Classe de M. Aubert.
De bas en haut et de gauche à droite :
1er RANG 1.- Nicole Cabassu 2.- 3.- Jannie Hénon 4.- 5.- 6.- 7.- |
2e RANG 1.- 2.- Jean-Michel Maigne 3.- 4.- 5.- 6.- 7.- Bernard Boissière 8.- Ulrich Henke 9.- Gérard Gelas 10.- |
3e RANG 1.- Jean-Michel Trauchessec 2.- Jean-Marie Pautrat 3.- Boule 4.- Jean-Luc Bonvilain † 5.- 6.- 7.- Michel Voisin 8.- 9.- Bernard Hénon 10.- 11.- Denis Viens |
4e RANG 1.- André Cartoux 2.- 3.- Barrès 4.- 5.- Jean-Robert Gillardeaux † 6.- 7.- Christian Cotte 8.- 9.- Jean-Pierre Louis 10.- |
Photo proposée par Jean-Marie Pautrat.
Commentaires
l'était tout mignon Gélas
Déjà la mixité en 1954 ? Ce qui me frappe c’est qu’il me semble reconnaître plein de visages d’adultes. Quelques traits, une attitude, suffisent. Airs bonnasses, rêveurs, curieux, sages ou mutins. Mais de là à mettre des noms…Peut être Christiane Olivier en 2-6. Elle était plus âgée que moi, ses parents tenaient le café-tabac de la place de l’Horloge (à côté du Mistrau). Le jeune Ulrich, à la droite de Gélas semble en tenue bavaroise…Plusieurs futurs médecins dans ce groupe. Toutes les filles en jupe et les garçons en pantalon dont 3 ou 4 scandaleusement avec blouse ! Voilà qui n’aurait pas plu à nos amis écolos : pas assez transgenre ! A leurs tenues, certaines sont discrètement chics et soignées, ces enfants semblent être d’origine et condition sociale variées. Mais pas trop de fils de prolos, on est en centre-ville. Socquettes et chaussettes à l’élasticité incertaine dans de bons souliers faits pour durer…
PS : Cabassu sans t ( la propriétaire de l’Hôtel Fortia de Montréal ?) et Gillardeaux avec x
Et M. Aubert n'est pas sur la photo.
38 élèves dans cette classe en 1954. Un peu chargée dirons-nous.
photo prise devant le préau des études. Quelquefois le photographe nous installait devant le préau du gymnase, coté sud de la cour.
Corrections faites, Lou, merci.
C'était pas ce Cabassut-là, il s'agit de la fille d'un médecin généraliste.
Au contraire il y avait pas mal de prolos dans cette classe et bien sûr aussi des enfants de familles plus aisées: une autre mixité!!!
Certaines photos était faites sans le "maître" et d'autres avec.
Tant mieux s'il y avait plus de fils de prolos que je ne l'imaginais. Je pensais à Nicole Cabassu, fille du docteur Cabassu qui était rue du Roi René (Hôtel Fortia, ex rue de la Masse). Il y aurait donc une Nicole Cabassut, fille elle aussi de médecin ? Sacré coïncidence. Faudra donc remettre le "t" en ce cas.
Pour Christiane Olivier je ne suis sur de rien bien sûr.
Pardon Lou, parti d'Avignon depuis 1966 je ne savais pas que le cabinet du Dr Cabassu siégeait dans un Hotel particulier...
Et alors ce Cabassu, médecin, avec ou sans t?
Allez... santé !!!
Bonjour
Il s'agit bien de la fille du Doc Cabassu. Elle a fait toute sa carrière d'enseignante pour le CNED.
Bien des visages "me parlent"!
Je plonge dans mes photos et peut être vais trouver quelques noms.
Didier Therme...
Une chose m'intrigue. C'est la tenue du jeune Ulrich qui parait habillé à la façon de Bavière, portant une Lederhosenträger. On est, en 1954, encore au sortir de la guerre. Y-eut-il des réflexions sur cette tenue probablement voulue par les parents ? Ou cette touche "d'exotisme" vestimentaire passa inaperçue ? Merci à JMP (et à d'autres...) s'il a quelques souvenirs à ce sujet.
Autant que je me souvienne Ulrich Henke venait régulièrement dans cette tenue mais plus après 1958 au grand lycée Mistral.
Je n'ai jamais entendu de remarque quant à cette tenue "folklorique" tant côté éléves que côté instits.
Il avait un frère, plus agé que lui de 2-3 ans qui arborait aussi ces effets bavarois.
Je crois que leur père était ingénieur à l'Isle sur Sorgue...
Ulrich était très fort en allemand bien sûr et faisait tourné en bourrique Mr Liebschütz (prof d'allemand) plus tard à Mistral.
Si ça vous intéresse j'ai une photo de l'année précédente (11ème) avec la "maîtresse" où l'on retrouve les mêmes têtes (sans Gérard Gelas) et Ulrich en tenue "normale".
Merci JM. J'ai posé la question parce mes parents m'ont raconté l'aversion qui a régné chez beaucoup d'avignonnais, pendant longtemps, envers tout ce qui pouvait rappeler l'Allemagne. Lorsque, dans le cadre du rapprochement franco-allemand voulu par De Gaulle des soldats de la Bundeswehr vinrent à Avignon (pour je ne sais quelle manifestation), il y eût un fort mouvement d'opposition de toute la gauche, PCF en tête. Je ne suis pas sûr qu'un tel habit "folklorique" serait resté sans réaction dans des écoles comme Louis Gros ou Persil où un jeune écolier d'origine allemande dont je ne sais pas grand chose, eût du mal à se faire accepter. Pour revenir à Cabassu il fut un médecin très connu dans la ville. Il y avait le poissonnier (rue Bonneterie) et le docteur...
Merci Lou de ces précisions très pertinentes.
Les Henke ont toujours été très appréciés me semble-til, enfin au lycée.
Le Dr Cabassu était notre médecin de famille.
Nicole avait un frère plus âgé, Jacques, dont j'ai retrouvé la trâce sur trombi machin, brillant élève de Mistral.