Quarante ans après rue des Lices
Fourty years after Lices street
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Quarante ans après rue des Lices
Fourty years after Lices street
Commentaires
une grille en plus, mais des toits vidés
Une résidence bien rénovée, dont les bâtiments sont dans l'ensemble bien préservés.
L'ajout de quelques ouvertures ne gâte rien. Ça mérite un bon point !
Belle restauration mais faut pas trop sortir de la résidence car le quartier a très mal évolué. A éviter le soir ! Sur tout le bas des façades on voit de grandes traces noires, la pierre est abîmée. Je suppose que c'est à mettre au compte du passage juste en dessous, de la deuxième sorguette (la principale est en face côté St Joseph), celle qui est alimentée par le canal de l'Hôpital et partiellement par une petite jonction (avec la Sorgue) que l'on voit aux Cordeliers ?
On est ici tout près du pensionnat de M. Millet qui recevra quelques temps le jeune Frédéric Mistral. Nous évoquions dans un "Ounte sian" que tu nous soumettais la possibilité que ce que nous y voyions soit une cour d'école, un lieu d'accueil dont l'activité était abandonnée lors de la photo. La présence de'arbres, l'apparente répartition des pièces plaidait pour. Ainsi que ce boitier dont je parlais qui pourrait être une commande de sonnerie. Tout cela pour dire que j'ai acquis la conviction que cette photo (je ne sais plus sa date) serait bien celle de la pension Millet rue Pétramale...On devrait la trouver légendée dans quelque ouvrage ou archive sur Lou Mestre.
http://avignon.hautetfort.com/archive/2015/04/21/cent-an-apres-carriero-petramalo.html
Une plaque sur le mur de cette ancienne école rappelait que Frédéric Mistral y avait fait ses études. Je la croyais toujours là. Je viens de vérifier sur Street View, elle a disparu.
Lou, bingo !!! et bravo !!!
Revenant aux clichés aériens Chrétien de 1926, je retrouve autour de la cour de la pension Millet, dont les bâtiments étaient toujours debout à cette époque, toutes les caractéristiques du cliché mis en ligne le 8 janvier 2016 :
http://avignon.hautetfort.com/archive/2016/01/08/ounte-sian.html#comments
C'est à dire les différentes pentes de toitures d'orientations diverses, la pliure de la façade (qui est celle du Midi), les arbres derrière cette façade (qui sont ceux de l'ancien cloître de Ste Claire).
Le pan de mur qui émerge au fond côté gauche existe toujours, de l'autre côté de la rue Pétramale ; on y voit encore la lucarne carrée et surtout, en face avant, le curieux retour formant comme un pilier... Ultime élément signalétique, les cheminées, trahies par l'ombre portée sur les toitures dans le cliché Marcel Chrétien, sont rigoureusement aux mêmes places que le cliché.
Bravo Lou, superbe prémonition... ou identification !
Je crois que je l'ai déjà dit à d'autres occasions : vous êtes impressionnants !
Lou, Alain, je vous trouve impressionnants aussi !
Il ne me reste plus qu'à aller comparer les lieux... si c'est possible !
Pour ce qui est de la plaque, elle n'a pas disparu. Elle est dans le jardin.