Rue Crémade
Cremade street
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Commentaires
ah nos beaux câbles et canalisations ornementals
et même ornementaux - vais me coucher moi il est temps semble-t-il
la rue à coté s'appelle la rue sureau (l'arbre des pendu) et elle s'appelait la rue du diable avant cela car elle abritait une statue le représentant bonne nuit
On les pendait à des sureaux ? C'était une mesure préventive non ? Juste pour les décourager de recommencer !
Et l'intention de sauvegarder la pierre gravée est à moitié louable (il en manque la moitié)
On enterre bien les fils électriques et téléphoniques qui traversent le ciel des rues... mais c'est pour les "coller" contre les murs.
Est-ce bien plus esthétique ?
Bon si c'est pour râler je reste de mon côté du Rhône ;-)
Cette maison (auberge ?) brûlée qui a donné son nom a la rue était peut-être là où il y a maintenant des chambres d'hôtes à 145 € (!) la nuit.
Pauvre quartier qui a perdu en grande partie son âme mais où demeurent encore quelques familles d'italiens, heureusement...Au débouché sur la rue des Infirmières il y a avait dans cette dernière, à l'étage, un bijoutier (Weber ?) avec un atelier sombre où il faisait fondre de l'or. De quoi rappeler cette histoire d'abbé alchimiste qui, un peu plus bas dans la rue des Infirmières, faisait des expériences de transmutation des métaux...
Je pense immédiatement, Lou, au livre "Les paillettes d'or" de l'abbé Sylvain.
Mais il n'y a peut-être aucun rapport...
Le sureau, l'arbre des pendus. Une chance pour eux : les branches sont creuses et fragiles.
Quant aux goujats, nous n'en dirons rien sinon qu'ils aillent se faire pendre ailleurs.
La rue des infirmières était très vivante et gaie...
Aujourd'hui peu de familles italiennes, plus de commerces par contre il y a de belles bâtisses dans certaines rues avec escalier à vis ,cour etc....(et à des prix abordables)
Nous sommes dans les jardins de l'ancien couvent (Lycée Aubanel )
La charcuterie Filliere a pris naissance dans cette rue....
L'histoire d'abbé alchimique de Lou Ravi me fait pense que j'ai dans mes marque-pages une cheminée alchimique "donnée au musée Calvet d¹Avignon en 1844 par le Dr Clément, propriétaire à Avignon d'un ensemble de maisons situées place Saint-Pierre" :
http://librairiedumerveilleux.org/cadrechem.html
Y aurait-il une relation ?
Beau lien, Tilia. Il m'a donné envie de retourner au musée lapidaire... :D
le sureau ou arbre de judas c'est au bout d'un sureau noir que ce serait pendu judas....... pour les familles italiennes ils restent quelques grand parents les enfants on pour la plupart déserté les lieux
les italiens ont été remplacé en grande partie par des bobos,j'ai vecu dans ce quartier de 1980 à 1990 c'est toute mon enfance
Entre les bobos et les blanchisseurs de black ce quartier se meurt…
L’abbé alchimiste: ce n’était pas Sylvain. Je n’en sais guère plus sauf qu’il se brûla gravement lors d’une expérience et que, malgré un plongeon dans l’eau sale du ruisseau qui coulait au milieu du quartier des anciennes infirmeries, il en mourut. Les amis de A Bec et à Griffes doivent en savoir plus.
Je reviens sur les diligences d’eau et les bâtiments à côté du Châtelet. Voir ce qu’a écrit notamment Bruno Eyrier à ce sujet, les gravures et dessins d’époque (certains dans l’album de Gagnière et Granier). J’ai retrouvé dans ce blog un commentaire d’Alain Breton qui nous signale l’existence d’un bureau des coches d’eau.
Oui, Lou, dans les commentaires de cette publication :
http://avignon.midiblogs.com/archive/2012/10/17/setanto-an-apres-au-nord-dou-pichot-palais.html