Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

01:01

347870935.jpg

Lien permanent 9 commentaires Pin it!

Commentaires

  • tu as vu Lear ou tu passais ?
    honte des photos de nuit que viens de mettre en ligne en voyant cela

  • Sur la photo, deux mondes qui s'ignorent.
    Py lui a ignoré le simple b-a ba de la mise en scène et du jeu des acteurs. Un copain pourtant ordinairement très Pyphile a même reconnu le désastre.
    Le Monde a bien résumé:

    http://www.lemonde.fr/festival-d-avignon/article/2015/07/06/un-roi-lear-sur-la-lande-du-desastre_4671927_4406278.html

    Les Pyladolâtres trouveront toujours quelque chose à sauver. Et les vacanciers-festivaliers n'auront retenu que le ciel étoilé et la Cour d'Honneur: cela a suffit à leur bonheur. Tant pis pour le Théâtre.
    Vivement Ostermeier et Novarina !

  • je commençe a m inquiéter ( et me sens un peu seul ) d avoir été très impressionné par le Roi Lear d Olivier Py alors qu une certaine presse l assassine. Comme shakespeare réécrivait sur la trame d une tragédie grecque une pièce pour exprimer la violence et la culture dominante de son temps , avec des mots et des expressions de son temps , olivier Py, en artiste qui sent les choses d aujourd hui et lutte contre les violences et les dangers d aujourd hui , parle avec des images , des mots , une violence mêlée a la dérision ( la dérision est la marque des temps désespérés ) qui sont sa perception de ce qui menace le monde aujourd hui .
    La forme qu utilisent les artistes contemporains , de tout temps , ne nous est pas accessible immédiatement et nous lui trouvons tous les défauts du monde . L essentiel n est pas la : l artiste fait avec son intuition et sa sensibilité . Il ne fait pas pour " faire joli " ni pour nous plaire . Il explose , il s expose, il n est jamais ai second degré , il n est pas la pour être prudent ou faire preuve de " bon goût " ( a quoi nous servirait il sinon , nous sommes déjà si nombreux du côté de la raison et de la mesure ).
    Un grand merci a Olivier Py pour ces 3 heures de lucidité qu il nous offre .

  • J’ai surtout vu une sorte de déferlement vocifératoire (et encore il paraît que les premières didascalies accentuaient le côté crié-criard) et des effets faciles. Mais comme je le disais on peut toujours trouver quelque chose à sauver. Ceci dit il y a une sorte de curée dirigée contre Py que je trouve dérangeante. Mais ne l’a-t-il pas cherchée pour mieux se draper ensuite dans la posture de l’artiste-rebelle, comme le soulignait cette critique de son Aïda (que je n’ai pas vu) à Bastille ?

    http://ilteneromomento.com/aida-bastille-olivier-py-philippe-jordan/

    A trop vouloir jouer les « dérangeants» Py risque d’apparaître quelque peu dérangé…Comme il l’a montré aux avignonnais avec ses prises de position ahurissantes et contre-productives lors des municipales. On rêvait de se débarrasser de nos deux emplumés (qui continuent à se la sucer confortablement du côté du ministère ou du Léman) espérons que l’on aura pas faire de même avec notre Don Quichotte de planchettes.

  • Je n'approuve pas la curée (Libé, le Monde, Télérama, L'express etc.) mais je persiste à penser que Py s'est, une fois de plus, fourvoyé. Ce qui est jugé (si défavorablement) ce n'est pas une "intention" mais un spectacle.
    Et que penser de ce Py qui demeure enfermé dans sa certitude, dans sa posture "d'incompris" ? Lui qui ne paraît même pas capable d'assurer la programmation de son festival puisqu'il laisse sa collaboratrice faire un travail qui est le sien.

    Et surtout: est-ce que l'on a jamais vu un directeur de Festival "s'auto-attribuer" la Cour d'Honneur pour lui seul, en matière de théâtre ?

    Flop partout, y compris ici:

    http://www.midilibre.fr/2015/07/09/le-flop-du-roi-lear-filme-pour-la-tele-en-avignon,1188441.php

Écrire un commentaire

Optionnel