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Dans mon billet d'août 2011 : https://echos-de-mon-grenier.blogspot.com/2011/08/jongkind-et-avignon.html
à propos de cette huile, je parlais de la manière de travailler de Jongkind en dehors de son atelier :
"Au début de ce billet, je disais que sur cette huile le clocher des Augustins me semblent un peu trop étiré en hauteur. Cela est sans doute dû à la façon de procéder de Jongkind. Tel Corot, Jongkind travaillait souvent de souvenir. Aquarelliste hors pair, il exécutait rapidement sur le terrain un croquis, auquel il ajoutait des touches d'aquarelle, notant ainsi les teintes fugitives. Au besoin, il complétait son esquisse par des annotations écrites sur les mouvements de la scène qu'il peindrait plus tard à l'huile, dans son atelier.
Oui Michel, tu as raison, cette comparaison avec Corot est contradictoire avec son habitude de travailler en plein air.
De plus elle est inutile dans mon article et je vais l'effacer.
Extrait de ce fichier PDF, intitulé "Jongkind précurseur de l'Impressionnisme" :
"Corot, qui travaille souvent de souvenir,
note rapidement un pli du terrain, un noyau de feuillages, une ligne ascendante, la valeur d'un lointain ou du ciel, sans s'attarder aux détails.
Même miracle chez Jongkind, dont on dirait qu'il n'a pas eu besoin de réfléchir avant de confier à l'album une affirmation décisive : le moindre trait est en place et «en mouvement », comme chez Rembrandt...
(Claude Roger-Marx Le paysage français de Corot à nos jours librairie Plon 1952 p. 42 et 15 )"
...
La citation à propos de Corot travaillant de souvenir se trouve en page 5 du PDF
Commentaires
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Certainement un des essai de Jongkind pour son huile datée du 30/09/1873 :
https://www.meisterdrucke.fr/fine-art-prints/Johan-Barthold-Jongkind/152805/Avignon,-1873-.html
Dans mon billet d'août 2011 :
https://echos-de-mon-grenier.blogspot.com/2011/08/jongkind-et-avignon.html
à propos de cette huile, je parlais de la manière de travailler de Jongkind en dehors de son atelier :
"Au début de ce billet, je disais que sur cette huile le clocher des Augustins me semblent un peu trop étiré en hauteur. Cela est sans doute dû à la façon de procéder de Jongkind. Tel Corot, Jongkind travaillait souvent de souvenir. Aquarelliste hors pair, il exécutait rapidement sur le terrain un croquis, auquel il ajoutait des touches d'aquarelle, notant ainsi les teintes fugitives. Au besoin, il complétait son esquisse par des annotations écrites sur les mouvements de la scène qu'il peindrait plus tard à l'huile, dans son atelier.
Autre essai pour l'huile du 30 septembre 1873 exécuté sans doute le jour même :
https://www.artnet.fr/artistes/johan-barthold-jongkind/rue-du-portail-matheron-NRTPNq6lsOL72QpQ2EoOBw2
.
« Tel Corot, Jongkind travaillait souvent de souvenir. »
Corot, référence des impressionnistes, travaillait "sur le motif" :
https://api.art.rmngp.fr/v1/images/17/294111?t=JUi4F-ef5UFLNyPNEBQcnA
Oui Michel, tu as raison, cette comparaison avec Corot est contradictoire avec son habitude de travailler en plein air.
De plus elle est inutile dans mon article et je vais l'effacer.
Cependant je n'ai pas inventé cette allusion à la façon de travailler de souvenir au sujet de Corot.
Je l'ai trouvé dans ce PDF :
https://s9547008b2a38b7f2.jimcontent.com/download/version/1371481513/module/8064074749/name/Jongkind%20pr%C3%A9curseur%20de%20l%27Impressionnisme.pdf
le lien de ce PDF est aléatoire car il envoie directement le fichier en téléchargement sur l'ordinateur de la personne qui clique dessus...
Extrait de ce fichier PDF, intitulé "Jongkind précurseur de l'Impressionnisme" :
"Corot, qui travaille souvent de souvenir,
note rapidement un pli du terrain, un noyau de feuillages, une ligne ascendante, la valeur d'un lointain ou du ciel, sans s'attarder aux détails.
Même miracle chez Jongkind, dont on dirait qu'il n'a pas eu besoin de réfléchir avant de confier à l'album une affirmation décisive : le moindre trait est en place et «en mouvement », comme chez Rembrandt...
(Claude Roger-Marx Le paysage français de Corot à nos jours librairie Plon 1952 p. 42 et 15 )"
...
La citation à propos de Corot travaillant de souvenir se trouve en page 5 du PDF