Cent ans après 4 rue du Vieux-Sextier
A hundred years after Vieux-Sextier street 4
XXe siècle
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Cent ans après 4 rue du Vieux-Sextier
A hundred years after Vieux-Sextier street 4
XXe siècle
Commentaires
Les colonnes de fonte qui séparent la vitrine en 3 sont toujours là, elles ont simplement changé de couleur. Et il y a toujours 2 gouttières parallèles à droite...
Entre ces deux étapes, le Grand Bazar de la famille Darasse, tout une époque qui s'en est allée... Leur autre boutique de Pont-d'Avignon est passée des stores, bâches et rabannes aux pizzas livrées à domicile...
La vitrine de la Lampisterie m'attire irrésistiblement.
Dommage que la machine à remonter le temps ne soit pas encore opérationnelle :D
Alain
Mme Darasse est toujours en vie et son fils gère des chambres d'hôtes dans la Drome
Mr Darasse venait chercher son St Marcelin avant d'aller enfiler des perles au pont d'Avignon(ce sont ses termes )
J'ai servi Mme 40 ans pour un petit morceau de bleu d'Auvergne par semaine qu'elle avait baptise "Valmont " aussi lorsque je la croise je lui dis bonjour Mme Valmont
Michel,
Merci de ces nouvelles qui me font plaisir. Dans ma famille, le Grand Bazar était presque une institution...
Les évènements de la nuit me font rebondir sur un détail révélé par les 3 clichés : à l'époque du lampiste, les deux soupiraux de cave étaient installés à la verticale et hors d'eau, bien dégagés au dessus du trottoir. Epoque pré-moderne, la façade les cache (la ventilation se fait par l'intérieur ?). Enfin, de nos jours, les soupiraux reviennent à l'extérieur (en fait, c'est la façade qui a reculé) , mais bien horizontaux et au ras du pavé. Quid en cas de fort ruissellement ?
Moralité : le pavage de la zone piétonne a été conçu par quelqu'un qui croyait que dans le sud il ne pleut jamais...
Oui, Alain j'avais remarqué cela. Peut-être les grilles au sol au XXIe siècle envoient sur une évacuation des eaux, alors que les soupiraux du XIXe aéraient la cave... En tout cas je l'espère !
Je connais des exemples de soupiraux aérant les caves, placés donc verticalement sur la façade et légèrement surélévés, mais que les aménagements sur le domaine public ont rendus à ras du sol.