École des Carmes 1942-43
Carmes school 1942-43
Source : Odette Neuviller-Jalade.
De bas en haut et de gauche à droite :
1er RANG 1.- Alain Di Nicola 2.- Ricci 3.- Ricci 4.- 5.- 6.- 7.- |
2e RANG 1.- 2.- 3.- 4.- 5.- Andrée Bon 6.- Mireille Tronc 7.- 8.- Marie-Blanche Perrier 9.- 10.- Christiane Bougnasse 11.- 12.- |
3e RANG 1.- 2.- 3.- 4.- 5.- 6.- 7.- Jeanine Blanc 8.- 9.- Mado Blanc 10.- Odette Neuviller 11.- Chabanne ? 12.- |
4e RANG 1.- Laurent ? 2.- 3.- 4.- 5.- Michel Moutte 6.- Jean-Paul Richard 7.- 8.- 9.- Paul Souchère 10.- 11.- 12.- |
Commentaires
à mon avis ils ont dû beaucoup changer, mes aînés d'un peu
bonjour Michel!
alors ca va bien pour moi le commentaire ici.
ah tu cherches les noms des anciennes photo. j'ai juste fait la meme chose ici.je suis allée a la celebration de 100 ans de l'ecole grandin et j'ai trouve les photos de la famille de mon pere. et une photo de un oncle qui etait tue dans la deuxieme guerremondiale.il etait sur l'equipe de hockey a lecole grandin on a vu ca dans la photo.c'est poignant cette activité mais c''est difficile a reconnaitre les gens si il nexiste pas d'autre photos pour confirmer.
je tembrasse.
bonne chance
Etonnant: je n'ai jamais entendu parler d'une école des Carmes. Si on est bien dans le groupe Persil-Pouzaraque, ce qui est probable, ce terme Carmes est peut-être une initiative personnelle pour désigner cette classe mixte dont les élèves iraient bientôt au cours préparatoire des deux écoles que je viens de citer. L'école de filles étaient à La Pouzaraque et celle des garçons à Persil sa voisine. L'école maternelle (filles et garçons) était à Persil.
Bonjour Madeleine ! Merci. Content d'avoir de tes nouvelles ! Je t'embrasse aussi.
Aurait-il existé, un court temps, une école privée "des Carmes" ? Sinon on en revient à ce que j'évoquais plus haut.
Sur FB :
« Patricia Jalade-Ricci :
Oui, "École des Carmes" qui se situait au n°7bis rue Louis Pasteur ! »
(Sa maman est sur la photo.)
C'est donc bien cela, il s'agissait de l'établissement privé (lié à Louis Pasteur) situé là où il y a La Cour du Barouf (pendant le Off). J'ignorais totalement qu'il était nommé Ecole des Carmes. Rien à voir avec Persil-Pouzaraque. Surprise de voir les bouilles de JP Richard et Michel Moutte enfants !
Étonnante gamme d'expressions diverses et variées sur ces visages d'enfants.
Il y a gros à parier que le photographe leur a dit "attention ! le petit oiseau va sortir".
Certains ont l'air d'y croire, alors que d'autres semblent dubitatifs.
Oui, Tilia. Je pense fortement que l'on peut trouver dans ces expressions des sentiments qui ne sont pas sans rapport avec ces années-là : l'Occupation.
Les mines inquiètes seraient-elles la prémonition des bombardements à venir ?
En 44 ma sœur avait douze ans, elle s'en souvient parfaitement.
Je pensais plutôt aux rafles d'enfants juifs (et leurs parents) qui ont commencé en 1942 à Avignon...