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Façade qui parle

Tout en haut de son mur loin de la devanture L'ancienne enseigne devient une architecture 6809b12e34aba3a239fd8599c8b7ae53.jpg

Lien permanent 6 commentaires Pin it!

Commentaires

  • Michel, il y avait aussi à Avignon un marchand de vélo qui s'appelait Vacca.
    L'intérêt, c'est que son associé, lui, s'appelait Gay !
    Bises (bien arrosées !)

  • Cela me fait penser à un autre marchand de vélos, Félicien GRAS (mon parrain), qui tenait le magasin des vélos "MAGALY" place du Palais. Dans les années 45-50, il avait transformé son magasin en le "MILK BAR" qui est devenu maintenant le "In & Off"...

  • En réalité, TERROT fut une entreprise lyonnaise de vélos du XIXe siècle qui commença à fabriquer des motos en 1902 et connut un succès énorme dans les années 30. Ce fut une marque nationale, et à ce titre, elle figure sur cette façade en tant que telle...
    Est-ce ce magasin que tenaient MM. Vacca et Gay ?

  • Dans les années 70, au Moto-Club, il y avait encore des jeunes qui roulaient en Terrot (on les appelait les terroristes...), les uns par souci d'originalité, les autres par manque de moyens, vu que ces "monuments historiques" ne valaient presque rien, comparé au prix des Allemandes, Japonaises ou Anglaises... pour ces dernières, c'était d'ailleurs le chant du cygne...

    L'activité deux-roues faisait aussi fonctionner de petits ateliers de mécanique de précision... J'ai souvenir d'un réalésage chez Bacherini, alors au tout début de la Trillade, qui s'en fut par la suite route de Montfavet et est aujourd'hui fermé, sans successeur bien entendu puisque maintenant sur une voiture (et une moto), on ne répare plus rien, on remplace...

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