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Cènt an après 22 carriero Sant-Estève

Cent ans après 22 rue St-Étienne
A hundred years after St. Etienne st. 22

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Lien permanent 7 commentaires Pin it!

Commentaires

  • Il y a cent ans, tout cette façade renaissance semble avoir été gommée...
    Un siècle plus tard elle a non seulement retrouvé des petits carreaux aux fenêtres et un anse de panier (où était-il caché celui-là ?) mais surtout, le décor sculpté à hauteur du premier étage (à côté de la lanterne) a miraculeusement refait surface !
    Que représente-t-il exactement ? mériterait-il un petit coup de zoom ?...

  • MILK HOUSE

    Désolé, mais je n’aime pas cette entrée en fausse anse de panier de la Maison des Forli (trop «ronde», les vraies, en arcades, sont à l’intérieur). Elle rompt l’harmonie classique de la façade. A droite pas de sculpture mais ce qui reste d’une niche qui était surmontée d’un toit triangulaire protecteur. Pour tout ce pâté de maisons lire ce qu’a écrit Joseph Girard dans Evocation du Vieil Avignon. Il y vilipende la mauvaise restauration réalisée en 1904.

    Il y avait là une laiterie qui existait encore avant la guerre de 14. Dans les années 20-30 arrivée des italiens qui s’installent ici avec vaches et enfants. Les Cibrario furent probablement parmi les derniers de l’intra-muros. On les retrouvera plus tard (familles Cibrario et Cargnino) dans les prés situés entre Réalpanier et Morières, près qui sont toujours là mais qui sont menacés par l’urbanisation galopante. Il y avait en 1900 près de 40 laiteries et «Dépôts de vacherie» à Avignon. Dans ce quartier ils étaient rues Grand Fusterie, St Agricol et des Grottes et ici rue St Etienne où bientôt le lait fera place à l’Antiquité. En effet c’est là que s’installera Georges Noguès, antiquaire, qui a laissé son nom dans l’histoire du Festival d’Avignon. C’est lui qui, dans les toutes premières années du Festival prêtait aimablement mobiliers et éléments de décors où évoluaient les artistes. Vilar l’a bien connu. Exit veaux, vaches, cochons, couvées. Avignon s’était modernisée

  • Les fenêtres à meneaux remises au temps du passé.
    Un peut de rouge sur les volets et c'est tout de suite plus gai.

  • Pour résumer, c'est du vrai-faux. A peine un décor de théâtre.
    On la dirait romane cette anse de panier !

  • Une trace assez émouvante ce reste de niche, merci pour le lien (et pardon pour l'anse masculinisée, mais où avais-je la tête !)

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