Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Cènt ans après 40 carriero di Marchand

Cent ans après 40 rue des Marchands
A hundred years after Marchands street 40

Maison_Rascas_1900.jpg
937a6445ec6361a3143eb49230298c96.jpg
dfeb06414369d878ca90315e96f6861d.jpg
Cette maison à encorbellements sur poutres saillantes, à l’angle de la rue des Marchands et de celle des Fourbisseurs, est datable de la fin du XVe siècle. Les murs sont certainement en bois comblés, aux colombages invisibles sous l'enduit. Elle fut construite par les frères Galiani, marchands de toile. Elle est le seul témoin d’un type de maison fort répandu à Avignon au Moyen-Âge.
Elle est souvent dite, à tort, "maison de Rascas" du fait que sur son emplacement Bernard de Rascas, fondateur de l’hôpital Sainte-Marthe en 1353, aurait possédé une maison au XIVe siècle.
Au XIXe siècle se trouvait ici le magasin "Au désir des dames", tenu par un futur collaborateur de Louis Blériot, M. Micheland qui construisit le premier avion français !
Cela pourrait bien se passer en 1907 et l'avion pourrait bien ressembler à celui-ci, en "ailes de canard", le premier modèle d'avion ayant pu voler, juste 2 ans avant que le Blériot XI ne traverse la Manche. div_0729.jpg
Lien permanent 9 commentaires Pin it!

Commentaires

  • Ah j'adore tous les détails croustillants que tu donnes sur cette maison.

    "Au désir des dames" ? Voilà qui renouvelle de façon pimentée le célèbre bonheur des dames de Zola !

  • Je regardais ton profil, t'as vraiment 53 ans? Tu fais pourtant drôlement plus jeune que moi. Il est temps que je passe au lifting !!!

  • Je suis étonnée de voir qu'Avignon a conservé tant de vieilles maisons, en les modernisant sans les défigurer. Ta collection est intéressante !

    Et merci pour ton lien sur la situation de l'orchestre .

  • j'aimais la netteté des bandes horizontales - j'ignorais l'histoire.
    dis Monsieur le maître es-Avignon (merci), tu ne pourrais pas demander à la pluie de ne pas être trop forte, j'ai peur d'une nouvelle inondation

  • Hé-Ya-Ho-Wa ! Hé-Ya-Ho-Wa ! Hé-Ya-Ho-Wa ! Hé-Ya-Ho-Wa ! Hé-Ya-Ho-Wa ! Hé-Ya-Ho-Wa ! Hé-Ya-Ho-Wa ! Hé-Ya-Ho-Wa ! Hé-Ya-Ho-Wa ! Hé-Ya-Ho-Wa ! Hé-Ya-Ho-Wa ! Hé-Ya-Ho-Wa ! Hé-Ya-Ho-Wa ! Hé-Ya-Ho-Wa ! Hé-Ya-Ho-Wa ! Hé-Ya-Ho-Wa ! Hé-Ya-Ho-Wa ! Hé-Ya-Ho-Wa ! Hé-Ya-Ho-Wa ! Hé-Ya-Ho-Wa !

    A-Ya-Ho ! A-Ya-Ho !

    Voilà. La pluie devrait cesser. Mais en général c'est pour la faire venir que je chante ça !

  • Euh ben la prochaine fois tu vas chanter ton truc en plumes ailleurs, parce que franchement oui, t'as réussi à faire venir la pluie bien comme il faut!
    Quelle saucée !

    Bon je vais lire ton article sur les pesticides dans le vin, ça va me faire passer l'envie de picoler...

  • Dans les années soixante il y avait une discothèque dans les caves voutées de cette vénérable demeure. "Le Twist" était son nom et c'était ouvert l'après midi. Beaucoup de jeunes entre 15 et 20 ans s'y pressaient, les jours où ils n'avaient pas cours, pour le plus grand plaisir de tous, filles et garçons.
    C'était "Au désir des damoiselles et damoiseaux" !!!
    Souvenirs, souvenirs...
    Et au rez-de-chaussée il y avait un confiseur dont je n'arrive pas à retrouver le nom.

  • Pour harmoniser les tags, peut-être faudrait-il rajouter "Rascas" à ce billet... je dis ça, je dis rien ;-)

  • Mais si, dit ! C'est amélioré grâce à toi.

    En ce qui concerne le confiseur, Lou Ravi a donné la réponse dans la note du 5 novembre 2009.

Écrire un commentaire

Optionnel