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La première est mortelle, c'est celle qui a frappé les platanes. Le seul remède est un arrachage des souches et le remplacement des arbres. Un chantier en cours ?
L'autre s'appelle la déréliction, elle frappe entre autres les roues dont l'entretien est très sérieusement négligé depuis une quinzaine d'années. Il fut un temps où il existait une sorte de contrat "tacite" avec un ferronnier avignonnais, qui régulièrement procédait aux réparations et ajustements permettant la conservation de ces mécaniques qui font le cachet du quartier. Depuis une très grosse décennie, ce n''est plus le cas et la roue ici visible, avec son axe brisé, n'est plus qu'une épave.
Que dire de plus ? La France, ton café fout le camp...
Dans le cadre d'une ville qui vente son patrimoine, ça fait tout de même un négligé, surtout que cette rue est très fréquentée pas seulement par les festivaliers.
Concernant les platanes, chaque fois que je passe devant, j’imagine le chantier que cela devrait représenter ne serait ce que pour les déterrer en tenant compte du canal et des roues. Avant le chancre coloré, la rue avait belle allure, et l INRA d Avignon a travaillé sur un platane résistant ( Le platanor de mémoire) qui pour le futur devrait lui résister et redonner belle allure à la rue …
Pour plussoyer Alain Breton, je dirais : Avignon, ton cachet fout le camp :-(
Commentaires
hé oui.. chérissons ceux qui restent
Cette rue souffre de deux maladies graves.
La première est mortelle, c'est celle qui a frappé les platanes. Le seul remède est un arrachage des souches et le remplacement des arbres. Un chantier en cours ?
L'autre s'appelle la déréliction, elle frappe entre autres les roues dont l'entretien est très sérieusement négligé depuis une quinzaine d'années. Il fut un temps où il existait une sorte de contrat "tacite" avec un ferronnier avignonnais, qui régulièrement procédait aux réparations et ajustements permettant la conservation de ces mécaniques qui font le cachet du quartier. Depuis une très grosse décennie, ce n''est plus le cas et la roue ici visible, avec son axe brisé, n'est plus qu'une épave.
Que dire de plus ? La France, ton café fout le camp...
Dans le cadre d'une ville qui vente son patrimoine, ça fait tout de même un négligé, surtout que cette rue est très fréquentée pas seulement par les festivaliers.
Concernant les platanes, chaque fois que je passe devant, j’imagine le chantier que cela devrait représenter ne serait ce que pour les déterrer en tenant compte du canal et des roues. Avant le chancre coloré, la rue avait belle allure, et l INRA d Avignon a travaillé sur un platane résistant ( Le platanor de mémoire) qui pour le futur devrait lui résister et redonner belle allure à la rue …
Pour plussoyer Alain Breton, je dirais : Avignon, ton cachet fout le camp :-(
Et pour voir des roues, en bon état, tourner sur la Sorgue :
https://www.youtube.com/watch?v=CJ6OqO5UzFw