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Setanto an après 54 carriero di Fourbissèire

Soixante-dix ans après 54 rue des Fourbisseurs
Seventy years after Fourbisseurs street 54

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Années 1940 photo Patrice Molinard (1922-2002). / Années 1990. / Années 2010.

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Commentaires

  • Pour une fois, je préfère la boutique actuelle.

    Le ménage a été fait proprement, c'est bien astiqué !

  • belle restauration, une petite réserve (mais c'était sans doute ainsi autrefois) la porte semble un peu hors d'échelle

  • 私は、野外コンサートを楽しむように嬉しいです!彼らはフランスの南部であなたの村で共通している?

  • Le fils de César P connaissait bien cet immeuble qui fut occupé par la famille Lesbros (on leur prête aussi une occupation au n°41):"Verrerie Générale du (sic) Vaucluse" (commerce et négoce). On comprend l'attirance du petit Alfred pour les places Saint-Didier et des Corps Saints toutes proches (nombreuses toiles dont celle de la boutique de Ferragut le Fruits et Légumes-Epicerie). Il s'installa ici avec sa jeune épouse Estelle Duch. Il y retravaillait le soir les études réalisées à l'Ecole des Beaux Arts, le maître étant Pierre Grivolas.

  • Sans blagues, vous êtes en train de me dire qu'après avoir, sans le savoir, publié le monogramme de César Pernod rue Félix-Gras, je publie deux jours plus tard, par hasard encore, la maison de son fils Alfred ?

    Qui êtes-vous Sainte-Praxède ?

  • Sainte-Praxède est une vieille dame (bloquée sur le net pour divers rapports à rédiger) fidèle et amoureuse de sa ville, ville qui a tendance à devenir impie. Heureusement la Jeune Garde (Prenez garde, prenez garde etc. l'ai est connu...) veille.

    Je faisais allusion à AA (double !) Lesbros (Alfred Agricol, comme le papa) mais la rédaction prêtait il est vrai à confusion. Lesbros aurait aussi habité au 43 (en sus des 41 et 52)

    Alfred Lesbros habita ici avec sa jeune laitière montfavétaine.

    Souvenir des magasins "US" qui firent florès dans les années 60 et prospérèrent longtemps après la fin de la guerre avec de vrais ou faux "surplus". CASA = Comptoir Avignonnais etc... Qui se souvient encore de la fascination des jeunes de notre ville pour nos libérateurs et tout leur attirail moderne et pratique ? (relire les souvenirs d'Yves Berger à ce sujet) ? On trouvait ces surplus sur les marchés, à la place de Quimo (lorsque ce magasin a disparu) et surtout chez Angeniol au Pigeonnier où pendant longtemps flotta un grand drapeau américain au bord de la nationale 7 (à gauche en allant au Pontet).

  • Impie ? Qu'importe ! Nous devrions tous parler plus de pitié que de piété...

    Il y a encore ? toujours ? sur la N7, à gauche en allant au Pontet, entre la Croisière et le Pigeonnier, un stock américain. Il y en avait un aussi chemin de la Croix Verte, en contre-bas du pont de chemin de fer. Il existe encore, installé maintenant dans la zone de Fontvert.

  • Mon fils vous restez bien tard sur ce net pas toujours net. Mais je vais répondre à votre question.

    Je crois bien que c'est dans Les Matins du Nouveau Monde qu'il raconte l'arrivée d'un ou plusieurs chars route de Lyon (ou avions dans le ciel ?). Pour le reste j'avais lu certains récits dans des périodiques que je n'ai pas gardé, il y parlait de l'Amérique, des nouveautés importées chez nous, du chewing-gum aux vêtements de pluie pratiques et seyants, je ne sais plus trop... Ses parents habitaient route de Lyon, à côté de Rouy (Rouy-Mestre). Je crois que la maison existe toujours (immeuble neuf à côté) mais je n'en suis pas sûr. Il fut élève à Mistral. Il gagnait à pied la rue Carreterie et appréciait les Carmes et le Portail Matheron. Je suis distraite car j'oublie un autre roman où il évoque ses souvenirs d'enfance.

    Pour revenir à CASA: intéressante cette descente qui ne vient pas du toit. Pendant longtemps (années 60) on pouvait lire le menu des familles avignonnaises en examinant les reliefs de repas qui filaient, vaisselle faite, à l'égoût via les caniveaux, le long des trottoirs...

  • Bien intéressant tout ceci...
    pour ma part, ce qui m'intrigue, c'est cette porte (nouvelle) qui se dessine soudainement. Comment gagnait-on les étages avant qu'elle ne soit ouvete ?

  • Gageons, Jeandler, que le commerçant occupait toute la maison : les stocks au premier, l'appartement au second et au troisième... ?
    À moins que la profondeur de la maison permette une sortie sur la rue Saraillerie qui est derrière ?

  • En cherchant des renseignements sur Pernod, je tombe sur cet article que j'avais sauté à l'époque, c'est bien dommage car il est fort intéressant à la fois pour le parcours dans le temps, mais aussi pour les commentaires.

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