Cent ans après rue Racine
A hundred years after Racine Street
| Louis-Agricol Montagné (1879-1960) Chevet de l'église St-Agricol aquarelle. |
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Cent ans après rue Racine
A hundred years after Racine Street
| Louis-Agricol Montagné (1879-1960) Chevet de l'église St-Agricol aquarelle. |
Commentaires
maisons rasées, et sur l'aquarelle, maisons rehausses (très joli le dessin aquarellé)
Très intéressant dessin en effet. Les maisons supprimées avaient au moins le mérite de ne pas laisser ce mur à-pic.
Une préférence pour avant peut-être. Je suis un peu de l'avis de Fardoise.
Les démolitions n'ont pas apporté plus de splendeur à ce chevet, qui de toute manière n'en a guère vu la forme cubique des chapelles
http://avignon.midiblogs.com/archive/2008/04/19/cent-ans-apres-rue-racine.html
et je partage l'avis de Brigetoun : pas question de déshabiller ainsi St Pierre, ni St Didier !
Bien intéressant tout ça. On a gagné en netteté ce qu'on a perdu en charme.
Je partage l'avis de Tilia - surtout ne pas déshabiller de la même façon les églises St Pierre ou St Didier !
N'est-ce pas plutôt la rue qui aurait été rehaussée ?
Tu as raison, Tilia, j'avais un petit peu exagéré en utilisant le mot "splendeur" !!!
Dans une expression connue, on déshabille St-Pierre pour habiller St-Paul...
En voici une variante inattendue !
La rue n'a pas, Jeandler, selon toute vraisemblance, été rehaussée.
Je ne suis pas passéiste ni nostalgique à l'excès, mais dans ce cas-là, et vu l'ambiance générale du lieu, je préférais aussi avant !!!
ben moi j'aime bien ce que ça a permis de dégager et rêver à plus ancien encore
C'est bien sûr très intéressant de mettre à jour des vestiges romains.
(Patrick, si tu nous lis...)
Mais il aurait fallu faire de cet endroit un lieu vivant.
Et pas ce désert glauque.
Malgré que ce lieu manque de soleil et souffre d'humidité...