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16 carriero de la Pichoto-Saunarié

16 rue de la Petite-Saunerie
Petite-Saunerie street, 16
Petite-Saunerie-Straße 16

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Début XXe siècle
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Années 1960/70
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2014
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2024
Lien permanent 23 commentaires Pin it!

Commentaires

  • Bel exemple d'évolution des façades au fil des ans.

    À ce propos, dans le courant de la journée j'ai enfin réussi à localiser la boutique du tailleur ELBA,
    le Ounte sian d'il y a presque un an :
    http://avignon.hautetfort.com/archive/2023/08/22/ounte-sian-6457710.html
    bien que sa belle vitrine ait disparu ainsi que le balcon qui la surmontait.

    On pourrait avoir la preuve que c'est bien là sur une vue aérienne le balcon doit se repérer facilement.
    Encore faut-il être un pro de "remonter le temps" (ce qui n'est pas ma tasse de thé, pour moi l'interface est un vrai cauchemar ). On va attendre qu'Alain Breton soit de retour !
    Je suis en train de préparer un topo pour mettre tout ça au clair.

  • Alors, Tilia, est-ce rue Devéria / Galante ? Ou bien ?

  • C'est bien plus loin : rue Bourgneuf

  • Mais, la rue Bourg-Neuf n'est pas en pente...

  • Tilia, désolé mais je ne crois guère à cette hypothèse.

    Plusieurs obstacles à l'identification :
    - la pente marquée de la rue qu'on ne retrouve pas rue du Bourg Neuf
    - le coude qui s'amorce très visiblement à gauche du cliché ne correspond pas à l'alignement
    - la rue devant la devanture du tailleur semble manifestement plus large que l'étroite rue du Bourg Neuf

    J'ajoute que, malheureusement, il n'existe pas de cliché aérien suffisamment précis pour témoigner sans ambiguïté de la présence d'un balcon à cet emplacement ; bien au contraire, le peu qui existe - mais qui n'est pas très net - semble infirmer totalement la chose.

    Enfin, le seul élément qui permettrait d'affirmer que c'est bien là que cela se passe est cette ouverture grillée, qui est à peine visible sur le cliché du post, mais très nettement dévoilée par l'autre des Archives (100Fi401).

    Or c'est bien là que cela coince : la fenêtre grillée de la rue Bourg Neuf est surmontée d'un bandeau séparant le RDC de l'étage, lequel bandeau touche pratiquement le point le plus haut de la fenêtre... Or sur le cliché 100F401, si l'on retrouve bien à côté de la boutique un ensemble fenêtre en arc/bandeau d'étage, ces deux éléments sont nettement séparés par un large espace.

    Cela ne marche donc pas.

    Possible explication : l'immeuble du tailleur a été démoli (on n'a donc guère de chances de le retrouver...) , mais sa grille
    - qui a effectivement la même forme, le même nombre de barreaux verticaux, la même position des montants horizontaux - , a été récupérée et remontée dans l'immeuble de la rue Bourg Neuf qui a été l'objet d'une importante réhabilitation récemment.

  • Par tes photos je découvre que l'enseigne "Crédence " est toujours là.!

  • Si ça devient une résidence AirBnB, le nom est tout trouvé ! ^_^

  • Que représente ce nom 'la crédence"qui reste au fil des ans ?

  • Oui je connais cette photo mais le nom étant resté je pensais qu'il s'agissait d'autre chose.Merci pour la réponse.

  • @ Florent
    La photo de 2014 montre le magasin de meubles "La Crédence" aujourd'hui disparu, hélas!
    https://www.proantic.com/1229017-credence-deux-corps-vitre-en-noyer-xviiieme.html#

    Je me permets de répondre à votre question car "Crédence" est un mot que je connais bien, puisque c'est le nom que donnaient mes grands-parents lorrains à un meuble à deux corps destiné à exposer les belles assiette dans sa partie haute, et à ranger tout le reste de la vaisselle dans sa partie basse :
    https://www.proantic.com/display.php?mode=obj&id=274446

    Ce que confirme la définition de ce mot, dans le site Meubliz :
    " Dans le mobilier civil, la crédence s'appliquait aux buffets et aux dressoirs servant à étaler la vaisselle et à en faire parade."
    https://www.meubliz.com/definition/credence/

  • Grâce à la réponse de Michel et à son lien je vois (qu'influencée par ce que je viens d'expliquer précédemment) j'ai mal lu l'enseigne figurant sur la photo de 2014, j'ai interprété Mariés de Provence par Meubles de Provence !

    La Crédence était donc un magasin de cadeaux de mariage.
    Ce qui ne change rien à la définition du mot "Crédence" hélas quasiment disparu du vocabulaire moderne (en dehors de celui des antiquaires) au profit d'un terme désignant "dans une cuisine, la partie du mur située entre le plan de travail et les meubles hauts" :
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Cr%C3%A9dence

  • Ça me rappelle l'école et le tableau noir...

  • Désolée Michel, je ne vois pas trop le rapport avec l'école.. si tu trouves mes explications un tantinet didactiques dis le moi franchement :-)

  • Absolument pas, Tilia ! Tes explications ne sont pas du tout en question.
    Mais La Crédence a fait son chemin dans ma tête jusqu'au tableau noir parce que là, la craie danse.
    o.O je suis confus...

  • J'aurais dû y penser !
    Michel : tu es le roi des jeux de mots.
    Que dis-je, le roi ?.. l'Empereur devrais-je dire !!!

  • Mais temporisons la chose.
    J'ai lu de je ne sais plus qui quelque chose comme ça :
    Les mots et les pets ont ceci en commun que ce ne sont que des masses d'air qui sortent par l'extrémité d'un tube digestif.
    Je l'aime bien celle-là. ^_^

  • Merci pour le lien, Michel.
    Pas vraiment d'accord avec Victor : le calembour est lourd, c'est la langue des turlupins.
    Tandis que le contrepet est subtil, tel un soupir de l'esprit qui vole en parlant la langue des oiseaux :
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Langue_des_oiseaux#Principe

  • Si j'ai bonne mémoire les gérants étaient Mr et Mme Ferrier

  • Vau bèn ! Te veiren amé plasé Vitour.
    (Telefouna pèr que siguen aqui...)
    (^o^)/

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