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Cènt-e-quinge an après carriero Carretiero

Cent-quinze ans après rue Carreterie
Hundred and fifteen years after Carreterie street

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Photo X, 1898. AMA 8Fi103.

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Commentaires

  • dans la maison intermédiaire, porte et fenêtre ont curieusement été inversées - et il semble qu'il y ait eu une démolition un peu plus loin, non ?

  • Rue de la tristesse
    Elle a perdu toute sa vie qui ne recommence que rue Carnot mais que par des bars et restaurations très rapides.
    Pour moi la nouvelle place des Carmes ne lui a rien apporte.
    Maintenant tous nouveaux projets sont soumis à trop d'associations de la ville, ne voudrait il pas mieux discuter avec l'habitant et l'usager de ce quartier et de cette rue et faire la guerre aux tags et à la saleté ainsi qu'au stationnement .

  • J'ai pendant longtemps fréquenté régulièrement l'étage de l'immeuble au balcon. Tout gamin mon père m'emmenait aux lotos, en face, au Bar Le Malassis. J'ai pu constater de cet immeuble, la lente mais inexorable mort de cette rue, et en particulier de ce coin de la Carreterie. La saleté de l'intra-muros atteint ici, et surtout au vers le Matheron, des records ! Cela n'a guère l'air de gêner nos élus, ni leurs prétendants, ni certains "nouveaux habitants"...
    Déjà un commerce fermé sur la photo ancienne. Les ouvriers sont peut-être ceux de l'imprimerie du Courrier du Midi qui était dans le grand immeuble au balcon. J'ai oublié le nom du studio de danse, à côté...
    On a laissé s'installer (mais pouvait-on s'y opposer ?) toutes sortes de commerces à la c...Avec comme le dit MB tous ces Kébabs, Fritos, et Malboufos. Sans compter avec les Défrisos, Fripos et sans compter aussi avec les Zombies qui hantent le quartier et les Zallumés qui traficotent sans trop avoir à se cacher. Rue de la Croix c'était même, à une époque, à boutique ouverte...

  • Oui étrange cette inversion entre fenêtre et porte d'entrée, c'est toute la maison qui semble avoir été refaite. Les maisons qui suivent celle au balcon, qui n'a, elle, pas changé, et qui semblaient anciennes, ont disparu au "profit" d'autres. Que plusieurs friperies se soient installées dans la rue est bien un signe de la paupérisation du quartier.

  • Brigetoun, à l'endroit de l'arbre, il y avait deux ruelles et un pâté de maisons. Le pâté de maison fut détruit dans les années 70 (ou 80 ?). Une ruelle disparut, une autre, la rue Cabassole, quadrupla.

    Michel, je crois que tout le monde est d'accord pour qu'il faille repenser cette rue.

    Lou, à la CFDT ? Le studio de danse : Véra Centrowska. On devine son nom sur la photo.

    Jeandler, c'est curieux, ce platane me semble beaucoup plus vieux que la destruction de l'ilot...

    Fardoise, on n'a pas vraiment inversé la façade. On en a carrément construit une autre plutôt.

  • J'ai visite ce printemps un immeuble juste sous le clocher à côte ex-Dupont c'est affolant dans quoi le gens vivent si je suis grossier on empile.
    Le départ de la caserne des pompiers a été fatal à la rue.
    L’arrivée des étudiants aurait du apporter une dynamique mais rien,je ne sais pas le Casino St Lazare végéte aussi.
    La FAC est elle faite que d'externes et de demi pensionnaires,les loyers sont ils trop chers?
    Les parkings extra muros ,les rues et avenues proches sont satures de voitures mais pas d'acheteurs.....

  • Ceux qui "auraient" pu acheter quelque chose ont de longue date pris leur voiture pour aller faire leurs courses dans l'une des six ou sept grandes surfaces de la périphérie...

    L'une des derniières pénétrantes de la ville à ne pas être encombrée et déparée de supermarchés était la route de Morières via Réalpanier, elle vient de succomber et maintenant de multiples enseignes - dont l'archétype de la mal-bouffe, Mc Do pour ne pas le nommer - remplacent Agricola !

  • Oui, Michel, la CFDT. Du temps où les syndicats faisaient du syndicalisme. Ou du moins faisaient semblant...
    Michel Bourgue: sous le clocher, dans la cour ? Car là, au contraire il y a des meublés (loués à prix d'or l'été) très chicos. Je ne sais si Martial a pu vendre. Son (tristounet) commerce d'antiquités va sans doute faire place à quelque "Lounge", comme à côté...
    Réalpanier: belle histoire de gros sous et une fois de plus le groupe Auchan qui s'impose. M'étonnerait pas que dans quelques années un discounteur s'installe à la place de Découverte des Vins de France route de Morières...
    Quant à la fac elle n'a rien apporté, au contraire. Bon courage à Pauline et ses copains (Association La Triplette de Quartier) qui entend développer les échanges entre étudiants et habitants, commerçants et tisser du "lien social". C'est tendance. je me demande bien quels liens ils vont nouer avec les Zépiciers de nuit et les Kébabeurs du quartier...Peut-être quelques échanges de taffes...Oui, Véra Centowska, j'avais oublié. Il y avait trois ou quatre écoles de danse dans la ville. La photo ancienne est datée de 1898, juste avant la création du Tram: pas encore de rails.

  • mais tous ces commerces fermés sont lugubres
    pour le lien social, il y a juste le café sur la petite place au débouché de la rue des Infirmières, si ce sont toujours les mêmes propriétaires

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