Art de rue en danger
Street art in danger
"Chapelle urbaine" de Sébastien Grau.
Rue Peyrollerie (cliquer sur la photo).
"Les chapelles urbaines" de Sébastien Grau à l'hôtel de Forbin La Barben.
Photos Brigitte Célerier (cliquer sur la photo).
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Art de rue en danger
Street art in danger
"Chapelle urbaine" de Sébastien Grau.
Rue Peyrollerie (cliquer sur la photo).
"Les chapelles urbaines" de Sébastien Grau à l'hôtel de Forbin La Barben.
Photos Brigitte Célerier (cliquer sur la photo).
Commentaires
je ne les cherchais pas aussi haut… pensais bien qu'elles auraient du mal à supporter orages et vent
De telles créations demandent beaucoup de talent et d'imagination pour une réalisation qui semble éphémère.
pour plus amples informations
http://www.parcoursdelart.com/copie-de-dumas-yohan
http://www.parcoursdelart.com/artistes
Je connais mal la démarche de Sébastien Grau. Me rendant de temps en temps en Suisse (serait-il de ce pays ?) j'ai vu à Rolle des affiches annonçant une exposition de ses oeuvres à Lausanne (sur son site on parle d'une expo à Sion: http://sebgrau.ch)
Lou Ravi aurait-il un compte en Suisse? :-)
le disparition des œuvres est sans doute prévue par l'artiste, art éphémère donc.
Comment, Wilfrid, pas toi ?
Personnellement, je vais régulièrement en Suisse également. :D)
Ces œuvres sont titrées également "Chapelles du patrimoine".
Comment peut-on concilier Patrimoine et Éphémère ???
Il me semble que la démarche de l'artiste est de mettre en lumière la fragilité de ce qu'il est convenu d’appeler les "petits patrimoines" telles les vierges, et autres statues de saints, dans leurs niches, ces petits oratoires qui ressemblent à de mini chapelles.
Les disparues de la Balance font partie du Patrimoine, hélas, éphémère.
Sans parler des niches qui se dégradent faute d'entretien, ou d'attention lors des ravalements de façades notamment.
Difficile de classer les niches en pierre dans l'éphémère.
Bien sûr, tout peut disparaître...
Le patrimoine se construit avec ce que l'on peut garder.
L'éphémère est tout ce que l'on ne pourra jamais garder.
Sauf dans quelques cas exceptionnels de collectionneurs du fragile...
Je pense à Bernard Belluc et le MIAM... :D)
Allez-donc faire un tour chez Bernard Belluc : l'éphémère s'y transforme en perpétuité !
http://bernardbelluc.com/
Sébastien Grau est bien suisse à ce que je lis dans le programme du Parcours.
Je n'ai pas vu grand chose de ce Parcours de l'Art dont les oeuvres interpellent parfois par leur "hermétisme". Sauf si l'on est immédiatement séduit par la couleur, la plastique, le compliqué ou le simple du travail on risque de buter sur le "message". Si l'on n'a pas la clé et si l'on ne connaît pas l'artiste. C'est le cas pour moi avec les "boîtes" de SG. Je me dit que la parole et la pensée, la créativité de l'artiste sont parfois tellement riches ou alambiquées qu'il a du mal à les rendre sous une forme tangible.
Bien le rappel du MIAM. Je n'y ai plus mis les pieds depuis longtemps. Cela va m'inciter à y aller et à faire un saut à Valéry, je viens de voir qu'il y a une expo Ernst-Tanguy.
Occasion de rappeler que la magnifique expo (elles sont toutes magnifiques !) de la Villa Datris à l'Isle se termine dans quelques jours, le 1er novembre.
Je suis vite allée voir le parcours de l'art avant que ça ferme. J'ai vu le travail de Sébastien Grau un peu partout - j'avoue qu'au petit palais, ça ne passait pas très bien. En comparaison avec les chefs d'oeuvre absolus qu'on voit là-bas, son travail faisait bien pauvre et bien convenu, quel que soit le discours qu'il ajoute par-dessus. Les boites, il a dû les faire faire (jespère au moins que c'est lui qui les a dessinées) et ses collages de flous, ben... bof.