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Thiers 1949

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1er rang
1
2 Merindol
3
4 De luca
5
6
7
 
 
 
 
2e rang
1
2
3
4
5
6 Palombo
7 Dumont
8
9 Villaret
10 Jeannot Ricci
 
3e rang
1
2 Bonnardel
3
4 Sabio
5
6
7 Dibon
8
9
10
11
4e rang
1 M. Ruffier
2 Aubert
3
4
5
6
7
8
9 Boudin
 
 

Source photo : De Luca.

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Commentaires

  • 36 élèves (dont deux jumeaux à gauche ?) et un instit, M. Ruffier, que j’ai dû connaître bien plus tard. La Rue Thiers étaient probablement la plus grosse école de la ville. Ouverte en 1889, elle regroupait, à ce que j’ai lu dans divers ouvrages, les élèves d’écoles qui venaient d’être fermées:celle de la rue du Bourg Neuf et celle de la place Pie notamment. Cela donnait dans les années 50-60 le chiffre impressionnant de 16 classes de garçons, 12 de filles et 4 de maternelle. Plus de 1000 élèves. Ce qui amena à la création de classes sur les balcons (tel celui que vous avez emprunté pour aller retirer votre carte du Off). Je n’ai pas connu ces enfants à l’âge de la photo mais bien des visages nous deviendront plus tard familiers. La rue Thiers fut une des dernières écoles à être dotée de poêles à bois. Tous les matins Mme Segond ( ?) la concierge les garnissaient et les allumaient. L’instit (et les profs puisque l’on ajouta un collège au primaire) entretenait le foyer au besoin en se faisant aider, et c’était un honneur, pour celui-ci, par un élève. Autorité des maîtres, respect envers ceux-ci, culottes courtes, bancs serrés, WC à la turque presque ouverts au vent, pas d’eau chaude aux lavabos, plats rustiques et simples à la cantine. Et le petit-suisse que l’on mangeait sur le dos de l’unique assiette retournée…Ces « pauvres enfants » ont tout de même réussi. Et souvent mieux que ceux des générations qui suivirent…

  • au cours des années 40 on y ajouta un cours complémentaire, qui était une alternative à la classe de 6éme.

  • les écoles de Saint Ruf étaient dotées elles aussi de poêles à bois entourés de grilles allumés par le concierge 1 heure avant la rentrée du matin, mais entretenus par nos soins.

    Le collège de la place du palais bénéficiait aussi de ce mode de chauffage, et dans les classes donnant sur le Rhône, les jours de mistral c'étaient de véritables chambres froides, surtout que de nombreux carreaux manquaient aux fenêtres.

    Les élèves d'aujourd'hui ne connaissent pas leur bonheur!

  • En effet, ce fut, à la commanderie, la première école laïque de garçons. Ouverte en 1869 elle ferma ses portes bien évidemment avec la démolition du bâtiment.

  • j'ai trouvé une autre date pour l'école de la place PIE dans le lien:

    "Avec l’école de la place Pie, ancienne caserne Saint-Jean, cela fait en 1840 plus de 1 200 jeunes élèves, les petites classes de chaque école ayant 200 élèves"

  • Oui, Guima. Je me suis mal exprimé: 1869 est l'année de la création à la commanderie de la première école laïque de garçons. Elle succédait, dans les lieux, à une école plus ancienne (1840 donc) confessionnelle (Frères de la doctrine chrétienne).

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