torréfiait devant son magasin et embaumait ainsi la rue.
La réponse :
http://avignon.hautetfort.com/archive/2016/11/15/nounant-an-apres-6-carriero-dis-infiermiero.html