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Commentaires

  • "en même temps ça ne semble pas si facile ... faut beaucoup tourner

  • Le nombre de gens que je rencontre et qui ne viennent plus en ville .Nous sommes perdus ! Hier "Grand Frais " nord plein à craquer ...!!!!

  • Si vous ne vous souvenez pas des rues encombrées par les voitures qui se faufilaient jusque dans les ruelles et par les belles rangées de véhicules garés le long des trottoirs, je pense que Michel peut vous raviver la mémoire par une sélection d'un grand nombre de ses posts avec des photos de années 1970, 80 ou 90.
    Quand je viens intra-muros, je me gare au parking des Italiens ou à celui de l'île Piot (sans problème, sauf en période de festival, évidemment), puis je prends la navette ou mes pieds selon la météo et mon humeur... et j'apprécie de profiter d'une ville sans voiture !
    J'ai aussi quelques amies qui sont néo-avignonnaises depuis une dizaine d'années, qui habitent dans le centre et qui vivent pareillement très bien l'absence de circulation.

  • Il est possible que certains y trouvent leur compte, notamment les résidents de l'intra-muros qui y travaillent, ou ceux qui ont l'après-midi devant eux pour venir flâner en ville.

    Reste que la "circulation" est arrangée de telle façon que tous ceux qui n'ont rien à faire à Avignon, parce qu'ils travaillent à la périphérie et résident ailleurs, ou ceux qui prennent le train... ou autres... se retrouvent "piégés" par le fait que les remparts restent une plaque tournante où ils n'ont rien à faire.

    Nos édiles diront que dans "circulation", il y a "circulaire", et que de ce fait tout va bien ! Ou bien beaucoup plus sérieusement, ils diront que les difficultés sont volontairement aménagées pour inciter les usagers à utiliser d'autres moyens. Réponse d'une grande naïveté, car la vraie solution c'est tout simplement d'aller ailleurs.

    Michel Bourgue ne dit pas autre chose !

    Peut-être qu'un jour nos édiles se rendront compte qu'il ne reste en ville que des kébabs et des tatoueurs... Maus il sera probablement trop tard.

  • Tout à fait d'accord avec Frédéric.
    La vie n'est qu'un changement perpétuel et contrôler les excès demande aussi des sacrifices. L'adaptation est la réponse à l'évolution.
    Ceci dit, régler la circulation périphérique à-n-Avignon semble être un casse-tête !

  • Quel égoïsme, pensez vous aux centaines de milliers de navetteurs obligés de passer par Avignon, et aux services d'urgence impactés par cette politique anti voiture.

  • En attendant, à défaut de contrôler les excès, on contrôle les accès....

  • Pas vraiment d'accord. Il est vrai que je fais partie de ces bobos tant décriés du centre-ville.
    Néanmoins, pas plus tard que jeudi au théâtre le 11, nous faisions le constat que c'était un Flunch, et qu'il avait fermé car on ne pouvait pas stationner sur le boulevard Raspail. C'était il y a 20 ans environ.

  • Alain, les amies résidentes du centre-ville dont je parlais travaillent (ou travaillaient) toutes les quatre en périphérie (3 au Pontet et 1 à Morières) et ont l'air de bien le vivre !
    Enfin j'avoue que je ne vois pas ce qu'on a perdu avec la disparition de la nourriture industrielle du Flunch, puisque elle a été remplacée par la nourriture industrielle... des kebabs. :-D

  • Ah si encore, une question au maître des lieux : ton document, il date de quand ?

  • Eh bien cela fait vraiment plaisir d'apprendre qu'il y a quatre ou cinq personnes heureuses du plan de circulation urbain.

    Mais je crains fort que si l'on organisait un référendum sur le bassin avignonnais - là où résident les personnes qui ne peuvent élire, ou blackbouler, la municipalité qui leur empoisonne la vie - , on aurait des surprises...

    Ceci étant, le problème reste qu'il n'y a plus de dépenses structurantes sur le chapitre de la circulation depuis des décennies (en dehors du projet Tram qui est une aberration pour ceux qui travaillent) , et que malgré tout l'appareil règlementaire qui permettrait de sortir Avignon du ghetto géographique où elle se trouve (au coin de son département, à quelques centaines de mètres d'un autre département dans un sens, et à pareille distance d'un troisième département et d'une autre région dans un autre), il n'y a pas de volonté politique, sinon des actions punitives contre ceux qui n'ont pas la force de déployer un hamac sur leur lieu de travail.

    Jusqu'au jour où ils vont voir ailleurs....

    Pour mémoire, médiane du revenu disponible pour la ville d'Avignon en 2021 : 17.690 € - Même donnée, ensemble du département : 21.370 €.

  • Frédéric, le logo municipal est celui du mandat de Guy Ravier (1989-1995).
    Il s'agit d'un autocollant (7,5 x 12 cm).

  • Alain Breton, bien sur cette analyse est juste et j'ajouterai que ce sont les plus pauvres sur la rocade qui paient le prix fort de l'absence de la LEO et autres arlésiennes : Cancers, bronchites, asthmes etc. etc.
    J'ai honte de me dire de gauche comme ces élus.

  • "J'ai honte de me dire de gauche"

    Courage, plus que quelques jours et on arrive à la nuit du 4 août....

  • Les privilèges à faire tomber sont d'une autre élite sociale qui, elle, n'est plus trop noble.

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