Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

23 juliet 1988

23 juillet 1988
July, 23 1988

Lien permanent 5 commentaires Pin it!

Commentaires

  • à cette époque 400 spectacle du off semblait un exploit!
    curieux de savoir ce qu'est devenu la charmante petite gamine

  • Effectivement, plus de 3 fois plus aujourd’hui…

    Cela serait assez plaisant de voir le Off se délocaliser ailleurs, histoire de faire la nique à tous les profiteurs. Quasiment rien à moins de 4-5000 € sauf théâtre minable et horaires impossibles. Compter 10 -15 000 € pour une jauge voisine de 100. Souvent plateau nu, technicien(s) en sus, une seule loge et moins de 15 mn pour installer et désinstaller. Pour une dizaine de personnes (comédiens, régie-lumière, diffuseur…) c’est entre 50 000 € et 90 000 € à sortir (voyage, location, hébergement, bouffe, tracts et affiches, AFC…). Les One-man-show prolifèrent donc…Sans compter les à-côtés comme l’achat «d’une critique» à La Terrasse, les invits et accrédits à la pelle…Seules les compagnies hébergées (comme par exemple au Grenier à Sel où c’est la Région des Pays de Loire qui invite) arrivent à ne pas trop laisser de plumes. 4500 € pour 40-45 places inconfortables au Pittchoun (qui a toutefois fait des efforts notables de programmation). Des deux pièces loués 2500 € le mois de juillet avec du bruit jusqu’à point d’heure dans la rue…(Cubanito). Des buvettes de théâtre où le café servi au comptoir est à 2 € (Luna), des assiettes bios à 8 € avec 3 rondelles de tomates, quelques miettes de thon, du tofu, force salade et trois épices de perlimpinpin (L’Entrepôt), des bi-salles qui casent 25 spectacles dans la journée (Paradise), des salles qui font venir des pipoles bien installés plutôt que des jeunes pousses, etc.

    Où est le souffle des premiers bâtisseurs du Off ?

  • pas sure qu'ils n'auraient pas d'aussi mauvaises conditions.. et il faudrait arriver à partir en bloc, sans certitude de voir les acheteurs de spectacle les suivre

  • J’ai mis de côté les co-pro ou co-ré avec quelques théâtres avignonnais bien connus. Mais pour le reste on est bien, hélas en général, dans ces prix et conditions-là. Car où trouver à moins de 4000-5000 € pour une petite ou moyenne jauge ? Si, par exemple aux Barriques, 2500 € mais à 10h00 du mat’ et avec le «confort» que l’on connaît. Pourtant les compagnies n’ont pas le choix : programmateurs, directeurs de salles, élus à la culture, tourneurs viennent faire leur marché à Avignon. Et elles n’ont qu’une vingtaine de jours pour tenter de décrocher quelques futures programmations. Alors on compte beaucoup sur les sponsors, les subventions et aides grappillées ici et là. Mais alors, notamment pour les aides des collectivités, commence parfois le spécial copinage. Isn’t it ?

Écrire un commentaire

Optionnel