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plus esthétique ? plus intime et on a gagné la place d'une cabine téléphonique (une relique ?)
Question allo pipi, plus rien de tout ça à présent.
Place nette et bien ordonnée, plus de linge qui pendouille sous la fenêtre.
La place est bien plus Belle aujourd'hui sans ces édicules qu'ils soient Decaux ou tout béton. J'avais oublié ces dernières, horribles. Ici elle succédait à celle métallique que Pourquery avait fait placer exprès juste derrière la Croix pour emmerder l'Eglise.
Piss Christ, déjà !
Mince, il va finir par commencer à devenir sympa ce Pourquery...
En fait Pourquery n'a pas mis à genoux l'Eglise, il lui a au contraire donné de beaux arguments pour le combattre. Lui le député qui se présentait volontiers comme l'ami des faibles et qui fut, au début triomphalement élu, se mit à dos tout le petit peuple des Carmes, des mariniers, des ouvriers des premières usines des quartiers sud et est de la ville (les italiens n'étaient pas arrivés encore en masse rue des Infirmières). Mais Pourquery à qui Avignon doit quelques beaux saccages de monuments, n'était-il pas autre chose qu'un néo-communard de salon, plus habitué des sphères intellectuelles de la gauche radicale de l'époque que des pauvres logis agglutinés au pied des remparts ? Il a d'ailleurs fini ses jours chez les bourges, en face, à Villeneuve.
Ah l'odeur des premières quand on passait à côté... ( Je pense aux parisiennes)
Excusez-moi, je vais téléphoner...
Ah Lou Ravi, il y a-t-il des gens de pouvoir qui s'occupent des pauvres ?
Quand je pense, Chri, qu'il y en a qui aiment ça...
Un ami, Jeandler, quand il allait aux WC, disait "je vais téléphoner à Moscou !"
Décidément la question du pipi dans la rue n'a toujours pas été résolue de façon satisfaisante. De la vespasienne à la sanisette puis à l'absence de tout, à tout les coups l'on perd. Heureusement qu'il reste les renfoncements de remparts, grand pourvoyeurs de coins tranquilles.
Je me demandais justement ce qu'il y avait aujourd'hui, merci de fournir la réponse. Dire que c'est un endroit où je passe très souvent, je remarque la fresque, la niche, pas la croix.
Je me plains de l'absence de lieux d'aisance publics, mais quand je vois ça, je me pose des questions, la vue d'une, l'odeur de deux. Je la sens encore cette odeur de ces pissotières à ciel ouvert, pas celles ci que je n'ai pas connues, d'une manière générale.
Ah cet impérieux besoin qu'on les hommes et qui les empêche de se retenir dix minutes pour aller se soulager dans un bar et qui les pousse à faire où ils sont... Dégueulasses!
Ah Lou ravi ton commentaire que j'avais raté me rappelle bien des hommes de gauche! :-)
Commentaires
plus esthétique ? plus intime et on a gagné la place d'une cabine téléphonique (une relique ?)
Question allo pipi, plus rien de tout ça à présent.
Place nette et bien ordonnée, plus de linge qui pendouille sous la fenêtre.
La place est bien plus Belle aujourd'hui sans ces édicules qu'ils soient Decaux ou tout béton. J'avais oublié ces dernières, horribles. Ici elle succédait à celle métallique que Pourquery avait fait placer exprès juste derrière la Croix pour emmerder l'Eglise.
Piss Christ, déjà !
Mince, il va finir par commencer à devenir sympa ce Pourquery...
Finalement, la croix fut reculée et prit la place de la sanisette.
Nom de Dieu, l'église a gagné !!!
http://avignon.midiblogs.com/archive/2009/02/18/30-ans-apres-a-la-croix-blanche-30-years-after-at-croix-blan.html
En fait Pourquery n'a pas mis à genoux l'Eglise, il lui a au contraire donné de beaux arguments pour le combattre. Lui le député qui se présentait volontiers comme l'ami des faibles et qui fut, au début triomphalement élu, se mit à dos tout le petit peuple des Carmes, des mariniers, des ouvriers des premières usines des quartiers sud et est de la ville (les italiens n'étaient pas arrivés encore en masse rue des Infirmières). Mais Pourquery à qui Avignon doit quelques beaux saccages de monuments, n'était-il pas autre chose qu'un néo-communard de salon, plus habitué des sphères intellectuelles de la gauche radicale de l'époque que des pauvres logis agglutinés au pied des remparts ? Il a d'ailleurs fini ses jours chez les bourges, en face, à Villeneuve.
Ah l'odeur des premières quand on passait à côté... ( Je pense aux parisiennes)
Excusez-moi, je vais téléphoner...
Ah Lou Ravi, il y a-t-il des gens de pouvoir qui s'occupent des pauvres ?
Quand je pense, Chri, qu'il y en a qui aiment ça...
Un ami, Jeandler, quand il allait aux WC, disait "je vais téléphoner à Moscou !"
Décidément la question du pipi dans la rue n'a toujours pas été résolue de façon satisfaisante. De la vespasienne à la sanisette puis à l'absence de tout, à tout les coups l'on perd. Heureusement qu'il reste les renfoncements de remparts, grand pourvoyeurs de coins tranquilles.
Je me demandais justement ce qu'il y avait aujourd'hui, merci de fournir la réponse. Dire que c'est un endroit où je passe très souvent, je remarque la fresque, la niche, pas la croix.
Je me plains de l'absence de lieux d'aisance publics, mais quand je vois ça, je me pose des questions, la vue d'une, l'odeur de deux. Je la sens encore cette odeur de ces pissotières à ciel ouvert, pas celles ci que je n'ai pas connues, d'une manière générale.
Ah cet impérieux besoin qu'on les hommes et qui les empêche de se retenir dix minutes pour aller se soulager dans un bar et qui les pousse à faire où ils sont... Dégueulasses!
Ah Lou ravi ton commentaire que j'avais raté me rappelle bien des hommes de gauche! :-)