Atmosphère 1900 place des Carmes
Atmosphere 1900 Carmes square
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Atmosphère 1900 place des Carmes
Atmosphere 1900 Carmes square
Commentaires
Atmosphère hivernale !
Déjà les vide-greniers..
et salon des voitures
Et le monsieur penché avec le chapeau il se protège d'un fort Mistral ?
... ou il parle au chien ?
;-D
A - t - il fauche quelque chose qu'il cache sous le manteau ?
le marché aux puces de la place des Carmes (un vrai, pas une friperie!!) avec les loueurs de charretons.
La halle couverte n'apparait pas sur la photo, c'était le coin des bouquinistes.
Il y a un monsieur, au fond à gauche avec un chapeau melon, qui ressemble à mon arrière-grand-père. Il n'est d'ailleurs pas loin de sa maison...
Le type fait semblant d’appeler le chien avec sa main gauche mais en fait, comme tu le dis, il a planqué, dans ses poches et sous son manteau, tout ce qu’il a piqué. Amas de charretons avec au fond la fontaine que j’ai toujours trouvée fort laide. Les passants ont l’air de se diriger vers la halle où se tient l’essentiel du «Marché aux vieux fers». On venait acheter à bon compte de vieux outils, recyclés ou volés…, quelques fripes, des ustensiles courants, des clous détordus (certains récupéraient de vieilles planches pour en extraire la clouterie et visserie)…Les rares bourges amateurs, qui y venaient discrètement, pouvaient dénicher quelques bonnes affaires dans tout cet arlèri.
Guima: des bouquinistes, à cette époque, sur ce marché ? leur venue en nombre me semble beaucoup plus tardive.
effectivement les bouquinistes sont venu plus tard ,je n'avais pas bien regardé la date de la carte!
plus tard aussi les vieux papiers et les timbres de collection , j'y ai fait de bonnes affaires.
Les Puces et les bonnes affaires. Même à Bonpas elles deviennent difficiles...
Je reviens sur le dessin de E. Martelange mis en lien hier par M. Breton car je viens de récupérer "Images du Vieil Avignon" que j'avais passé à un copain. Effectivement la tourelle n'est normalement pas visible depuis l'endroit où Martelange se tient. Mais je n'ai pas trouvé ailleurs de représentation de tour aussi importante vers le Roi René. La légende de la planche 7 page 16 du livre de Gagnière et Granier comporte-t-elle une erreur ou est-ce que je la lis mal ? Merci.
Lou Ravi, je n'ai pas l'ouvrage de Gagnière et Granier sous la main, que dit la légende de la page 7 ? Je suis sur à 100 % de mon identification, et par contre pas certain du tout que du haut des escaliers du Collège des Jésuites, on ne pouvait pas voir la maison du Roi René au début du XVII° siècle.
Ne pas oublier que l'émergence des hauteurs (clochers, tourelles et cheminées) dans les dessins de Martelange n'est pas seulement le fait d'une "licence" du dessinateur qui a sans nul doute exacerbé les verticalités, mais qu'elle vient aussi du faible niveau des habitations de la ville à cette époque. A ce sujet, le cliché avant/après dont nous sommes partis (arrière de la Livrée de Florence) est tout à fait révélateur : la rive de toit de l'immeuble ancien arrive tout juste au niveau du balcon de la construction moderne...
Dans l'ouvrage de Gagnière/Granier, il y a trois erreurs monumentales, très curieusement sur des planches qui se suivent (99-100-101 si je me souviens bien) : l'intérieur de Saint-Louis est en fait le chœur des Célestins, la vue externe du même, tirée de l'album de Laincel, est en réalité le couvent de la Visitation, et la prétendue Observance (Laincel toujours) représente l'église du Collège des Jésuites...
Merci, j'ai envoyé deux scans à Michel et mis un comm sur la page ad hoc. Je suis allé à la Cité administraive aujourd'hui. Trouvé personne pour me renseigner sur le fait que les aigles de pierre qui ornaient la caserne Haupoul n'ont plus été remontés après la réfection de la toiture. Ils gisent à terre dans la cour du milieu. M. Breton, en savez-vous quelque chose ? Merci.
N'étant pas originaire d'Avignon je découvre avec plaisir ces vieilles photos. Ce marché a bien changé. Je ne sais pas ce que sont ces aigles dont vous parlez à la fin.
Il s'agit, Corrine, de deux aigles de pierre qui étaient de chaque côté de l'horloge, au fronton de l'ancienne caserne de Hautpoul, aujourd'hui cité administrative, avenue Jean-Jaurès. On les aperçoit, mais très mal, sur cette photo ancienne :
http://avignon.midiblogs.com/archive/2009/05/09/cent-des-an-apres-aleio-jan-jaures-cent-dix-ans-apres-allees.html
Elles ne furent pas remises en place et sont au sol, dans la cour de la cité administrative.