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7 plaço Teoudor Aubanel

7 place Théodore Aubanel
Theodore Aubanel square 7

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Lien permanent 25 commentaires Pin it!

Commentaires

  • Ici on a la preuve qu'il est possible de camoufler les câbles (électriques ou autres) de manière à ce qu'ils ne se remarquent pas sur la façade.
    Quand on veut, on peut !

  • Merci Tilia d'avoir fait remarquer la discrétion des câbles. Les marchés spécialisés, partout dans la ville, un vrai jeu de piste.

  • C'est bien la première fois que j'entends mentionner l'existence d'un " Marché au plâtre " avec ou sans chapeau sur le A.
    A-t-on quelques lumières à ce sujet ? Lou Ravi, au secours.

  • On retrouve ces jolis caractères pour d’autres inscriptions et l’on peut imaginer l’usage d’un pochoir pour les tracer. Celle-ci est une des raretés de la ville. Si la chaux dominait comme liant, le plâtre servait à fixer des éléments de bois, masquer les poutres (celles que l’on s’empresse de décroûter to-day !), boucher les trous, faire de la déco…Les plâtrières étaient nombreuses en Vaucluse où une de nos entreprises-phares est Lafarge. N’oublions pas la famille de René Char qui s’est enrichie avec ce matériau. Il m’est arrivé d’accompagner des collégiens visiter la carrière de gypse La Parisienne à Velleron (une des plus proches d’Avignon). J’y avais appris que contrairement à la chaux qui demandait l’installation de fours importants et de grandes quantités de bois le plâtre était fréquemment fabriqué au plus près des lieux d’utilisation. Il était facilement obtenu dans des fours improvisés ce qui peut expliquer l’existence d’un marché où se retrouvaient gypsiers fabricants (souvent activité annexe à d’autres métiers) et gypsiers utilisateurs «domestiques». Explication peut-être de l’existence d’un «marché au plâtre» alors qu’à ma connaissance il n’y avait pas de «marché à la pierre» ou «à la chaux». Je fais ainsi le rapprochement, sans certitude absolue, avec les marchés «aux cocons» (cf le « Marché au bois et cocons » de la place St Didier.

  • Vous pourrez voir toutes ces inscriptions (enfin, toutes celles que j'ai repérées...) en cliquant sur le tag "mémoire lithogravée".

    On trouvera donc :
    - marché au plâtre (place Théodore Aubanel)
    - marché de la soie (rue Bonneterie, invisible aujourd'hui)
    - marché au charbon (sur la chapelle de la Visitation rue Paul-Saïn)
    - marché au fil (au plan de Lunel)
    - marché au sel (rue du Puits-de-la-Reille)
    - marché aux herbes (en haut de la rue du Vieux-Sextier)
    - marché au pain (place du Change)
    - marché au bois et cocons (place St-Didier)

    Celle du marché de la soie, c'est mon père qui l'avait photographiée, avant le ravalement de la façade...

    Y en a-t-il d'autres que je n'aurai pas vues ?

  • Les noms de rues, c'est encore autre chose, je ne les ai pas systématiquement photographiés. Mais vous en trouverez deux sous ce même tag "mémoire lithogravée" :

    - place de la Préfecture - place du Roure
    - courreterie des... ("chevaux" a disparu)

    Je note "rue du Four à Chaux"...

    À suivre...

  • rue du four à chaux quartier nord-est de la ville(lycee aubanel)
    on y fabriquait de la chaux matiere premiere prise au rocher....
    C'etait le quartier des potiers...maintenant j'ai peut etre mal compris lors de la viste de ce coin d'avignon.(avec Marc M)

  • Je n'ai pas trouve de rue du Four à Chaux du côté de la place de la Bulle...
    Ni dans ce quartier d'ailleurs.
    Je vais donc me diriger vers le quartier des Infirmières.

  • C'est exact. Les fours à chaux exigeaient de la pierre calcaire à calciner et surtout du bois. Ils étaient au plus près de ces deux sources et pas en coeur de ville où, il y fallait compter en plus avec les risques d’incendie. S’il y en a eu à Avignon ce ne pouvait être, à mon avis, qu’au bord du Rhône comme le signale JP Locci à propos d’une demande d’installation de four quartier de la Synagogue en 1821 ou à proximité immédiate de la «carrière» que pouvait représenter le Rocher des Doms avec un approvisionnement en bois depuis les quais du Rhône tout proche. Je crois avoir lu (Achard ? Pansier ?) que la rue Bertrand tire son nom d’un ancien calcineur.

  • La rue du Four est ainsi nommée, sans plus...Elle devait conduire aux fours situés au pied du Rocher, à côté des banastiers...

  • Aphorisme F.C.deC.
    J ai appris un jour à Cavaillon( on ne va pas assez à Cavaillon) que la raison des cables courant sur les façades de la ville était due à la vénalité du pape. Le sous-sol d Avignon lui appartient toujours, et pour enfouir ,il faut payer, et EDF n a pas les moyens. Moralité: nous ne sommes pas sortis de l auberge.....

  • Aphorisme F.C.deC.
    J ai appris un jour à Cavaillon( on ne va pas assez à Cavaillon) que la raison des cables courant sur les façades de la ville était due à la vénalité du pape. Le sous-sol d Avignon lui appartient toujours, et pour enfouir ,il faut payer, et EDF n a pas les moyens. Moralité: nous ne sommes pas sortis de l auberge.....

  • les Papes sont toujours à Avignon...!, j'ai lu qque chose à ce sujet...,
    le four à chaux découvert à l'occasion du chantier Ikea est Romain...,
    je n'ai vu qu'une photo sur cette découverte...?,
    j'aime bien m'imaginer que des hommes travaillaient là...,en passant devant Ikea!,
    mais je préfère les meubles "Lacroix de Vallabrégues",
    vous connaissez?

  • Suis client chez eux, depuis longtemps, c'est une vraie référence en matière de sièges provençaux. Mes chaises du séjour après 35 ans de service sont toujours aussi vaillantes. Je ne sais pas si l'autre fabrique (Monleau je crois) existe encore.
    Valabrègue, rue Carnot, vague souvenir des étals sous la verrière...

  • pour Monleau...je ne sais pas, pour les chaises et autres meubles...nous allons là,
    oui, une verrière et un auvent en entrant sur la droite...,
    un endroit délicieux...à Vallabrégue...Lacroix a un site internet mais lui rendre visite...une jolie promenade...quant aux prix...très abordables.
    si vos chaises sont cassées...il répare et vous pouvez commandez la ou les mêmes chaises des années après...

  • Merci Michel B. Je poserai aussi la question à Marc (Asséo) si j'arrive à le rencontrer dans une de ses nombreuses boutiques...
    Si BGL passe par là : je ne comprends pas bien. Le Valabrègue de la rue Carnot ne vendait, à ce que je croyais, que tes tissus. Vendait-il aussi, sous sa verrière, des sièges des Ets Lacroix de Vallabrègues dans le Gard ? Ou confusion entre ces deux noms ?

  • je faisais // avec ikea...et je parle de Vallabrègue ds le Gard...quant aux tissus...je pense à Bouchard mais je crois rue de la Ré...sinon il y a Héllios...me revient aussi "Bobleu"?, vers la place Pie...

  • Il faut que Michel nous photographie la plaque réapparue au bout de l hotel de Marcel, sur laquelle apparait " Plan de Didier"
    F.C

  • Et aussi le linteau peint de fleurs du portail de Saint Didier sur la place Aubanel. Alain et Lou Ravi pensent-ils que les trous dans la façade de l église sont les traces de galeries de bois qui permettaient la communication des deux bâtiments de chaque côté du plan, galeries courantes en ce temps comme on peut les voir sur les dessins de Martellange ?
    F.C

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