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c'est quoi tout ce cirque ?!
Elle partirait enfin la sale bête ?...
Chouettes photos. Elle s'en va enfin la bête à bobos et parigots. Bon débarras, que nous retrouvions enfin notre place !
Alors si on aimait cette sculpture, on est bobo et parigot? Les deux? Ca sent bon la france!
Belles photos toujours. Moi je l'aimais bien cet éléphant à l'envers, je l'ai vu vendredi sans savoir que c'était la dernière fois. Mais ceci dit, hors de question que la ville l'achète, il y a d'autres besoins, des projets sociaux qui seraient plus nécessaires en ce moment.
cela veut dire qu'il va partir ??? Personnellement je la regretterai beaucoup cette bestiole, sans doute suis-je un peu bobo, à défaut d'être Parigote :-)
Brigetoun : peut-être bien départ, à moins que l'on ne change l'estrade de bois pour une esplanade de pierre ? Mais j'en doute.
Tilia : bien sûr ! Quoique certains pensent "postparadis" !
Pascal : alors, tu vas donc te réjouir. Un lieu se vide, un autre va s'ouvrir, non ?
Tistet : déjà que tu n'aimais pas les mules...
Chri : l'Elephandet, lui, sent plutôt... l'Espagne.
Lireaujardin : je suis entièrement d'accord avec vous.
Fardoise : personnellement, je me verrais bien en parigot-bobo !
J'adore que préparatifs se dise préparadis dans la langue du soleil.
Sans aucun doute ça sent le paradis retrouvé pour certains.
Il faut que j'aille voir ça !
Je ne rentrerai pas dans la classification bobo-parigot.
On dit comment quand on n'est ni parisienne ni née-native d'ici?
Et au fait j'ai oublié de te dire - j'adore ta dernière photo.
Les dessous affriolants de l'éléfandret façon french cancan, j'adore !
Pré-paradis ? : je propose "citoyenne du monde".
C'est vrai qu'ils sont plaisants tous ces petits villages
Tous ces bourgs, ces hameaux, ces lieux-dits, ces cités
Avec leurs châteaux forts, leurs églises, leurs plages
Ils n'ont qu'un seul point faible et c'est être habités
Et c'est être habités par des gens qui regardent
Le reste avec mépris du haut de leurs remparts
La race des chauvins, des porteurs de cocardes
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Maudits soient ces enfants de leur mère patrie
Empalés une fois pour toutes sur leur clocher
Qui vous montrent leurs tours leurs musées leur mairie
Vous font voir du pays natal jusqu'à loucher
Qu'ils sortent de Paris ou de Rome ou de Sète
Ou du diable vauvert ou de Zanzibar
Ou même de Montcuq il s'en flattent mazette
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Le sable dans lequel douillettes leurs autruches
Enfouissent la tête on trouve pas plus fin
Quand à l'air qu'ils emploient pour gonfler leurs baudruches
Leurs bulles de savon c'est du souffle divin
Et petit à petit les voilà qui se montent
Le cou jusqu'à penser que le crottin fait par
Les chevaux même en bois rend jaloux tout le monde
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
C'est pas un lieu commun celui de leur connaissance
Ils plaignent de tout coeur les malchanceux
Les petits maladroits qui n'eurent pas la présence
La présence d'esprit de voir le jour chez eux
Quand sonne le tocsin sur leur bonheur précaire
Contre les étrangers tous plus ou moins barbares
Ils sortent de leur trou pour mourir à la guerre
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Mon Dieu qu'il ferait bon sur la terre des hommes
Si l'on n'y rencontrait cette race incongrue
Cette race importune et qui partout foisonne
La race des gens du terroir des gens du cru
Que la vie serait belle en toutes circonstances
Si vous n'aviez tiré du néant tous ces jobards
Preuve peut-être bien de votre inexistence
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Georges Brassens
et voilà que Michel a effacé le peu que j'avais en crâne ...
ah si : comme Fardoise je me vois bien en parigotte bobo (les deux ne vont esnemble, je signale) d'autant qu'en fait le suis toujours un bon peu
Elle est terrible cette chanson de Brassens.
On pourrait à juste titre lui reprocher un jugement à l'emporte-pièce...
Surtout dans le dernier couplet !
On lui construit un sarcophage ?
Superbe chanson - je n'en changerais pas un mot.
L'Elephandret, lui, est parti.
Oui je confirme - j'y suis passée ce matin, il n'est plus là.
Ca fait tout drôle...
Commentaires
le départ ?
Très belles photos mais navrant
Le pré-paradis, c'est le purgatoire !
c'est quoi tout ce cirque ?!
Elle partirait enfin la sale bête ?...
Chouettes photos. Elle s'en va enfin la bête à bobos et parigots. Bon débarras, que nous retrouvions enfin notre place !
Alors si on aimait cette sculpture, on est bobo et parigot? Les deux? Ca sent bon la france!
Belles photos toujours. Moi je l'aimais bien cet éléphant à l'envers, je l'ai vu vendredi sans savoir que c'était la dernière fois. Mais ceci dit, hors de question que la ville l'achète, il y a d'autres besoins, des projets sociaux qui seraient plus nécessaires en ce moment.
cela veut dire qu'il va partir ??? Personnellement je la regretterai beaucoup cette bestiole, sans doute suis-je un peu bobo, à défaut d'être Parigote :-)
Brigetoun : peut-être bien départ, à moins que l'on ne change l'estrade de bois pour une esplanade de pierre ? Mais j'en doute.
Tilia : bien sûr ! Quoique certains pensent "postparadis" !
Pascal : alors, tu vas donc te réjouir. Un lieu se vide, un autre va s'ouvrir, non ?
Tistet : déjà que tu n'aimais pas les mules...
Chri : l'Elephandet, lui, sent plutôt... l'Espagne.
Lireaujardin : je suis entièrement d'accord avec vous.
Fardoise : personnellement, je me verrais bien en parigot-bobo !
J'adore que préparatifs se dise préparadis dans la langue du soleil.
Sans aucun doute ça sent le paradis retrouvé pour certains.
Il faut que j'aille voir ça !
Je ne rentrerai pas dans la classification bobo-parigot.
On dit comment quand on n'est ni parisienne ni née-native d'ici?
Et au fait j'ai oublié de te dire - j'adore ta dernière photo.
Les dessous affriolants de l'éléfandret façon french cancan, j'adore !
Pré-paradis ? : je propose "citoyenne du monde".
C'est vrai qu'ils sont plaisants tous ces petits villages
Tous ces bourgs, ces hameaux, ces lieux-dits, ces cités
Avec leurs châteaux forts, leurs églises, leurs plages
Ils n'ont qu'un seul point faible et c'est être habités
Et c'est être habités par des gens qui regardent
Le reste avec mépris du haut de leurs remparts
La race des chauvins, des porteurs de cocardes
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Maudits soient ces enfants de leur mère patrie
Empalés une fois pour toutes sur leur clocher
Qui vous montrent leurs tours leurs musées leur mairie
Vous font voir du pays natal jusqu'à loucher
Qu'ils sortent de Paris ou de Rome ou de Sète
Ou du diable vauvert ou de Zanzibar
Ou même de Montcuq il s'en flattent mazette
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Le sable dans lequel douillettes leurs autruches
Enfouissent la tête on trouve pas plus fin
Quand à l'air qu'ils emploient pour gonfler leurs baudruches
Leurs bulles de savon c'est du souffle divin
Et petit à petit les voilà qui se montent
Le cou jusqu'à penser que le crottin fait par
Les chevaux même en bois rend jaloux tout le monde
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
C'est pas un lieu commun celui de leur connaissance
Ils plaignent de tout coeur les malchanceux
Les petits maladroits qui n'eurent pas la présence
La présence d'esprit de voir le jour chez eux
Quand sonne le tocsin sur leur bonheur précaire
Contre les étrangers tous plus ou moins barbares
Ils sortent de leur trou pour mourir à la guerre
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Mon Dieu qu'il ferait bon sur la terre des hommes
Si l'on n'y rencontrait cette race incongrue
Cette race importune et qui partout foisonne
La race des gens du terroir des gens du cru
Que la vie serait belle en toutes circonstances
Si vous n'aviez tiré du néant tous ces jobards
Preuve peut-être bien de votre inexistence
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Georges Brassens
et voilà que Michel a effacé le peu que j'avais en crâne ...
ah si : comme Fardoise je me vois bien en parigotte bobo (les deux ne vont esnemble, je signale) d'autant qu'en fait le suis toujours un bon peu
Elle est terrible cette chanson de Brassens.
On pourrait à juste titre lui reprocher un jugement à l'emporte-pièce...
Surtout dans le dernier couplet !
On lui construit un sarcophage ?
Superbe chanson - je n'en changerais pas un mot.
L'Elephandret, lui, est parti.
Oui je confirme - j'y suis passée ce matin, il n'est plus là.
Ca fait tout drôle...
Depression post partum