En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Bonjour de Minnesota, USA,
C'est un foto formidable. Je voulait voyager encore en France . . . .
J'ai commence' mon City Daily Photo blog il y a une semaine :
EaganDailyPhoto.blogspot.com
Merci beaucoup!
'a plus tart
Cette photo ancienne (même pub rue de la Ré) m'a toujours fait rire, tant pis si c'est peu charitable...
On a eu COHN et BAIZ comme l'on a aujourd'hui les Ets Fougasse pour l'aménagement de fours de boulangerie et pâtisserie...Sans oublier Serre et Pilaire !
Ma mère m'a raconté qu'il y avait rue St Agricol, à côté de chez Roumanille, un shampooineur-capillliculteur qui se nommait Moussu.
Et vivent les Metge qui sont médecins !
Les platanes ont donc résisté ?
Je n'ai pas connu l'époque de la caserne d'Hautpoul et je ne suis pas sûre d'avoir manqué quelque chose. Les sentinelles du 7e Génie de la rue Joseph Vernet m'intimidaient déjà assez comme ça quand j'étais gamine.
Par contre, j'aimais bien traverser la cité administrative quand, les soirs d'hiver, les réverbères baignaient ses bâtiments et arcades d'une atmosphère romantique. Les lampadaires du cours actuel sont moches que c'est peu de le dire.
La publicité moderne sur panneau est tout de même plus esthétique (et moins odorante, mais aussi moins marrante) que sur la vespasienne ! Quant à la fontaine Wallace, j'espère qu'elle a juste été déplacée...
(il manque le « t » à Hautpoul dans les tags)
L'essentiel y est , en plus respirable, semble-t-il!
On reconnait les platanes.
Et où on fait pipi maintenant?
Bonne question, Wilfrid, bonne question... !
À vue de nez, un peu partout, Wilfrid ;-)
bonjour. J'ai 88 ans, j'ai connu cette époque.nous étion heureux malgré les odeurs qui permettaient aux incontinents de se soulager sans être obliges de transporter leurs vespasiennes dans la poche.mais il ne faut pas nier les bienfaits du progrès. tous les ans,nous les gamins nous pouvions pénétrer dans la caserne ou le 7e montait des attractions qui faisait notre joie.A la sortie de l’école nous nous arrêtions a la caserne, et,malgré parfois la fessée (interdite aujourd'hui)nous arrivions en retard a la maison ou nos Mères se rongeaient les sangs (comme l'on disait a l’époque)merci a tous pour ces très belle photos.
Merci à vous, Lucien, pour votre touchant commentaire.
Commentaires
l'essentiel est inchangé
Bonjour de Minnesota, USA,
C'est un foto formidable. Je voulait voyager encore en France . . . .
J'ai commence' mon City Daily Photo blog il y a une semaine :
EaganDailyPhoto.blogspot.com
Merci beaucoup!
'a plus tart
Cette photo ancienne (même pub rue de la Ré) m'a toujours fait rire, tant pis si c'est peu charitable...
On a eu COHN et BAIZ comme l'on a aujourd'hui les Ets Fougasse pour l'aménagement de fours de boulangerie et pâtisserie...Sans oublier Serre et Pilaire !
Ma mère m'a raconté qu'il y avait rue St Agricol, à côté de chez Roumanille, un shampooineur-capillliculteur qui se nommait Moussu.
Et vivent les Metge qui sont médecins !
Les platanes ont donc résisté ?
Je n'ai pas connu l'époque de la caserne d'Hautpoul et je ne suis pas sûre d'avoir manqué quelque chose. Les sentinelles du 7e Génie de la rue Joseph Vernet m'intimidaient déjà assez comme ça quand j'étais gamine.
Par contre, j'aimais bien traverser la cité administrative quand, les soirs d'hiver, les réverbères baignaient ses bâtiments et arcades d'une atmosphère romantique. Les lampadaires du cours actuel sont moches que c'est peu de le dire.
La publicité moderne sur panneau est tout de même plus esthétique (et moins odorante, mais aussi moins marrante) que sur la vespasienne ! Quant à la fontaine Wallace, j'espère qu'elle a juste été déplacée...
(il manque le « t » à Hautpoul dans les tags)
L'essentiel y est , en plus respirable, semble-t-il!
On reconnait les platanes.
Et où on fait pipi maintenant?
Bonne question, Wilfrid, bonne question... !
À vue de nez, un peu partout, Wilfrid ;-)
bonjour. J'ai 88 ans, j'ai connu cette époque.nous étion heureux malgré les odeurs qui permettaient aux incontinents de se soulager sans être obliges de transporter leurs vespasiennes dans la poche.mais il ne faut pas nier les bienfaits du progrès. tous les ans,nous les gamins nous pouvions pénétrer dans la caserne ou le 7e montait des attractions qui faisait notre joie.A la sortie de l’école nous nous arrêtions a la caserne, et,malgré parfois la fessée (interdite aujourd'hui)nous arrivions en retard a la maison ou nos Mères se rongeaient les sangs (comme l'on disait a l’époque)merci a tous pour ces très belle photos.
Merci à vous, Lucien, pour votre touchant commentaire.