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Quatre-vint an après carriero di Tenchurié

Quatre-vingts ans après rue des Teinturiers
Eighty years after Teinturiers street

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Commentaires

  • Telle une voiture abandonnée, la Sorgue peu à peu désossée
    et le platane raboté

  • Image familière à l’époque : un bon vieux en vélo avec une banaste (ou un Mussy) en guise de porte bagages, la ruralité est encore proche. On est ici au niveau des anciens Ets Capdevilla, fabrique de courroies. Dans mon enfance on appelait pas autrement cette portion de rue (jusqu’à la Guillaume Puy) que rue des Roues.
    Il ne reste plus que la carcasse de la roue contre le corps de logis. C’est aussi ce que l’on voit sur Street View en se rendant directement «sur place», par exemple en cherchant -83 rue des teinturiers avignon- sur Google. Mais si l’on se rend au même endroit depuis le n°10 (en « remontant » sur Street View) la roue apparaît complète et en bon état. L’aurait-on dégarnie provisoirement ?

  • 22 septembre 2008 la roue (c'est celle du haut) a des pales toutes neuves :
    http://avignon.midiblogs.com/archive/2008/09/18/les-quatre-dernieres-roues.html

    8 mai 2011 les pales ont été enlevées et jamais remises :
    http://avignon.midiblogs.com/archive/2011/05/07/secaresso.html
    (Est-ce que la roue tournant faisait trop de bruit pour les voisins ?)

  • Dommages pour les roues. Si c'est à cause du bruit
    les gens ne supporte plus rien maintenant? ni chant du coq, ni cloches d'églises.

  • Les pales de la roue auraient été retirées en 2011 ? C'est drôle, j'avais l'impression qu'elles étaient encore là il n'y a pas si longtemps. Je suis passée par là récemment et me suis étonnée de cette roue désossée, je me souvenais des pales neuves. Le temps passe vite.

    Le cycliste pourrait être encore là aujourd'hui. Heureusement, le vélo se porte bien intramuros !

  • Le vélo se porte bien intra-muros, mais il se pourrait que les cyclistes, eux, ne se portent pas si bien que cela s'ils continuent à croire que la suppression de quelques sens interdits pour eux signifie l'abrogation complète du Code de la Route, et notamment des règles de priorité, arrêt aux feux rouges et stop, et autres, qui ont été édictées non pas pour imposer des contraintes gratuites aux uns et aux autres, mais pour assurer la sécurité...

    Ceci étant, la comparaison avant/après (après quoi ? la modernitude ?) me laisse pantois quant à l'apparition d'une moulure gothique tout à gauche, qui n'était pas là dans le temps...

    Quant aux roues, on ne peut en effet que les pleurer. Tout en se souvenant qu'à l'époque où elles avaient une utilité autre que folklorique, leur entretien - et celui du canal qui les pousse - s'appuyait sur une vraie activité économique. C'est peut-être là qu'est toute la différence !

  • Une chose m'intrigue dans ces photos : derrière la seconde roue, qu'est-ce donc que cette maisonnette, installée sur le pont donnant accès à la grande maison à laquelle elle est accolée ?
    Un local technique ?...

  • Le petit bâtiment pourrait bien être la reconstruction du «pont couvert» qui servait d’entrée au domaine triangulaire (derniers occupants les Petits Capucins ?) qui s’étendait, tout le long de cette portion des Teinturiers (ex rue des Roues, ex rue de l’Abreuvoir) jusqu’à la porte Limbert. Je ne pense pas que les voisins puissent être gênés par le « bruit » des roues. Bien graissées et entretenues elles sont silencieuses hors une petite musique de cascade si les pales se couvrent de mousse. A l’Isle sur la Sorgue je n’ai jamais entendu les riverains se plaindre. Au contraire. Et en plus cela donne une plus-value aux quartiers concernés.

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