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Sieissanto an après la gleiso di Celestin

Soixante ans après l'église des Célestins
Sixty years after Célestins church

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Photo Georges Estève (1890-1975).

Lien permanent 18 commentaires Pin it!

Commentaires

  • Un lifting un peu trop voyant !
    Mais le dégagement de la place me paraît une bonne chose.
    La poubelle entre les deux diapasons n'est pas du meilleur effet.
    Finalement, à bien les regarder, je les trouve moches ces deux diapasons. Sont-ils bien utiles ?

  • un lieu d'Avignon...,où l'on passe sans se poser de question...?, je me souviens d'un parking et des voitures dans tous les sens...qui allaient certainement au "impôts"!!!, donc pas très agréable...dans mes souvenirs!!!.

  • Bling, bling, bling...Le soir tard tu mets, dans un bruit d'enfer, tes bouteilles dans le conteneur à verre et comme cela tu te fais un Son et Lumière gratos !
    (Et avec les deux diapason de Tilia qui donnent le La du mauvais goût. Déjà les ormeaux fort mal taillés...)

  • Les lyres portent des spots destinés à matérialiser au sol, la nuit, l'emplacement des piliers gothiques qui "auraient dû" être constuits en avant de la façade provisoire si la réalisation du projet initial était allée plus loin... une forme d'uchronie...

    Mais la dernière fois que je suis passé là "by night", nombre d'ampoules avaient déjà claqué...

  • savez vous la date de la percee de la Rue Delatre de Tassini(rue des Arcades ou Rue marmitte)
    Marmitte nom du Restaurant sous les arcades(pere du gars qui tenez la galerie d'art angle Rue Vernet et Petite Calade)

  • "La Marmite" (Chabas) était (comme le restaurant voisin dénommé "De la Bourse"), un rendez-vous incontournable des notables avignonnais. Il avait une spécialité: le Coq au vin...Fallait impérativement réserver. Pour les arcades, je ne sais plus. Du Pouillon dans tout cela. Peut-être en même temps que les nouveaux bâtiments de la Cité ?

  • Pour la rue de Lattre de Tassigny, les AM proposent :
    - délibérations et articles 1960, 1961, 1962, 1964, 1970, 1971
    - 1953-1967 : plans (1955-1962)
    - 1986-2004 : dossier de déclaration d'intention de commencement de travaux : avenue Maréchal de Lattre de Tassigny (1987-1996).

  • Bonne question, Michel (Bourgue) que celle de la date du percement de la rue de Lattre de Tassigny.

    Le plan Marcel Chrétien (1926) ne montre rien, à cette époque dans le quartier la transversale la plus méridionale est la rue des Chevaliers (actuelle rue de la Bourse).

    Par contre sur le plan J. Hiver (archives municipales 53fi 621 et 622) déta de 1956, il y a une voie nouvelle, qui n'a pas de nom alors que les autres rues sont dénommées. Et l'on a rajouté au crayon "de Lattre de Tassigny".

    C'est donc des années 50 que doit dater le percement de cette voie, ou plus exactement son "ouverture" sur la place des Corps Saints et sur le Cours Jean Jaurès. En effet, la voie était auparavant dans le domaine militaire et son apparition doit correspondre au déclassement de la Caserne Hautpoul pour y placer la Cité Administrative, en 1953.

    Cordialement,

  • Pendant qu'on y est, je vous signale toujours aux AM une vue aérienne : 82fi 121 , qui montre les masures minables (on se croirait à la Balance... ) qui bordaient encore le nord de la place d'armes de la Caserne Hautpoul, au lendemain de la guerre.

    La photo est aisément datable, il manque l'hôtel des Postes au sud de Saint-Louis, et la caserne est amputée de son angle sud-est, souvenir des bombardements... Donc fin des années 40 - début des années 50.

  • Pas facile pour moi d'y voir clair car les documents que j'ai semblent montrer que l'avenue de Lattre a pris la suite d'un espace non construit bordant les divers établissements des Célestins. Du temps de la caserne, comme de celui du pénitencier militaire nous étions là dans "l'allée d'Austerlitz". La photo, des années 40 semble montrer qu'il existait déjà un espace dégagé, une "allée" (donc) qui pouvait aller jusqu'à ce qui est aujourd'hui le cours Jean Jaurès, ex percée Bonaparte. Il devait forcement avoir une circulation autour de la caserne Hautpoul, non ?

  • Même si il a le nez trop blanc et les joues blêmes, la patine dans deux ans aura donné du charme à ses traits, les ampoules ne marchant déja plus, les piliers du temple seront terrassés par un nouveau Sanson, et alors, nous aurons le béguin pour Célestin...
    F.Challiol de Cugniéres

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