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Promener son 4 pattes laisse le temps de lever le nez !!
L'Isle, le mot, a disparu, le linteau en bien mauvaise passe.
Ce coin de rue: l'envers du décor. Mocheté de cette construction "entre deux". Tags et fils dans tous les coins. Et la couleur vert pré des poubelles, du meilleur effet...
Le 24: un bandeau de pierre récupéré ? A la Balance ?
La gravure en effet, Jeandler, est pareille à celles des "isles".
Merci Lou pour cette idée. Mais il n'y a pas de 24 à la Balance. Ce pourrait être l'isle 24, dont une partie a peut-être été refaite lors de la création de la rue Guillaume-Puy. Et pourquoi pas 124 ?
Mais c'est peut-être autre chose...
Par ailleurs, cette rue aurait bien besoin que l'on s'occupe sérieusement d'elle.
Pensez : elle relie le palais des papes à la maison Jean Vilar !
Quelle belle image pour les juillettistes festivaliers !
Je n'ai pas évoqué l'isle 24 (qui est, avec le 25, entre la Carreterie et la place Guillaume Puy) parce que ce n° me parait gravé de façon atypique par rapport aux autres emplacements que tu nous a montrés (un bandeau de pierre). Avec son linteau (?) de bois a moitié pourri et ce bandeau disjoint, cette construction parait avoir été bricolée avec des matériaux récupérés d'une démolition proche.
Cette rue est fréquentée par des touristes attirés par l'Hôtel de Mons et qui gagnent ensuite le Palais. Sans compter avec les clients de Christian (qui à l'air de ne passer que par la Peyrollerie et la Jean Vilar ou alors il faudra qu'il surveille, aussi, sa vue !). Comme tu le soulignes c'est d'un effet désastreux. C'est pourquoi je parlais de l'envers du décor. Pour les poubelles-conteneurs c'est compliqué. Mais on aurait pu imaginer des couleurs moins criardes, des emplacements dissimulés par quelques écrans...Pour le reste: fils, tags, laisser-aller général..C'est Avignon, aussi, et la mairie, je le reconnais ne peux pas tout faire.
Tu devrais nous faire quelques photos des étages de l'immeuble abritant le Bar Américain...
Des amis qui habitaient presque en face du bar américain surnommaient cet immeuble "la verrue"... :D
Je vais etre obliger d'y passer Jeudi car je ne reconnais pas....
Tu devrais me faire un bon pour des chaussures....car il faut te suivre...!
Michel marche pieds nus et prend son temps.
Il me semble évident vu la situation de l'inscription pour un réemploi. Généralement, les numéros sont au coin d'une rue.
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Promener son 4 pattes laisse le temps de lever le nez !!
L'Isle, le mot, a disparu, le linteau en bien mauvaise passe.
Ce coin de rue: l'envers du décor. Mocheté de cette construction "entre deux". Tags et fils dans tous les coins. Et la couleur vert pré des poubelles, du meilleur effet...
Le 24: un bandeau de pierre récupéré ? A la Balance ?
La gravure en effet, Jeandler, est pareille à celles des "isles".
Merci Lou pour cette idée. Mais il n'y a pas de 24 à la Balance. Ce pourrait être l'isle 24, dont une partie a peut-être été refaite lors de la création de la rue Guillaume-Puy. Et pourquoi pas 124 ?
Mais c'est peut-être autre chose...
Par ailleurs, cette rue aurait bien besoin que l'on s'occupe sérieusement d'elle.
Pensez : elle relie le palais des papes à la maison Jean Vilar !
Quelle belle image pour les juillettistes festivaliers !
Je n'ai pas évoqué l'isle 24 (qui est, avec le 25, entre la Carreterie et la place Guillaume Puy) parce que ce n° me parait gravé de façon atypique par rapport aux autres emplacements que tu nous a montrés (un bandeau de pierre). Avec son linteau (?) de bois a moitié pourri et ce bandeau disjoint, cette construction parait avoir été bricolée avec des matériaux récupérés d'une démolition proche.
Cette rue est fréquentée par des touristes attirés par l'Hôtel de Mons et qui gagnent ensuite le Palais. Sans compter avec les clients de Christian (qui à l'air de ne passer que par la Peyrollerie et la Jean Vilar ou alors il faudra qu'il surveille, aussi, sa vue !). Comme tu le soulignes c'est d'un effet désastreux. C'est pourquoi je parlais de l'envers du décor. Pour les poubelles-conteneurs c'est compliqué. Mais on aurait pu imaginer des couleurs moins criardes, des emplacements dissimulés par quelques écrans...Pour le reste: fils, tags, laisser-aller général..C'est Avignon, aussi, et la mairie, je le reconnais ne peux pas tout faire.
Tu devrais nous faire quelques photos des étages de l'immeuble abritant le Bar Américain...
Des amis qui habitaient presque en face du bar américain surnommaient cet immeuble "la verrue"... :D
Je vais etre obliger d'y passer Jeudi car je ne reconnais pas....
Tu devrais me faire un bon pour des chaussures....car il faut te suivre...!
Michel marche pieds nus et prend son temps.
Il me semble évident vu la situation de l'inscription pour un réemploi. Généralement, les numéros sont au coin d'une rue.