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deux coups croisés de l'immense cravache d'un gigantesque archange... je vois que ça
Saignées pour des tuyaux d’eaux usées, peut-être...
Tuiles encastrées à l'époque il n'y avait pas de mammouth (les bandes bitumeuses)
Commentaire publié sur Facebook :
Patrick André : « Traces des engravures servant à sceller les noquets des solins de toitures ; ce qui donne les profils des bâtiments qui étaient adossés contre ce mur... »
Et j'apprends des mots...
Voir sur les anciennes représentations de cette partie du palais (photo, croquis ou peintures) si l'explication lumineuse de Patrick André figure sur l'une d'entre elles...
Il n'y a sur le blog, Tilia, aucune illustration qui montre des bâtiments collés à la tour de la Campane. Ce doit être assez ancien. Il nous faudrait un détective. ^_^
Engravures de solins, sans le moindre doute. Mais chéneau, certainement pas !
Et il y a très clairement plus d’un état dans toutes ces traces, qui portent témoignage des rives de toiture des différentes constructions qui se sont succédé en ce lieu. A minima deux… probablement plus. Il faudra profiter d’un passage dans la courette de la Métropole pour voir s’il subsiste des traces plus bas, puisqu’ apparemment les démolisseurs ne se sont pas donné la peine de boucher leurs trous !
Ceci étant, aucun des plans cadastraux du XIX° ne signale un quelconque bâtiment adossé au Nord de la tour de la Campane, il est probable que ces dispositions soient plus anciennes, voire bien plus. Et le dessin de Viollet le Duc que tu donnes, Michel, n’a aucune valeur archéologique, c’est simplement une de ces « restitutions » où l’architecte laissait libre cours à son imagination… féconde, comme chacun sait.
Commentaires
deux coups croisés de l'immense cravache d'un gigantesque archange... je vois que ça
Saignées pour des tuyaux d’eaux usées, peut-être...
Tuiles encastrées à l'époque il n'y avait pas de mammouth (les bandes bitumeuses)
Commentaire publié sur Facebook :
Patrick André : « Traces des engravures servant à sceller les noquets des solins de toitures ; ce qui donne les profils des bâtiments qui étaient adossés contre ce mur... »
Et j'apprends des mots...
Des explications supplémentaires de Patrick André par l'image :
http://avignon.midiblogs.com/images/23795109_953303584818373_3674215216649220484_n.jpg
Quel œil de lynx :-)
Voir sur les anciennes représentations de cette partie du palais (photo, croquis ou peintures) si l'explication lumineuse de Patrick André figure sur l'une d'entre elles...
Il n'y a sur le blog, Tilia, aucune illustration qui montre des bâtiments collés à la tour de la Campane. Ce doit être assez ancien. Il nous faudrait un détective. ^_^
Plus ancien que ça encore :
https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/7/78/Palais.des.papes.Avignon.png
Ou alors durant le XIXe, la période "caserne"...
Engravures de solins, sans le moindre doute. Mais chéneau, certainement pas !
Et il y a très clairement plus d’un état dans toutes ces traces, qui portent témoignage des rives de toiture des différentes constructions qui se sont succédé en ce lieu. A minima deux… probablement plus. Il faudra profiter d’un passage dans la courette de la Métropole pour voir s’il subsiste des traces plus bas, puisqu’ apparemment les démolisseurs ne se sont pas donné la peine de boucher leurs trous !
Ceci étant, aucun des plans cadastraux du XIX° ne signale un quelconque bâtiment adossé au Nord de la tour de la Campane, il est probable que ces dispositions soient plus anciennes, voire bien plus. Et le dessin de Viollet le Duc que tu donnes, Michel, n’a aucune valeur archéologique, c’est simplement une de ces « restitutions » où l’architecte laissait libre cours à son imagination… féconde, comme chacun sait.