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Quaranto-dous an après carriero Carnot

Quarante-deux ans après rue Carnot
Fourty-two years after Carnot street

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Commentaires

  • Etonnamment fidèle à elle-meme, cette portion de la rue Carnot, en tout cas d'après photos... elle semblait avoir déjà à l'époque le look un peu déglingué qu'elle a aujourd'hui.

  • et P.S. - Tu as raison Michel, il me devient de plus en plus difficile d'assurer Avignon-in-Photos !!!



    Je pense que la logique voudra en effet qu'un B.I.M. vienne prendre la suite :-)

  • 1970, probablement photographiés entre midi et deux car les rideaux sont baissés :
    à gauche Meissonier (Ducretet) et son fort laid bardage de tôle, Legru (Bijoutier-Horloger) et son enseigne Eska (la marque de ma montre de communion mais la mienne a été achetée chez Saïn, plus bas), Kidur (bottier-cordonnier), le Cetelem. Au fond la droguerie Nadal. A droite, Banino (Philips-Grammont) fait angle. Derrière Montconfort (Laden) et plus loin le curieux «Aux 200 000 bas» (enseigne verticale derrière Laden) qui voulait faire mieux que «Aux 100 000 chemises» !

  • Comme aujourdhui les etages ne sont pas brillants.(côte gauche)
    Je ne sais pas si la Rue Petite Sonnerie ??qui fait l'arriere de tous ces batiments n'est pas mieux agencee (etat)
    La maison a l'angle est en travaux ? (Carnot /St Catherine)

  • à Lou Ravi : c'est tout à fait normal qu'il y ait deux fois plus de bas que de chemises... en principe les toutes les femmes ont deux jambes et les hommes un seul torse ;-)))

  • Cette portion de la Carnot (ancienne Saunerie) n'est pas jojo même s'il y aurait à dire sur les immeubles côté droit jusqu'à Banino (notamment l'immeuble Doutavès) et bien sûr la maison d'angle au n° 1, qui part en quenouille. Cela s'arrange après Nadal. Une dame avignonnaise me parlait récemment de la forte présence dans cette rue des agents du SOL (Service d'Ordre Légionnaire, bien français) et de la Gestapo venant rafler les juifs. Je ne sais si c'est dans cette partie qu'étaient les Asséo. Dans ses souvenirs de déportée Estréa Asséo nous dit que leur maison avait une sortie rue Carnot. Avait-elle donc une entrée rue petite Saunerie ? Ou n'est-ce pas dans ce coin ? Quelqu'un le sait-il ?

  • Si la rue reste telle qu'en elle-même, que d'enseignes et de marques disparues !
    En quarante ans, un autre monde, une autre planète sans pour autant que la rue soit plus souriante.

  • Oui, assez triste rue malgré de sympathiques et variés commerçants.
    Pas assez de trottoir, pas assez de terrasse pour le Double V.

    Il est prévu que l'immeuble au n°1 (à gauche, à l'angle de la rue Armand-de-Pontmartin, Michel, et non de la rue Ste-Catherine !) soit rénové, mais je n'en connais pas la date.

  • Pour Lou
    Me Asseo dans son livre parle de la Pignotte et d'un appartement que je situerai vers "sport et montagne "( chez Maurice larive)si je vois sa fille (Me Eliane Pons) je lui pausse la question

  • Je suis passe ce jour Rue Carnot La façade sur" Recordon" est signee et a une histoire
    Et pour la petite histoire notre "Venus aux hirondelles "a reside Place Carnot tres peu de temps car elle n'etait pas du gout du Cure de St Pierre....Des jeunes laïques l 'avaient même legerement vêtue .....( crise encore plus grande du clerger) aussi mutation directe au rocher
    A l'angle sous le balcon aux 1000 fleurs il y avait les rideaux Berard
    Je sors d'une visite avec Marc M et j'ai mal aux pieds...!

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