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Quatre-vint an après Sant-Marciau

Quatre-vingts ans après St-Martial
Eighty years after St. Martial

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Photo Georges Estève (1890-1975).

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Commentaires

  • Je me redis (cf un commentaire précédent sur le même lieu) :"Félix, se fasiés li luchaire ?". Selon un de ses biographes (H. Boudon) c'est par cette phrase que le père de Charpentier, lui-même lutteur, convainquit son fils de rendre, par cette sculpture (plusieurs versions), hommage à la Lutte Gréco-latine fort à la mode dans le midi. Sculpture disparue...Guerre, fonte des métaux etc. Je crois bien que les sculptures devant la verrière proviennent de l'opéra (récupérées après l'incendie de ce dernier).
    Ces palmiers qui veulent à tout prix nous convaincre que l'on est dans le sud (lequel ?) sont aussi ridicule que les oliviers que l'on plante dans tous les ronds-points, y compris là où il n'y en a jamais eu...J'arrive d'Orléans qui porte palmiers aussi dans de grands conteneurs, probablement fort coûteux...

  • moi j'adore les deux Magolia par leurs beautes et leurs odeurs au primtemps...
    Par contre qui peut m'expliquer les deux couleurs de chataigniers dans notre ville ?
    A St Martial comme au Cours St Michel couleur rouge! Dans notre region la majorite sont blancs.....
    J'avais lu un article sur la faubie du Cardinal de Richelieu qui les faisait venir d'Italie pour boiser je ne sais qu'elle allee d'un de ces châteaux ( couleur rouge )

  • Étonnante cette verrière; on croirait que l'on a installé là un jardin d'hiver !
    Que penser des ouvertures nouvelles normes ? Celles du haut, passe encore, mais celles du bas sont piteusement logées au carré.

    > Lou Ravi, nous baladons nos palmiers ainsi; ils passent l'hiver au Jardin des Plantes. Une fois l'investissement fait, ça ne coûte pas grand chose et cela nous donne des idées d'exotisme en été. Ils reviennent avec les hirondelles... Les vôtres sont en pleine terre !

  • La "retouche" du clocher d'un cliché à l'autre est simplement qu'on l'a débarassé de tous les isolateurs sur lesquels venaient aboutir les fils téléphoniques arrivant de tous les horizons, puisque le bâtiment "remonté" abritait la Poste (et télégraphe et téléphones) jusqu'à la construction de la Poste actuelle à la Libération.

  • Jeandler: Orléans donne effectivement de plus en plus dans l'exotisme. Kébabs, graillons, bars à chicha comme celui de la rue de Bourgogne, etc. Je comprends que l'on veuille acclimater des palmiers pour être dans la tendance, sourire...Ceci dit je trouve que le patrimoine orléannais est bien mieux mis en valeur que le nôtre...Et pour la bouffe il y a encore tout de même de bonnes adresses ou des surprenantes comme le portugais branché dont j'ai déjà parlé. A propos de notre Jardin des Plantes qui se souvient de la Tour de ceps, il y a quelques années ? Je ne sais si elle avait, finalement, trouvé preneur.

  • Deux magnolias ? Mince ! Je n'en connais qu'un ici. Le seul d'Avignon aussi ancien.
    Deux couleurs de châtaigniers ? Mince ! Je n'en connais qu'une... Vert devenant roux.

    La verrière, à l'origine, est le jardin d'hiver, l'orangerie en quelque sorte.

    Noter également la disparition de la balustrade faisant pendant à celle du clocher, en haut du transept-vestibule (je ne sais pas comment appeler cette partie).

  • J'apprends une précision quand au devenir des lutteurs :
    la fonte de leur bronze aura servi à fabriquer des cerclages d'obus.

  • > Lou Ravi, la rue de Bourgogne, une des plus vieille rue de la cité, a toujours eu une réputation cosmopolite et une activité nocturne marquée. Quant à la mise en valeur de la ville historique, de gros efforts ont été fournis depuis une dizaine d'années. Moi-même qui ait quitté la ville pendant plus de quarante ans et y revenant aujourd'hui, je découvre ces richesses que je ne connaissais même pas, que l'on ne soupçonnait pas, cachées qu'elles étaient !

  • Les "isolateurs" dont parle Alain Breton sont sans doute les "crochets supplémentaires qui entourent la flèche jusque mi-hauteur sur la photo ancienne...

    Sur la photo récente, on remarque l'ajout (ou la restitution ?) de gargouilles et de pinacles tout autour de la balustrade entourant la flèche à crochets...

  • Triste fin pour cette oeuvre du rebelle Charpentier ! Bichelotte, ministre de la production industrielle sous Vichy entendait récupérer le max de métaux non ferreux. Il repris les instructions de Dautry ministre de l'armement sous Paul Reynaud en ce qui concerne la réquisition des objets présentant un intérêt stratégique. Dautry fut un des artisans de la "Bataille de l'Eau lourde", il est enterré à Lourmarin dont il fut maire. Les statues, monuments, objets récoltés étaient stockés dans plusieurs lieux dont un entrepôt municipal dont tu as je crois montré la photo, derrière le Petit Palais.

  • Au cours du terrible hiver février 1956, la serre avait été aménagée pour abriter les sans abris(principalement des braves clochards).
    A cette époque ils étaient moins nombreux que maintenant, hélas.

    Qui ne souvient pas de cette époque avec CYPRIENNE la chanteuse, le marchand de bois avec la sciure pour pipi le chat, la vendeuse de la Gazette Provençale très mal embouchée , le père CECHINNI le marchand de glace l' été devant NOGA et l'hiver marchand de marron porte saint Michel.....
    Le temps passe, les souvenirs restent.

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