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Atmousfèro 1900 : li patin à rouleto

Atmosphère 1900 : les patins à roulettes
Atmosphere 1900 : the roller skates

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Lien permanent 9 commentaires Pin it!

Commentaires

  • je viens d'être dépassée par leurs héritiers en revenant du théâtre, l'étaient plus à l'aise

  • Une tenue qui ressemble plutôt à celle d'un "chauffeur" d'automobile de l'époque.

    Les Meubles Tourrette occupaient donc la place de l'actuel 8à8...

  • Patinage à l’Alcazar !
    On reconnaît tout de suite l’Alcazar d’été à ses boiseries Belle Epoque dont les dernières arcades s’ornaient souvent de publicité comme ici pour les meubles Tourette. Meubles qui, comme l’indique Tilia, étaient rue des Lices à l’emplacement du 8-à-8 actuel. L’établissement se trouvait à côté de la gare, là ou s’installèrent les pompes Farget, aujourd’hui Grand Hôtel. Noter l'éclairage électrique, un des premiers de la ville. Le patin à roulettes était en plein essor depuis l’invention du roulement à bille. Le type est probablement Jean-Marie Cogeat «artiste-patineur» qui se produisait sur scène. Son air et sa tenue quelque peu guindés sont là pour rappeler qu’il était aussi, en dehors des numéros qu’il faisait, Professeur de patinage et notamment, comme le rappelle Jean Mazet dans Les Cafés d’Avignon, professeur de polka sur patins. La photo doit dater du tout début des années 1900 : les patins ne sont pas encore articulés, les Ets Tourette font encore de la pub alors qu’ils ont été remplacés par l’ébénisterie Sandrosse vers 1905-1910.

  • non merci, je me suis déjà cassée un bras avec ces engins, à peine plus récents que ceux-là, donc je laisse ça aux jeunes!quoique.....une bonne paire de rollers, ça me tenterait bien...

  • Cela me rappelle ma jeunesse. J'avais des patins à roulettes à trois roues, beaucoup plus bas que les quatre roues, avec un buttoir devant qui aidant à se lancer et on pouvait freiner du pieds sur la roue arrière. Ni genouillères, ni des machins aux coudes,ni casque, et à fond les gamelles sur la piste du jardin du Luxembourg.
    Tilia a raison, il a la même allure que mon Pépé quand il était chauffeur dans une belle demeure.
    Bon week-end .
    http://du-four-au-jardin-et-mes-dix-doigts.blogspot.com

  • Pas très souriant, l'artiste !
    il faut dire que dans un pareil accoutrement, le corps n'est pas aussi à l'aise que peut l'être celui des héritiers rencontrés par Brigetoun !

  • Merci à Lou Ravi pour ses pertinents éclairages sur l'époque.
    Ca fait plaisir d'avoir le nom de l'illustre patineur et quelques détails sur lui.

  • On est tout de même plus à l'aise mais ça fait plaisir de voir que le roller existait depuis longtemps.

  • On est tout de même plus à l'aise mais ça fait plaisir de voir que le roller existait depuis longtemps.

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