Cinquante ans après rue Carreterie
Fifty years after Carreterie street
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Cinquante ans après rue Carreterie
Fifty years after Carreterie street
Commentaires
Perspective inchangée mais heureusement éclairice de tous ces fils.
Ah, les fils du téléphone et la demoiselle du téléphone: ne coupez pas, mademoiselle, s'il-vous-plaît !
Et bien, si, on a tout coupé !
oui les ils en moins, au moins ceux-là - mais je n'arrive pas à voir sur la photo ancienne si autant de boutiques fermées (il est vrai qu'à cette hauteur elles sont encore assez rares)
La nature a horreur du vide: un arbre improbable a remplacé une maison.
Pile poil la même heure! En tous les cas, exactement le même ensoleillement!!! Bravo, Michel pour la performance!
N'i a gaire de veituro...
Mutation des magasins et pas en bien: fripes, petite bouffe, jeux vidéos, boutiques à trucs moches qui durent 3 mois (les boutiques...). Bouffée d'air: le vendeur de modèles réduits d'avions et ses cours d'initiation pour les enfants. Souvenir du bar Le Malassis (à droite, avant la pharmacie) et ses lotos mémorables. A gauche un balcon (le deuxième) pour les camarades !
L'arbre et la rue Cabassole. Il a poussé je suppose car la rue a toujours existé, non ? Dans l'angle, le bar-journaux (panneau jaune) après cet arbre: l'étage, où logeait un militant gaulliste, avait été soufflé par un attentat de l'OAS en 1961 ou 1962.
Merci Chri ! Malgré que je ne me sois pas mis exactement au bon endroit...
Démonstration, Lou, que la voiture a ici une responsabilité non négligeable sur l'achalandage des boutiques. Les commerçants veulent du stationnement de proximité, mais ce stationnement de proximité, justement, rend l'abord de la rue difficile au chaland.
Et d'autant plus que les emplacements de stationnement sont pris la plupart du temps par des voitures ventouses.
À cause des voitures, la rue Carreterie n'est plus une rue à vivre ; seulement une rue à passer (à pieds comme en voiture – vélo, ça craint...).
Ça me fait penser que la disparition des stationnements le long des rues permettrait de remettre beaucoup de rues en double sens et de faire disparaître... des centaines de panneaux de sens interdit !
Il faudrait sans doute une vraie réflexion sur la présence ou pas des voitures en intra muros... Ces villes circonscrites dans les remparts pourraient/devraient être des laboratoires... Comment mieux y cohabiter ou pas.