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1971 : hippie en Avignoun 2

HIPPIES EN AVIGNON - JT 13H - 11/08/1971

http://www.ina.fr/video/CAF90036052/hippies-en-avignon-video.html

Lien permanent 6 commentaires Pin it!

Commentaires

  • Mouna était hippie ?j'ai été traitée de hippie à cette époque mes amis et j'ai ouvert un bec ahuri

  • Très belle vidéo et très fraiche...
    Je ne connais pas la Dame qui parle. Par contre dans le trio 'Jetez les au Rhône' celui du milieu passait sa vie aux halles.
    1971 ouverte de Casino à St Lazare

  • Moi j’aimais bien ces hippies qui transportaient avec eux cette odeur de patchouli qui comme le Gini avait «un goût étrange venu d’ailleurs». Mouna passait d’une place à l’autre (Horloge et Palais) pour lâcher ses belles envolées d’anarchotropisme. Elles viraient parfois au prêchi-prêcha et ne retenaient l’attention, à la fin, que par le look et la conviction de notre attachant philosophe ambulant. J’aurai dû garder mes quelques n° du Mouna Frères, ils seraient collectors aujourd’hui…J’aimais bien ces hippies mais, habitant une petite rue éloignée et calme, j’avais ce point de vue égoïste de ceux qui n’avaient à supporter ni les méfaits ni l’ agressivité de beaucoup d’entre eux. Le cafetier interviewé en savait quelque chose tout comme les habitants de l’hyper-centre qui trouvaient au matin, quand ils avaient pu dormir, leurs portes transformées, au mieux, en urinoirs…

    En fait il devait y avoir dans toute cette «faune» (versus Raoul Colombe) débarquée à Avignon le temps de l’été, deux espèces au plumage semblable mais au comportement bien différent. Les babas-cool post soixante-huitards eurent le tort de laisser faire la marge des marginaux se faisant enfermer du coup dans un même sac dont les avignonnais entendaient bien se défaire. Et ces avignonnais là n’étaient pas que les bourgeois lecteurs du Méridional qui entendaient «crever l’abcès» (quel côté malsain, nauséeux, dans cette expression !). Il y avait aussi (et parfois surtout !) ceux des quartiers populaires comme je le disais dans mon commentaire sur «Beatniks à Avignon» montré il y a quelques jours dans ce blog. Le journaliste qui mène l’enquête ici est, comme Michel Thoulouze dans Beatniks, d’une mauvaise foi à tout crin. Et la dame interviewée, qui s’offusque que l’on ait coupé l’eau de la seule fontaine de la Balance (celle photographiée par Volponi ?) est d’une fausse candeur qui vaut son pesant de cacahuètes…

    Et moi je m’inquiète pour ma mémoire car, même si j’étais jeune, aucun nom ne me revient alors que l’on voit quelques «figures» bien avignonaises. Le jeune qui chante au début me fait penser à Georges Salard, mais c’est plutôt un gentil vacancier, cigalon d’un été.

    PS. En déplacement j’ai raté quelques épisodes. Pour la rue Figuière : en prouvençau figuier = figuiero. Et c'est féminin, la figuiero, comme la platano, la piboulo (peuplier noir) etc.

  • penser à repasser pour apprendre - et merci Lou Ravi de m'apprendre que les arbres sont féminin en provençal

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