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toutes les photos que tu nous en a montrées sont très impressionnantes - hâte de voir
Ah oui moi aussi, je me réjouis d'y aller.
Ben moi j'ai pas vu les photos :(
Il y aura un reportage, ou plutôt des reportages, je pense ?...
La tête sur l'affiche pourrait symboliser le cri de la Terre, outragée de toutes parts.
Cinq jours seulement, il va falloir viser juste!
Bises à Martine, et à toi.
SP a toujours eue un faible pour les Carmes. Elle descendra donc peut-être voir la Terre entêtante... Elle avait d'ailleurs bien fait le voyage pour Matignon. Du temps des JF et JF P il y avait plusieurs artisans sur la place, dont un sabotier, à côté, au 25, et quelques uns qui s'essayaient à l'art.
Cette Terre, un cri ou un chant dans la tête ?
SP se sent espiègle et va poser une question en rapport avec sculpture: lorsque Alexandre B, tout comme JF ou JF P, ou comme n'importe quel avignonnais en déplacement à Paris regagnaient la gare de Lyon, ils savaient qu'ils auraient 10h50 de train. Mais ils se sentaient déjà au pays en s'approchant de la gare. Pourquoi ?
Tilia :
Je n'ai pas montré beaucoup de photos : une seule et deux affiches... Tu verras la seconde affiche d'ici peu. Mais comme tu ne seras pas à Avignon, je t'enverrai quelques autres photos.
Chri :
SIX jours !
Victor :
Bises !
Sainte-Praxède :
Jean-François Matignon et la Cie Fraction occupent toujours ce lieu, mais créent cette année à la Manutention, où les anciens locaux des Hivernales viennent de leur être attribués.
Mon grand-père s'appelait Alexandre Benoit. Est-ce de lui dont tu parles et l'aurais-tu connu ? J'imagine qu'en arrivant à la gare de Lyon, il devait voir les lions de Charpentier qu'il a peut-être bien connu.
L'affiche est alléchante et parlante.
Où sont les photos dont on parle ?
Merci Michel. Meilleurs voeux de succès et bises à Martine, que je connais peu mais que j'aime beaucoup.
C'est vrai que j'y voyais un cri, mais pourquoi pas un chant ? J'ai hâte aussi de découvrir, à tout à l'heure
Oui, bien sûr, les lions de la Tour de la gare de Lyon (identiques à notre lion du monument du Centenaire exilé aux allées). Je pensais surtout à la jolie femme symbolisant La Vapeur et la Navigation: on passe devant en entrant dans la gare, en allant au Train Bleu.
J'ai pensé à Charpentier en voyant cette affiche parce qu'il a commencé sa carrière en modelant l'argile. Son père travaillait dans une briqueterie de Bollène et il a fait ses premiers pas en façonnant de la terre réfractaire...
AB, oui, bien sûr aussi...
Sainte-Praxède :
COMMENT ÇA "AB, OUI, BIEN SÛR AUSSI..." ???
IL FAUT M'EN DIRE BEAUCOUP PLUS.
En privé si vous voulez :
michelbenoit84(arobase)aliceadsl.fr
J'attends...
Fardoise a raison, on peut y voir aussi le chant de la Terre.
Rien de mystérieux: intéressée par l'histoire de la place des Carmes j'avais eue l'occasion de me pencher sur ses habitants. Un article de Bailly ("Couvent des Carmes et Pernod") m'avait intrigué aussi (en fait il n'y avait aucun rapport). Pas difficile de se pencher un peu sur les gens du quartier. D'André Manon (qui a donné son nom à la maison associative) à Arène le marchand de légumes (au n°1). Parmi eux donc, les Dumas...et, mariage aidant, les Benoît...Jean-Yves Baud s'en souvenait. Et il y a aussi les registres d'Etat-Civil.
A l'époque des Pernod le débit de boissons-tabac était juste à côte de la maison Manon et non au début de la place comme aujourd'hui. Il n'y avait là que la buvette Gouin.
Tout cela nous rapproche de la gleiso mais nous éloigne de la glaise (facile, je sais, mais je suis fatiguée...)
Merci Sainte, maintenant je comprends. Pour la petite histoire, mon grand-père s'est marié en l'église des Carmes. À cette occasion, Félix Gras écrivit un poème en deux langues en l'honneur de la fille et du gendre de l'ami François Dumas. Ce dernier (à qui un poème est dédié dans "Les filles d'Avignon", est à l'origine de l'attribution du nom "Théodore-Aubanel" à la rue et à la place qui le portent aujourd'hui.
Ah, ce Félix ! il m'a même chipé ma rue (la Félix Gras se nommait SP autrefois).
Pensée pour son fils, Jean-Pierre, qui s'initia lui aussi à la sculpture avec de la terre argileuse qu'il trouvait aux environs de Mallemort son village familial.
Pour ceux qui ne peuvent se deplacer... nous esperons en voir apres l'exposition ici...
C'est prenant!
Si les blogueuses présentes au vernissage veulent bien me confier quelque photo, je me ferai un plaisir de les publier ici !
;)
Commentaires
toutes les photos que tu nous en a montrées sont très impressionnantes - hâte de voir
Ah oui moi aussi, je me réjouis d'y aller.
Ben moi j'ai pas vu les photos :(
Il y aura un reportage, ou plutôt des reportages, je pense ?...
La tête sur l'affiche pourrait symboliser le cri de la Terre, outragée de toutes parts.
Cinq jours seulement, il va falloir viser juste!
Bises à Martine, et à toi.
SP a toujours eue un faible pour les Carmes. Elle descendra donc peut-être voir la Terre entêtante... Elle avait d'ailleurs bien fait le voyage pour Matignon. Du temps des JF et JF P il y avait plusieurs artisans sur la place, dont un sabotier, à côté, au 25, et quelques uns qui s'essayaient à l'art.
Cette Terre, un cri ou un chant dans la tête ?
SP se sent espiègle et va poser une question en rapport avec sculpture: lorsque Alexandre B, tout comme JF ou JF P, ou comme n'importe quel avignonnais en déplacement à Paris regagnaient la gare de Lyon, ils savaient qu'ils auraient 10h50 de train. Mais ils se sentaient déjà au pays en s'approchant de la gare. Pourquoi ?
Tilia :
Je n'ai pas montré beaucoup de photos : une seule et deux affiches... Tu verras la seconde affiche d'ici peu. Mais comme tu ne seras pas à Avignon, je t'enverrai quelques autres photos.
Chri :
SIX jours !
Victor :
Bises !
Sainte-Praxède :
Jean-François Matignon et la Cie Fraction occupent toujours ce lieu, mais créent cette année à la Manutention, où les anciens locaux des Hivernales viennent de leur être attribués.
Mon grand-père s'appelait Alexandre Benoit. Est-ce de lui dont tu parles et l'aurais-tu connu ? J'imagine qu'en arrivant à la gare de Lyon, il devait voir les lions de Charpentier qu'il a peut-être bien connu.
L'affiche est alléchante et parlante.
Où sont les photos dont on parle ?
Merci Michel. Meilleurs voeux de succès et bises à Martine, que je connais peu mais que j'aime beaucoup.
C'est vrai que j'y voyais un cri, mais pourquoi pas un chant ? J'ai hâte aussi de découvrir, à tout à l'heure
Oui, bien sûr, les lions de la Tour de la gare de Lyon (identiques à notre lion du monument du Centenaire exilé aux allées). Je pensais surtout à la jolie femme symbolisant La Vapeur et la Navigation: on passe devant en entrant dans la gare, en allant au Train Bleu.
J'ai pensé à Charpentier en voyant cette affiche parce qu'il a commencé sa carrière en modelant l'argile. Son père travaillait dans une briqueterie de Bollène et il a fait ses premiers pas en façonnant de la terre réfractaire...
AB, oui, bien sûr aussi...
Sainte-Praxède :
COMMENT ÇA "AB, OUI, BIEN SÛR AUSSI..." ???
IL FAUT M'EN DIRE BEAUCOUP PLUS.
En privé si vous voulez :
michelbenoit84(arobase)aliceadsl.fr
J'attends...
Fardoise a raison, on peut y voir aussi le chant de la Terre.
Rien de mystérieux: intéressée par l'histoire de la place des Carmes j'avais eue l'occasion de me pencher sur ses habitants. Un article de Bailly ("Couvent des Carmes et Pernod") m'avait intrigué aussi (en fait il n'y avait aucun rapport). Pas difficile de se pencher un peu sur les gens du quartier. D'André Manon (qui a donné son nom à la maison associative) à Arène le marchand de légumes (au n°1). Parmi eux donc, les Dumas...et, mariage aidant, les Benoît...Jean-Yves Baud s'en souvenait. Et il y a aussi les registres d'Etat-Civil.
A l'époque des Pernod le débit de boissons-tabac était juste à côte de la maison Manon et non au début de la place comme aujourd'hui. Il n'y avait là que la buvette Gouin.
Tout cela nous rapproche de la gleiso mais nous éloigne de la glaise (facile, je sais, mais je suis fatiguée...)
Merci Sainte, maintenant je comprends. Pour la petite histoire, mon grand-père s'est marié en l'église des Carmes. À cette occasion, Félix Gras écrivit un poème en deux langues en l'honneur de la fille et du gendre de l'ami François Dumas. Ce dernier (à qui un poème est dédié dans "Les filles d'Avignon", est à l'origine de l'attribution du nom "Théodore-Aubanel" à la rue et à la place qui le portent aujourd'hui.
Ah, ce Félix ! il m'a même chipé ma rue (la Félix Gras se nommait SP autrefois).
Pensée pour son fils, Jean-Pierre, qui s'initia lui aussi à la sculpture avec de la terre argileuse qu'il trouvait aux environs de Mallemort son village familial.
Pour ceux qui ne peuvent se deplacer... nous esperons en voir apres l'exposition ici...
C'est prenant!
Si les blogueuses présentes au vernissage veulent bien me confier quelque photo, je me ferai un plaisir de les publier ici !
;)