Cent ans après rue de la République
A hundred years after Republic street
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Cent ans après rue de la République
A hundred years after Republic street
Commentaires
On dirait qu'il manque quelque chose sur le toit des anciennes Nouvelles Galeries !
oui elles ont perdu leurs presque-tours et nous avons perdu le tramway
ah c'est charmante la photo.J'ai un peu peur des boutes gardes ici. Est-ce que ils représentent la condition humaine.haha.
merci pour ta visite.Si tu regarde assez fort à ma fleur lumineuse tu verras mon apparition haha.
bises.
Que de plots pour se reposer !
Entre temps la rue a changé de sens pour les piétons. Tous de dos dans l'ancien temps et tous de face aujourd'hui. Les tourelles et les redingotes, envolées.
Il y a 100 ans : que des vieux dans la rue, aujourd’hui, que des jeunes !
On voit l’enseigne d’un des trois bains de la ville, là où est La Provence, comme cela a déjà dit. En face se trouve le magasin Thierry et Sigrand qui jouxte les Nouvelles Galeries et qui sera plus tard absorbé par elles. A gauche l’horlogerie-bijouterie Colomby dont le fils aîné tenait une boutique d’optique plus loin au-dessus du Crédit Lyonnais (hypothèse à partir d'un en-tête reproduit par Jean Mazet et de la conformation du bâtiment de la banque au n° 12). Entre les Bains Roubaud et Colomby, à l’étage, il y eut la Trésorie Générale où sévissait le très controversé TPG Charles Fromentin, dont les intrigues et le parti pris artistique seront à l’origine de la création du fameux Groupe des Treize. Dans un annuaire des années 10 un luthier, Autiero est signalé entre les bains et Colomby, ainsi que la boutique «Aux 100 000 corsets». Et là c’est ma madeleine, avec le rappel d’un magasin que beaucoup d’entre nous avons fréquenté « Aux 100 000 chemises, rue Carnot ». Quel choix !
Bravo pour le cadrage ! On retrouve le lieux, seuls ont changé les magasins et bien entendu les toits des Nouvelles Galeries et le tram. Pour ce qui est des Bains, il faut le savoir.. .N’empêche qu'une fois de plus la ville du haut est plus sympathique, moins froide. Pour ce qui est vieux et des jeunes, est-ce le hasard ? Il est difficile de dire pour le haut, de dos, si toutes les personnes sont effectivement "d'un certain âge". Les jeunes n'avaient-ils pas le droit de se promener seuls ?
Aux 100 000 chemises... on aimerait voir ça maintenant. Les boutiques qui restent rue de la ré sont toutes des franchises de marques où l'on retrouve les mêmes zabits que partout ailleurs : Eram, Zara, H&M, Monoprix, Jennyfer :( ...
Dans la photo d'autrefois, les vieux montent la rue à pied et la descendent en tram, les jeunes sont au boulot. Aujourd'hui les jeunes la descendent à pied, les seniors sont partis jouer au golf et les vieux sont à l'hospice. On vit une époque formidable.
Nos élus ont toujours raffolé de ces enseignes qui "font moderne" même si elles vendent de la pacotille (c'est avec celle-ci qu'elles font le plus de marge) pour une clientèle paupérisée...Ce sont les seules à pouvoir se payer des loyers commerciaux faramineux. Tous les centre-villes se ressemblent et le choix est réduit à quelques chaines dont beaucoup sont des sous-marins de la grande distribution. Exit le commerce indépendant qui s'approvisionnait de façon variée auprès d'une multitude de grossistes et fabricants (exit ces fabricants aussi...). Ou alors il faut aller par exemple à Aix qui a su conserver un noyau de commerces multiples aux larges gammes.
La photo a dû être prise à l'automne: soleil un peu rasant alors qu'il est 11h30, hommes déjà chaudement habillés mais encore des feuilles aux arbres ?
Nos élus ont toujours raffolé de ces enseignes qui "font moderne" même si elles vendent de la pacotille (c'est avec celle-ci qu'elles font le plus de marge) pour une clientèle paupérisée...Ce sont les seules à pouvoir se payer des loyers commerciaux faramineux. Tous les centre-villes se ressemblent et le choix est réduit à quelques chaines dont beaucoup sont des sous-marins de la grande distribution. Exit le commerce indépendant qui s'approvisionnait de façon variée auprès d'une multitude de grossistes et fabricants (exit ces fabricants aussi...). Ou alors il faut aller par exemple à Aix qui a su conserver un noyau de commerces multiples aux larges gammes.
La photo a dû être prise à l'automne: soleil un peu rasant alors qu'il est 11h30, hommes déjà chaudement habillés mais encore des feuilles aux arbres ?
Lou Jouine, ça pourrait aussi être un mois de mai un peu frisquet...
Je constate que personne n'a commenté sur les sublimes corbeilles fleuries qui ornent le réverbère au premier plan. Madame le Maire nous offre des fleurs et personne ne l'en remercie ?
J'ai, mais peut-être me suis trompé, pris le parti de dater cette carte postale postérieurement à (ou pendant) la guerre de 14.
Époque où il devait y avoir beaucoup moins de jeunes hommes dans les rues...
C'est pour cette raison que tu as pris le parti de dater la photo de 1914, ou avais-tu d'autres indices ?
J'étais étonné ce matin de ne pas avoir titré "cent ans après..."
Je viens de vérifier : cette photo vient des archives municipales et sa fiche la date de 1920.
Voilà, voilà. Point de parti pris de ma part...
1920 - moins de jeunes gens dans les rues c'est sûr...