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Trento an après 5 avengudo Monclar

Trente ans après 5 avenue Monclar
Thirty years after Monclar avenue 5

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Commentaires

  • ...reste le rempart et la voie ferrée.

    "Le Colibri" un bien joli nom pour ce petit restaurant d'avant

  • les bar-restaurants à l'extérieur des remparts disparaissent les uns après les autres..., des lieux populaires...+agréables que les "snack"!,
    Avignon se modernise...mais où est son âme???, à Auchan...?

  • Cette photo est plus récente que la précédente puisque le Stop Bar fonctionne encore. Le Colibri, que j’avais signalé l’autre jour servait une cuisine simple et recevait une partie des clients de l’hôtel Monclar situé de l’autre côté de la voie ferrée. De ce côté les volets ne sont pas dotés de ces vilaines écharpes que l’on voit dans l’autre moitié (propriétaires différents ?).
    Le bâtiment fait penser à ces «immeubles de rapport» construits dans les années 1900. Certains éléments interpellent comme ce décor à cannelures qui rappelle les colonnes corinthiennes. Fantaisie d’architecte en rapport avec les dernières découvertes faites dans le quartier ? Lors de quelques grands chantiers (voie ferrée, bâtiments industriels) on avait trouvé des tombes, des pierres qui étaient probablement là pour suivre le tracé de l’ancienne voie Agrippa. Je me souviens d’une pierre dure, taillée, dans la cour de l’hôtel Monclar. Mais c’est un souvenir de petite enfance, sans certitude, et il n’y avait peut-être aucun rapport avec ce qui précède.

  • Si l'on fait abstraction du réhaussement en briques au dessus de la génoise, le traitement architectural peut faire illusion, mais il est particulièrement approximatif : travée centrale étriquée, encadrements de baies tristounets, bandeau horizontal coupant la façade pile en deux moitiés... et les pilastres sont hors de proportion, sans parler de ceux inférieurs dont le chapiteau ne porte rien qui règnerait... travail de maçon ou d'amateur, que je situerais plutôt vers 1860/1880... le dessin des pilastres me rappelle un peu ceux (hautement fantaisistes) de l'hôtel Bristol, sur le cours Bonaparte/Pétrarque/Jean Jaurès.

  • Fantaisiste oui. Mais avec une certaine unité (dans la fantaisie !). Faudrait trouver le nom du proprio. Peut-être permettrait-il une explication pour ces canelures-peplum. L'ajout en brique m'intrigue. Plutôt greniers que vraies pièces. L'immeuble figure sur le plan daté 19..(?).
    Les cheminées permettent de deviner le cloisonnement et la distribution. Le curieux "ceinturage" au-dessus du premier étage aurait-il pu être un ancien niveau ?

  • Il est vrai que cette façade n'était pas un chef d'oeuvre, que d'autre part ce qui la remplace, n'est pas le pire de ce qui a surgi face aux remparts, mais on souhaiterait une réflexion globale sur intra et extra. On ne peut construire n'importe quoi face aux remparts, et c'est pourtant ce qui arrive. Il ne semble pas qu'il y ait eu autrefois des édifices remarquables de l'autre côté de la rue, mais au fil des témoins , l'absence de frontière, une lise progressive, les chemins de Monclar. Ne pourrait-on réfléchir à un chemin de St Ruf,un parcours depuis une porte jusqu'à cette abbaye négligée en traversant des secteurs( il en subsiste) de maisons dignes d'intérêt ou non, mais mettre fin à cette frontière entre intra et extra, et ne pas construire devant les murs d'autres murs,eux sans harmonie.
    F.C

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