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cette fois pas de belles ombres, mais effets de matière
merveille du noir et blanc - surtout quand bon ou grand photographe
Amusants, les vestiges d'affichage... c'était l'époque où la Croix des Oiseaux était encore un quartier d'Avignon... et où l'on pouvait voir une affiche du parti communiste recouvrir celle de Jacques Chirac...
Pour le reste, poterne au bas de la tour St Laurent, démurée de ce côté dans les années 1990, mais elle l'est toujours à l'autre bout.
Et le grand et bon photographe, qui nous a déjà démontré à mille reprises son talent, c'est Michel, non ?
(*^_^*)
La plupart du temps, quand rien n'est mentionné sous la photo, c'est que la photo est de moi. Sauf toutes les photos datant d'avant 1970 et dont le photographe est inconnu.
Bien que, au début de ce blog, j'ai souvent omis de mentionner le nom du photographe...
C'est le thème de mon image, Guima. Les mouvements se dégradent, l'@narchie ressort !
Il y avait un noyau anarchiste avignonnais assez actif dans les annés 70. On les retrouvera à une époque dans un restaurant de la rue des Teinturiers.
Lou, sais-tu qui l'on surnomme "Lou Ravi" sur Facebook ?
Crun-Crun !!!
Alors... c'est toi !?
@Alain Breton : Alors ce n'est pas une simple niche ? Où menait cette poterne ??
@Michel et @Quiconque sait : (Question de candide en photographie) Est-ce le noir et blanc qui "sublime" des éléments qui, objectivement, ne sont pas "beaux" ?
Parce que (subjectivement ...) c'est une très belle photo !
Frédéric, je dirais oui. Je crois que c'est parce que le noir et blanc nous libère de l'agression chromatique dont nous faisons l'objet quotidiennement (et qui plus est depuis les nouvelles technologies numériques !). La disparition des couleurs nous rend plus tranquille, plus attentif et réceptif au sujet.
Mais cela dépend aussi des sujets : les dégradations, les ruines ou les ordures sont extrêmement photogéniques et le gris les sublime ! Nous aurons plus d'empathie devant la souffrance humaine en noir et blanc, parce que nous avons tendance à refouler l'image rouge de sang.
Et puis, cela fait à peine plus de 50 ans que nous sommes réellement entrés dans l'image photographique couleur*. Nous avons une importante culture de l'image en noir et blanc, qui demandait du travail et de l'attention, alors que les images faciles d'aujourd'hui font un océan de couleurs en mouvement.
Commentaires
cette fois pas de belles ombres, mais effets de matière
merveille du noir et blanc - surtout quand bon ou grand photographe
Amusants, les vestiges d'affichage... c'était l'époque où la Croix des Oiseaux était encore un quartier d'Avignon... et où l'on pouvait voir une affiche du parti communiste recouvrir celle de Jacques Chirac...
Pour le reste, poterne au bas de la tour St Laurent, démurée de ce côté dans les années 1990, mais elle l'est toujours à l'autre bout.
Et le grand et bon photographe, qui nous a déjà démontré à mille reprises son talent, c'est Michel, non ?
(*^_^*)
La plupart du temps, quand rien n'est mentionné sous la photo, c'est que la photo est de moi. Sauf toutes les photos datant d'avant 1970 et dont le photographe est inconnu.
Bien que, au début de ce blog, j'ai souvent omis de mentionner le nom du photographe...
on peut y voir le symbole des anarchistes de 68.
http://api.blogs.rue89.nouvelobs.com/sites/blogs/files/styles/mobile2-tablette-asset-center/public/assets/image/2010/01/9782862276212.PT04.jpg
C'est le thème de mon image, Guima. Les mouvements se dégradent, l'@narchie ressort !
Il y avait un noyau anarchiste avignonnais assez actif dans les annés 70. On les retrouvera à une époque dans un restaurant de la rue des Teinturiers.
Lou, sais-tu qui l'on surnomme "Lou Ravi" sur Facebook ?
Crun-Crun !!!
Alors... c'est toi !?
@Alain Breton : Alors ce n'est pas une simple niche ? Où menait cette poterne ??
@Michel et @Quiconque sait : (Question de candide en photographie) Est-ce le noir et blanc qui "sublime" des éléments qui, objectivement, ne sont pas "beaux" ?
Parce que (subjectivement ...) c'est une très belle photo !
Frédéric, je dirais oui. Je crois que c'est parce que le noir et blanc nous libère de l'agression chromatique dont nous faisons l'objet quotidiennement (et qui plus est depuis les nouvelles technologies numériques !). La disparition des couleurs nous rend plus tranquille, plus attentif et réceptif au sujet.
Mais cela dépend aussi des sujets : les dégradations, les ruines ou les ordures sont extrêmement photogéniques et le gris les sublime ! Nous aurons plus d'empathie devant la souffrance humaine en noir et blanc, parce que nous avons tendance à refouler l'image rouge de sang.
Et puis, cela fait à peine plus de 50 ans que nous sommes réellement entrés dans l'image photographique couleur*. Nous avons une importante culture de l'image en noir et blanc, qui demandait du travail et de l'attention, alors que les images faciles d'aujourd'hui font un océan de couleurs en mouvement.
* Elle existe depuis plus de 100 ans !