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Trento-vuech an après plaço Sant-Jan-lou-Vièi

Trente-huit ans après place St-Jean-le-Vieux
Thrity years after St-Jean-le-Vieux square

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Lien permanent 11 commentaires Pin it!

Commentaires

  • Non seulement il manque des platanes, malades sans doute...
    mais la lanterne a disparu au profit d'un affreux lampadaire :(

  • Non, vraiment, je préférai les bancs, les bancs publics...

    Les gens qui voient de travers
    Pensent que les bancs verts
    Qu'on voit sur les trottoirs
    Sont faits pour les impotents ou les ventripotents
    Mais c'est une absurdité
    Car à la vérité
    Ils sont là c'est notoire
    Pour accueillir quelque temps les amours débutants

    Alors, les amoureux d'Avignon où vont-ils aller ?

    L'échelle des temps s'affine. 38 ans ! Quelle précision ! Et en hiver, toutes deux.

  • Les bancs sont bien là, mais en arrière plan. Au contraire, ils sont revenus avec la rénovation. Les platanes, non. Rendons hommage tout de même aux habitants du quartier qui ont sauvé l'un de ceux qui restaient encore avant la rénovation.

  • Les éclairages veulent se faire discrets... y réussissent-ils ? Je ne crois pas.

    Je pense qu'il y a au moins autant de platanes qu'avant, peut-être plus, dix-sept nouveaux ayant été plantés.

    Tout comme les bancs qui sont plus nombreux aussi, mais on n'en voit pas beaucoup sur cette photo. C'est le coin des vélos.

    Les amoureux, on en voit toujours sur les bancs publics et sous les portes cochères. Heureusement.

    Il m'est devenu possible d'affiner à l'année près car je suis le photographe de 1974...

    Tout collait assez bien pour la comparaison sauf... le soleil de 2012. J'aurais peut-être dû attendre un jour de ciel couvert, mais je voulais publier à la suite de la tour d'hier...

  • Sur la photo de 1974, on peut voir à gauche le magasin de fleurs "Aux mimosas" de Mafalda Tiekelski, la maman de Mama Béa.

    Les tissus Bonnard étaient toujours là.

    Et Nicoroi était un magasin de vêtements bon marché.

  • Grâce à quelques amoureux, la ville retrouve son âme.
    Merci, Michel, des précisions.
    Et beau soleil pour la journée.

  • à propos de Mama Béa, il en a été beaucoup question dans les commentaires du billet daté du 12/12/2009 :
    http://avignon.hautetfort.com/archive/2009/12/16/lou-tarot-d-avignoun-1-2.html

    Sous le pseudonyme "Yvelinoise", je disais que le nom de Béatrice Tékielski, associé à ses taches de rousseur et à ses tresses rousses, n'a jamais quitté mon souvenir. En cours préparatoire et élémentaire, elle était dans ma classe à "la Petite Providence", l'école primaire tenue par les sœurs de la Charité dans la rue Saint-Charles (école hélas aujourd'hui démolie et remplacée par la résidence St Charles). J'ai tout juste 4 mois et trois jours de moins que cette grande dame de la chanson française.

    Merci Michel d'avoir pensé à préciser l'emplacement du magasin de fleurs de Mafalda, les occasions de parler de Béa sont bien rares et celles de l'écouter aussi :
    http://www.youtube.com/watch?v=RszlkvkdY9c&feature=related

  • L'image qui me revient toujours est celle de pochettes de 33 tours de Mama Béa punaisées sur le mur du magasin de fleurs.

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