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je n'avais pas vu cette inscription stupide !
en tout cas les murs et portes crient encore
C'est bien dans le style Lambert, cette inscription tapageuse. Un silence qui hurle en majuscules !
En ouvrant le blog, j'ai cru un instant que les arbrisseaux étaient peints sur le mur et ça m'a plu.
Respect des lieux, de la souffrance humaine.
Il y a une seconde inscription après la "stupide", mais on ne la lit à peu près correctement qu'en cliquant sur la photo pour zoomer.
respect de la souffrance humaine oui, mais des deux cotés faut pas ignorer la raison de l' incarcération de certains.
Je me souviens de cette inscription - était rue Violette sur le mur de la collection Lambert - transférée ici pour la nouvelle expo. Visuellement, ça en jette. Et symboliquement on peut y mettre tout ce qu'on veut, ce qui est bien la marque de beaucoup de pièces d' "art" d'aujourd'hui.
C'est bien d'avoir photographié la photographe - un clin d'oeil qui en rajoute une couche.
(à propos de couche, je remarque qu'une partie du mur a été passée au crépi gris pour pouvoir accueillir l'inscription, recouvrant les moellons du mur d'origine.)
Nathalie, dans Gogol strit viou, on voit que le mur était déjà crépi comme celà en 2008.
Ce genre de maçonnerie grossière est destinée à recevoir un enduit, contrairement à la pierre de taille sur laquelle l'eau ruisselle. Sans parler des aspérités qu'offre ce mur à d'éventuels alpinistes...
Sur de très vieux clichés (notamment de la façade des Pénitents Noirs, vers laquelle le mur se prolonge), on voit très bien cet enduit, qui a dû finir par tomber de vétusté !
Même endroit, photo et commentaires différents... Je suis revenue aujourd'hui à cause des lauriers en fleurs... L'inscription m'avait heurtée dès la première visite.
Commentaires
je n'avais pas vu cette inscription stupide !
en tout cas les murs et portes crient encore
C'est bien dans le style Lambert, cette inscription tapageuse. Un silence qui hurle en majuscules !
En ouvrant le blog, j'ai cru un instant que les arbrisseaux étaient peints sur le mur et ça m'a plu.
Respect des lieux, de la souffrance humaine.
Il y a une seconde inscription après la "stupide", mais on ne la lit à peu près correctement qu'en cliquant sur la photo pour zoomer.
respect de la souffrance humaine oui, mais des deux cotés faut pas ignorer la raison de l' incarcération de certains.
Je me souviens de cette inscription - était rue Violette sur le mur de la collection Lambert - transférée ici pour la nouvelle expo. Visuellement, ça en jette. Et symboliquement on peut y mettre tout ce qu'on veut, ce qui est bien la marque de beaucoup de pièces d' "art" d'aujourd'hui.
C'est bien d'avoir photographié la photographe - un clin d'oeil qui en rajoute une couche.
(à propos de couche, je remarque qu'une partie du mur a été passée au crépi gris pour pouvoir accueillir l'inscription, recouvrant les moellons du mur d'origine.)
Nathalie, dans Gogol strit viou, on voit que le mur était déjà crépi comme celà en 2008.
Ce genre de maçonnerie grossière est destinée à recevoir un enduit, contrairement à la pierre de taille sur laquelle l'eau ruisselle. Sans parler des aspérités qu'offre ce mur à d'éventuels alpinistes...
Sur de très vieux clichés (notamment de la façade des Pénitents Noirs, vers laquelle le mur se prolonge), on voit très bien cet enduit, qui a dû finir par tomber de vétusté !
Même endroit, photo et commentaires différents... Je suis revenue aujourd'hui à cause des lauriers en fleurs... L'inscription m'avait heurtée dès la première visite.