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Carriero d'Avignoun 51449 Prunay

Rue d'Avignon 51449 Prunay
Avignon street 51449 Prunay
Avignon-Straße 51449 Prunay

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Merci Google !
(À partir d'une étincelle de Tilia... ;-)

Lien permanent 17 commentaires Pin it!

Commentaires

  • ma foi pourrait presque être dans Avignon mais hors les murs

  • Michel ma mémoire me fait en partie défaut, je me souviens que j'ai déniché ce panneau au cours de mes recherches concernant deux endroits où eurent lieu des combats durant la guerre de 14-18. Il me semble que c'est au sujet d'aquarelles d'un peintre qui participa à ces combats...
    Ça y est ! ça me revient, c'est à propos d'une aquarelle de Montagné,
    voir mon dernier commentaire au bas de cette page :
    http://avignon.hautetfort.com/archive/2023/06/17/louis-montagne-a-la-guerro-6448100.html

    Je disais en conclusion :
    "À la suite des destructions de la Première Guerre mondiale, la reconstruction ayant été aidée par les communes d'Avignon, de Port-Marly, Groslay et Saint-Gratien, la ville dédia des rues à ces bienfaitrices. " :
    https://goo.gl/maps/LrsigXSzdhhi3BbS9
    .

  • Et sur le panneau à l'autre extrémité de la rue d'Avignon à Prunay,
    au-dessous de "Rue d'Avignon" il est mentionné 'Bienfaitrice" :
    https://goo.gl/maps/V63ELSAFNZB6xwc97
    .

  • Cette plaque était trop floue... dommage !

  • Pour aller la photographier, ça fait un tout petit détour quand on part en Allemagne... ;-)

  • Belle trouvaille, Tilia ! Qui débouche peut-être sur une énigme :

    Cette commune est loin d'être la seule, hélas, à avoir été ravagée par les combats intensifs de 1914-1918. Comment se fait-il que notre ville se soit portée au secours de Prunay plutôt que d'une autre ville ? Il serait intéressant de retrouver les délibérations communales qui traitent de l'affaire - mais je ne me souviens pas que les registres possèdent une table d'analyse thématique. A creuser...

  • La raison du nom de cette rue aura été éclaircie et documentée !

  • Merci Tilia pour cet article, qui permet de retrouver du 1er coup la délibération en cause.

    Le f° 421 v° indique la raison du "jumelage" (je pense que le mot n'avait pas encore cours à l'époque). Les trois communes retenues sont celles où ont stationné durant le conflit des régiments et bataillons de recrutement vauclusien sinon avignonnais : à Esmes, le 258ème, à Cumières un bataillon du 58ème, et à Prunay le 118ème régiment territorial.

    Le Conseil voit cette opérations comme "un hommage rendu à ceux de nos concitoyens qui, morts pour la France, reposent dans cette région dévastée".

    A la date du 18 mars 1922, les versements prévus pour Esmes et Prunay ont déjà eu lieu (ce qui montre que l'affaire a vraisemblablement occupé plusieurs séances, comme je le supposais). Mais un problème se pose par contre pour Cumières que l'Etat a renoncé à reconstruire. Finalement, on décide de verser une partie du secours déjà voté à la commune voisine de Chattancourt, où se sont déplacés nombre d'habitants du village disparu, le reste étant affecté à la construction d'un monument commémoratif à Cumières pendant que la plus grosse partie est proposée à la ville de Reims pour l'aider à construire des logements sociaux afin de faciliter le retour de la population : "il est indispensable pour aider au relèvement de cette grande cité d'aménager au plus vite des habitations ouvrières". Je passe sur les rêves du maire Bec quant à une "maison ouvrière du Vaucluse" à Reims...

    Les délibérations du jour se poursuivent sur plusieurs pages où sont évoqués divers sujets touchant l'administration communale.

    Conclusion : contrairement à ce qu'affirme le Dauphiné, ce n'est pas le 18 mars 1822 qu' a été décidé (et versé) le soutien financier à Prunay; mais antérieurement. Et la suite de cette affaire n'est pas traitée sur la page photographiée, la dernière de la séance du jour.

  • Merci à vous : je n'ai pas d'abonnement au Dauphiné :-(

  • Le "Marrainage" des villes du Nord de la France par les villes du Sud non touchées par les destructions de 14-18 a débordé hors des frontières de l'hexagone :
    https://www.archivespasdecalais.fr/Decouvrir/Chroniques-de-la-Grande-Guerre/A-l-ecoute-des-temoins/A-l-ecoute-des-temoins/1916/Les-villes-marraines

    Cavaillon aussi a donné, voir pages 37 à 39 dans ce document :
    https://www.cavaillon.fr/assets/publications/archives/Catalogue%20Cavaillon%20dans%20la%20Grande%20Guerre2.pdf

    "L. Faber, un journaliste du Petit Marseillais songe alors, le 22 février 1915, à transposer le principe des marraines de guerre sur le plan communal" extrait de :
    "La Provence pour le Nord. Reconstruire les régions dévastées de 14"
    Conférence de Jean-Yves LE NAOUR, le 28 novembre 2019.
    http://salonpatrimoineetchemins.fr/upload/salon_blanzy_une_histoire_de_fidelite_le_naour.pdf

    Seule trace du marrainage d'Avignon que j'ai trouvée aux Archives municipales :
    https://archives.avignon.fr/4DCGI/Web_VoirLaNotice/37_06/DCM1921S9N36/ILUMP27097
    .

  • Tilia, j'arrive sur une page d'accès refusé avec ton second lien (Cavaillon).
    Difficile, effectivement, de trouver en ligne d'autres traces concernant spécifiquement Avignon.

  • Le problème vient du fait que haut effort fait un retour de ligne dans l'adresse,
    il suffit de sélectionner le lien entier et de l'ouvrir dans un nouvel onglet pour que ça fonctionne.

  • Oui ! Je n'avais pas vu... Retour supprimé.

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