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Cènt an après carriero Thiers 2

Cent ans après rue Thiers 2
A hundred years after Thiers street 2

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Lien permanent 12 commentaires Pin it!

Commentaires

  • La manufacture de couronnes mortuaire du siècle dernier a bien entendu disparu, aujourd'hui il y a gros à parier que ce genre de couronne est fabriqué en Chine !

    En un siècle, les étages de la bâtisse n'ont pas changé

  • Pour y etre passe 40 ans. Je me rend compte aujourd'hui de la grandeur du carrefour..
    J'ai même cherche l'endroit!!!Mais l"ex Patisserie Perrier m'a sauve...Le Dimanche chaussons aux crabes ( merci pour mes kilos)

  • Des couronnes avec des perles
    une industrie pas si prospère que ça !
    Il faut bien chercher dans les cimetières abandonnés pour en découvrir encore quelqu'une.

    Les persiennes seraient-elles les mêmes: il semble.

  • Ces couronnes en perles ont quasiment disparu de nos cimetières. Souvent volées paraît-il...
    Perrier: je vais parfois, par nostalgie, me servir dans la famille, à Saint-Sat'. Mais ce n'est plus vraiment la même qualité (et ils ne font pas de confiseries il me semble) ni le même plaisir...

  • Triste desert comme Teinturiers,Carreterie,Magnanen qui ne vivent qu' mois par an (festival).
    Le reste de l'annee festival de tout trafic.Dire que en 1960 il y avait plus de 150 epiceries en ville en plus des halles.

  • J'ai mis un moment à reconnaitre ce carrefour alors que j'y passe tous les jours. J'ignorais l'existence autrefois de cette manufacture de couronnes mortuaires. Le peintre en enseigne ne s'était pas fatigué pour faire dans l'esthétique.

    Immeuble aujourd'hui délabré en attente d'un nouvel avenir, à défaut de regrets éternels...
    Intéressant, le déplacement de la porte sur la rue Guillaume Puy.

  • Il y a une erreur de numérotation sur la carte postale, il s'agit du n°40 de la rue Guillaume Puy et non du 43. Les ouvertures du rez-de-chaussée ont été modifiées pour permettre un meilleur éclairage des ateliers de Charles Deméry, ex-SACO. Les fenêtres des 1er et 2e étages éclairaient des appartements particuliers dont l'accès se faisait par la porte du 40 rue Guillaume Puy.

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