1903 : l'affaire de la rue des Infirmières
1903 : the case of Infirmières street
Source https://lachezleswatts.com/fr/articles/5/84000-avignon/la-prison-sainte-anne-davignon-secrets-dhistoire
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1903 : l'affaire de la rue des Infirmières
1903 : the case of Infirmières street
Source https://lachezleswatts.com/fr/articles/5/84000-avignon/la-prison-sainte-anne-davignon-secrets-dhistoire
Commentaires
quelqu'un qui en sait plus ?
je nen net jamais entendu parler
En tous cas il sembla avoir sauvé sa tête...
http://laveuveguillotine.pagesperso-orange.fr/Condamnations1870-1981.html
Je n'ai trouvé ni Martin ni Infirmières en 1903 dans ton lien, Wildrid... :(
Ben oui, c'est la liste des condamnés à mort, et comme il n'y est pas il a sauvé sa tête ;-) j'ai mis le lien car je l'ai trouvé intéressant, il faudrait faire un tour à Marseille aux archives de La Provence je crois qu'ils ont des collections du petit Provençal, mais il y avait-il des éditions Vaucluse? j'ai aussi consulté il y a longtemps des journaux d'avant-guerre aux archives départementale, une piste pour les historiens qui voudraient s'y intéresser.
il n'y a plus qu'à inventer
Oui Wilfrid, il a sauvé sa tête, mais pas sa peau car le bagne à perpétuité, pour son crime, n'a guère aidé Henri à devenir vieux:
http://gmarchal.free.fr/Le%20Bagne%20de%20Guyane/BagnardsM.pdf
MARTIN François Joseph Eugène, condamné en 1903.
MARTIN Georges Émile, condamné en 1903.
MARTIN Henri, condamné en 1903.
MARTIN Hubert Hilarisse, condamné en 1903.
MARTIN Hubert, condamné en 1903.
MARTIN Saturnin Pierre, condamné en 1903.
Mais quel Martin ?
Rapidos car je repars: réponse en me relisant. Il avait assassiné l'épicier du coin...
Lou Ravi, ce n'était pas un épicier mais une femme: Aurélie Autrans qui tenait boutique à l'angle des Infirmières et de la rue Pouzaraque. Son assassin était Henri Martin, âgé de 29 ans, cordonnier qui habitant rue Puits des Allemands. Un vol de bijoux fut le mobile du crime. Cette affaire fit beaucoup de bruit, j'y ai pensé en lisant les commentaires sur FB à propos du massacre de La Goulue. On doit l'arrestation de Martin à la sagacité d'un inspecteur de police qui devina que les coups mortels avaient été donnés à l'aide d'un tranchet (outil de cordonnier). Martin sauva sa tête grâce à son avocat Louis Pansier et il fut condamné aux travaux forcés à perpétuité comme vous l'avez indiqué.
Merci Bob pour ces détails. Auriez-vous un document qui en fait état ?