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Quatre-vint an après plaço dóu Change

Quatre-vingts ans après place du Change
Eighty years after Change square

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Lien permanent 18 commentaires Pin it!

Commentaires

  • j'aime mieux l'état actuel, on aime ou non la façade du fond, mais elle a retrouvé son rythme

  • L'enseigne d'antan était laide et masquait trop la façade.
    Mais la marquise avait son charme, je trouve.

    Noter l'ancêtre du panneau sens interdit !

  • La disparition des persiennes est vraiment incompréhensible dans une région où la canicule n'est pas rare.

  • Cette fois-ci encore, les façades y ont gagné. Je suis moins convaincue par le pavage, certes raccord avec les couleurs, mais pas sur le plan des lignes. Ne parlons pas de la patinoire que cela devient lorsqu'il pleut !

  • Moi j'aimais bien la marquise.

    (par ailleurs complètement d'accord avec Fardoise sur le pavage)

  • Désolé, mais moi, la marquise m'horripile avec ses falballas.
    Une façade qui a retrouvé tout son lustre.

    Encore une fois, les fils pour gâcher la vue...

  • Presque identiques !
    Un petit regret également pour la marquise, c'est un peu kitch mais j'aime bien.

    De vieux panneaux de sens unique et, tiens donc, un sens interdit à demi-caché sur la photo récente :-) Joli doublet !

  • Peu de changements finalement. Hors la marquise (c'était la mode) et, effectivement les volets à persiennes. Mais bien des premiers étages seront transformés en réserves des magasins situés au-dessous. "Turn over" important des enseignes et activités si j'en crois la lecture de divers annuaires, guides et ouvrages (le Mazet ne s'intéressant qu'aux autres côtés de la place).

    La Mule du Pape (d'où le pseudo, je le dis, désolé, pour les estrangers qui découvrent le blog): dernier des Mohicans de ce quartier ? Superbes pantoufles aux couleurs flashies, choix incomparables de traînes-pieds. Tout le monde y est allé un jour ou l'autre, non ? Même Nat' (???).

  • Ben non, je ne suis jamais entré chez ce chausseur sans âge, qui s'est agrandi sur une seconde boutique me semble-t-il !
    Quant à la disparition des volets à persiennes, elle est obligatoire sur les façades anciennes qui sont rénovées et compensée par la pose de volets intérieurs.
    On honorera le magasin de droite et sa devanture de menuiserie... réplique ou conservation ?

  • Les gros godillots ne sont guère en faveur chez notre muletière, évidemment. Elle ne chausse que des pieds délicats. Sourire...J'ignorais cette obligation concernant les façades anciennes. La même devrait pouvoir exister s'agissant des fils qui pendouillent. Le magasin à honorer (Jacqueline Riu ??) était une herboristerie au début du XXème. Tout a été conservé ou refait à l'identique effectivement. Bravo !

  • S'agissant des fils de façade, sont enlevés tous ceux qui peuvent l'être, mais il y a souvent des contingences qui obligent à en garder certains en façade (notamment du téléphone).
    Je suis passé devant la boutique, la devanture a été refaite, à l'identique.

  • Si obligation il y a de retirer les persiennes des façades rénovées, alors il y a deux poids deux mesures. Sur la place de l'Oratoire (place Maurice Bonnard) ni mon ancien domicile n°3) entièrement transformé à l'intérieur et sa façade ravalée, ni l'immeuble Citadis (ancien hôtel d'Armand) idem, ni la maison entre les deux, n'ont abandonné leurs volets ou persiennes (sauf ceux des chambres de service au troisième étage)...

  • Pas étonnant, quant on a quelque pouvoir, ce n'est pas une exigence de l'architecte des Bâtiments de France qui peut avoir du poids.

  • J'aimerais bien savoir pour quelle bonne raison ces persiennes doivent être supprimées.

  • Tout simplement pour remettre les façades dans leur style.
    Beaucoup d'hôtels particuliers aux volets à persiennes ont conservé sur le tableau intérieur de leurs fenêtres les gonds des anciens volets intérieurs.
    Les Bâtiments de France exigent donc que soient remis les anciens volets.
    Il faut admettre que les persiennes, visuellement, "mangent" une belle façade.

    Ceci dit, les volets extérieurs existaient déjà au XVIIe.
    Mais ce n'était pas des persiennes, mais des "contrevents" pleins.

  • des contrevents
    un mot qu'il y a bien longtemps n'ai entendu.

    Non maintenus, ils battent au vent...

  • Un bon exemple de volets pleins : ceux des trois fenêtres de l'étage de la maison de l'Oratoire. Ils n'ont pas été changés, ce sont ceux que j'ai toujours connus. Ils sont antérieurs aux années cinquante !

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